Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-11-22-Speech-4-439-000"
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"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@fr8
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"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@cs1
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@da2
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@de9
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@el10
"Mr President, this is the third motion for a resolution on Burma since the beginning of the year. The previous resolution was adopted in September and also concerned the violence in Rakhine State and the plight of the Rohingya, who are persecuted by all Burma’s political forces, including the friends of Aung San Suu Kyi.
It is true that the situation of the Rohingya community has not improved; in fact, it has deteriorated further. Our motion for a resolution takes an even firmer stance with regard to the Burmese authorities than that adopted in September, and I welcome that. The Confederal Group of the European United Left – Nordic Green Left has therefore been involved in drafting this motion for a resolution and will support it, but I cannot help wondering about the relevance of the subjects of our urgent motions for a resolution and, above all, about their usefulness. It is our duty and responsibility to be more balanced in our choice of urgent subjects of debate and not to worry about whether it will annoy this or that state. Our resolutions must condemn human rights violations, irrespective of the strategic, political and economic interests of the European Union and its Member States.
It would have been more relevant, in my opinion, to talk about the situation in the Democratic Republic of Congo’s Kivu provinces or the rule of law in Turkey as regards the Kurdish question, at a time when hundreds of Kurds are on a hunger strike that almost cost several lives and when Mr Erdogan is calling for the reintroduction of the death penalty."@en4
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@es21
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@et5
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@fi7
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@hu11
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@it12
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@lt14
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@lv13
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@mt15
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@nl3
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@pl16
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@pt17
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@ro18
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@sk19
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@sl20
"Monsieur le Président, ce sera la troisième résolution sur la Birmanie depuis le début de l'année. La dernière date du mois de septembre, et portait déjà sur les violences dans l'État de Rakhine et le triste sort des Rohingyas jetés au pilori par l'ensemble des forces politiques birmanes, y compris les amis de Mme Aung San Suu Kyi.
Certes, la situation des Rohingyas ne s'est pas améliorée; elle a même empiré. Notre résolution est même plus ferme vis-à-vis des autorités birmanes que celle du mois de septembre et je m'en félicite. Le groupe GUE/NGL s'est donc associé à cette résolution et la votera, mais je ne peux m'empêcher de m'interroger sur la pertinence de nos choix d'urgence et surtout sur leur utilité. Notre devoir et notre responsabilité consisteraient à choisir des sujets d'urgence plus équilibrés et à ne pas nous demander si cela fâcherait ou non les autorités de tel ou tel État. Nos résolutions doivent dénoncer les atteintes aux droits de l'homme, et ce en dépit des intérêts stratégiques, politiques, économiques de l'Union européenne et de ses États membres.
Il aurait été plus pertinent, de mon point de vue, de parler de la situation au Kivu ou de l'état de droit en Turquie, au regard du problème des Kurdes, au moment où une grève de la faim de centaines d'entre eux a failli coûter la vie à plusieurs d'entre eux et où M. Erdoğan réclame le rétablissement de la peine de mort."@sv22
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