Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-11-22-Speech-4-457-000"
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"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@fr8
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"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@cs1
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@da2
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@de9
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@el10
"Mr President, the issue of the situation of migrants in Libya is certainly not a new one. I remember how, not that long ago, when Colonel Gaddafi was still in power, the European Union was attempting to negotiate an absolutely shameful agreement with Gaddafi so that he would keep the migrants in his country, even though we were aware of the awful conditions to which they were subjected.
The fault certainly does not lie with the new Libyan Government, which has just been elected, but rather with the absence of any legislation, structure, culture or institutions supporting the protection of migrants.
Today, their situation is worse than ever: they are persecuted by ex-rebel groups
. Our aim is genuinely to suggest to this new government that we should work with them, side by side. It is up to it to create an institutional framework and to us, the European Union – and here I appeal to Commissioner Rehn and the High Representative – to work with the Libyan authorities to ensure that migrants are treated decently this time and that a distinction is made between asylum seekers and refugees and migrants working in Libya. This is an urgent humanitarian issue, in the best sense of the word."@en4
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@es21
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@et5
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@fi7
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@hu11
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@it12
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@lt14
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@lv13
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@mt15
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@nl3
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@pl16
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@pt17
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@ro18
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@sk19
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@sl20
"Monsieur le Président, le problème de la situation des migrants en Libye n'est certainement pas nouveau. Je me souviens qu'il n'y a pas tellement longtemps, encore sous le colonel Kadhafi, l'Union européenne tentait de négocier un accord absolument honteux, avec Kadhafi, pour qu'il maintienne les migrants dans son pays, alors que nous connaissions les conditions détestables auxquelles ils étaient soumis.
La faute n'est donc certainement pas au nouveau gouvernement libyen qui vient d'être élu, mais plutôt à une absence de législation, de structure, de culture, d'institutions qui pourraient protéger les migrants.
Aujourd'hui, ils sont dans une situation pire que jamais; persécutés par des milices, des ex-rebelles – les Katibas. Ce que nous voulons faire, c'est véritablement suggérer à ce nouveau gouvernement de travailler avec lui, main dans la main. À lui de créer un cadre institutionnel et à nous, Union européenne – j'en appelle ici au commissaire Rehn et à la Haute représentante – de travailler avec les Libyens pour que les migrants soient cette fois traités décemment et que l'on distingue les demandeurs d'asile, les réfugiés des migrants y travaillant. C'est vraiment un problème d'urgence humanitaire, au sens le meilleur du terme."@sv22
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"Katibas"4
"Véronique De Keyser,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,10,2,7,3,13,21,9,17,12,8
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