Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-11-22-Speech-4-409-000"

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"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@fr8
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"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@cs1
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@da2
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@de9
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@el10
"Mr President, I think that we can understand many things about Iran and we can accept that it is a country with which we must negotiate. We can also understand the desire for the denuclearisation of the Middle East. We can understand many things, but I cannot understand the cruelty of this regime when it comes to human rights. I must say that it goes beyond the political; there has been a significant rise in the number of death sentences imposed, a blogger has died in suspicious circumstances and our repeated requests to meet the two winners of the Sakharov Prize have met with no response. I am therefore appealing to the Iranian authorities right now – in the very spirit of reaching out to them – to consider their approach to human rights. I doubt we can ever understand each other if this chapter remains closed. I would also like, in December, to be able to celebrate the award of the Sakharov Prize with its two winners, Nasrin Sotoudeh, who is currently on hunger strike, and Jafar Panahi, who is appealing a sentence against him and who risks going to prison. These two laureates were chosen not in defiance of Iran, but because, for us, they represent freedom and human rights."@en4
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@es21
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@et5
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@fi7
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@hu11
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@it12
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@lt14
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@lv13
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@mt15
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@nl3
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@pl16
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@pt17
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@ro18
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@sk19
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@sl20
"Monsieur le Président, je crois que l'on peut comprendre beaucoup de choses de l'Iran et que l'on peut se dire que c'est un pays avec lequel il faut négocier. On peut aussi comprendre l'idée d'une dénucléarisation de tout le Moyen-Orient. On peut comprendre beaucoup de choses, mais je ne comprends pas la cruauté de ce régime vis-à-vis des droits de l'homme. Je dois dire que ce n'est même pas politique: il y a eu un accroissement considérable des peines de morts, un blogueur est décédé dans des conditions suspectes, et notre appel répété de rencontrer les deux prix Sakharov, que nous avons nommés cette année, est resté sans suite. Je lance donc ici un appel aux autorités iraniennes – en raison même de cette idée consistant à aller vers eux, à leur tendre la main – en faveur des droits de l'homme. Je crois que nous ne pourrons jamais nous comprendre si ce chapitre-là n'est pas ouvert avec elles. Je voudrais aussi pouvoir, au mois de décembre, célébrer le prix Sakharov avec les deux nominés, qui sont Nasrin Sotoudeh, aujourd'hui en grève de la faim, et Jafar Panahi, aujourd'hui en appel d'une condamnation contre lui, et qui risque d'être emprisonné. Ce sont deux lauréats que nous n'avons pas nommés contre l'Iran, mais bien parce qu'ils sont pour nous représentatifs de la liberté et des droits de l'homme."@sv22
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"Véronique De Keyser,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,10,2,7,3,13,21,9,17,12,8
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