Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-10-23-Speech-2-599-000"

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"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@fr8
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"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@cs1
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@da2
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@de9
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@el10
". Mr President, Commissioner, ladies and gentlemen, I am happy that this debate on the revision of the 2006 Directive is taking place, even if it is late, it is a little cold in here and some of us are hungry. It is a debate that we have a duty to hold on behalf of the citizens, who are increasingly asking questions about how their personal data is used in a number of fields. This Directive is particularly controversial in a number of regards, as shown by the repeals of the German, Czech and Romanian transposing legislation by the competent constitutional courts. What is at issue here? The main problem is the intrusive nature of the Directive with regard to privacy and data protection. While there is clearly no question of challenging the benefits of collecting connection data for criminal investigation purposes, some issues, in particular those raised by the European Data Protection Supervisor, remain topical as long as there is no proposal for a revision on the table. We would therefore like the Commissioner to provide some answers to assuage the concerns that I think we share on a number of points, such as the need for a clear demonstration that such a system is necessary and proportional, compliance with the principle of legitimate purpose, which, as we know, is currently used extensively by some Member States, and, finally, possible ways of keeping data in a less intrusive way than at present. Here, as in many other debates, we must find a balance, however difficult that may be, between security imperatives and the protection of freedoms. In a society where information and communication technologies are omnipresent, the protection of personal data, which is a fundamental right, must be strengthened and must not remain a purely theoretical right enshrined in the Charter of Fundamental Rights. Commissioner, this is the type of action that we would like you to take. Thank you in advance."@en4
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@es21
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@et5
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@fi7
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@hu11
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@it12
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@lt14
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@lv13
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@mt15
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@nl3
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@pl16
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@pt17
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@ro18
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@sk19
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@sl20
"Monsieur le Président, Madame la Commissaire, chers collègues, je suis satisfaite que ce débat ait lieu sur la révision de la directive de 2006, même s'il est tard, qu'il fait un peu froid, ici, et que certains ont faim par, ailleurs. Il s'agit d'un débat que nous avons le devoir de mener pour les citoyens qui s'interrogent de plus en plus sur l'utilisation qui est faite de leurs données personnelles et cela dans de nombreux domaines. Cette directive est, en effet, à bien des égards particulièrement controversée, comme l'a montré la série d'annulations des lois de transposition allemande, tchèque et roumaine par les juridictions constitutionnelles compétentes. Qu'est-ce qui est en cause ici? D'abord et avant tout la nature intrusive de la directive pour la vie privée et la protection des données. Certes, il n'est pas question de remettre en cause l'intérêt de recueils de données de connexion à des fins d'enquête pénale mais certaines questions et, notamment, celles posées par le Contrôleur européen de la protection des données, restent encore d'actualité tant qu'aucune proposition de révision n'est mise sur la table. Nous souhaitons donc, Madame la Commissaire, que vous fournissiez des réponses à la mesure de ces préoccupations que nous partageons, je pense, sur plusieurs points, comme, par exemple, sur la démonstration claire de la nécessité et de la proportionnalité d'un tel dispositif; ensuite, sur le respect du principe de finalité dont on sait qu'il est, à l'heure actuelle, utilisé de façon extensive par certains États membres et, enfin, sur les options envisageables pour conserver les données de manière moins intrusive que ce qui se pratique aujourd'hui. Il nous faut ici, comme dans bien d'autres débats, parvenir à trouver un équilibre, même s'il est délicat, entre les impératifs de sécurité et la protection des libertés. Dans une société où les technologies de l'information et de communication sont omniprésentes, la protection des données personnelles, qui est un droit fondamental, doit être renforcée et ne doit pas rester un droit purement théorique inscrit dans la Charte des droits fondamentaux. C'est en ce sens, Madame la Commissaire, que nous vous demandons d'agir. Nous vous en remercions par avance."@sv22
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"Sylvie Guillaume,"18,5,20,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
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