Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-09-13-Speech-4-327-000"

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"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@fr8
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"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@cs1
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@da2
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@de9
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@el10
"Mr President, I will not hold it against you. The Confederal Group of the European United Left – Nordic Green Left was going to be in third place for once. It does not matter. The end of apartheid and the coming into power of Nelson Mandela in 1994 held a great deal of hope for the whole world. However, 15 years later, for thousands of South Africans, the hope of emancipation is far from becoming a reality. After several years of self-sufficiency, South Africa has become involved in globalisation and wanted to integrate into the global capitalist economy, but at what price? More than 50% of South Africans share less than 8% of the country’s income, while 10% have a monopoly over 58% of its wealth. There is no need to tell you which group is white and which is black. Yes, there is economic apartheid. All of this comes at a price and this summer’s strike in the Marikana gold mines, where thousands of miners, both black and white, gathered together, was an indicator of this social failure. The unprecedented violence with which the South African police responded, killing dozens of people, is totally unacceptable, as is the legal repression that followed and hit the miners themselves. The political authorities, and particularly President Zuma, seem to have reacted since then. We can only welcome this and encourage them to pursue this process, but let us not forget that this was not an isolated incident and that, in 2010 alone, police violence led to 858 deaths. I am pleased with the balanced resolution that we are going to vote on. Let us hope that it will contribute to bringing about change in this country."@en4
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@es21
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@et5
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@fi7
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@hu11
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@it12
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@lt14
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@lv13
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@mt15,15
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@nl3
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@pl16
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@pt17
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@ro18
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@sk19
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@sl20
"Monsieur le Président, je ne vais pas vous en vouloir, pour une fois que le groupe GUE/NGL avait la troisième place! Ce n'est pas grave. La fin de l'apartheid et l'arrivée au pouvoir de Nelson Mandela, en 1994, ont constitué un formidable espoir dans le monde entier. Pourtant, quinze ans après, pour des milliers de Sud-africains, l'espoir d'émancipation est loin d'être au rendez-vous. Après plusieurs années d'autarcie, l'Afrique du Sud s'est engagée dans la mondialisation et a voulu intégrer l'économie capitaliste mondiale, mais à quel prix! Plus de 50 % des Sud-africains se partagent moins de 8 % des revenus du pays, alors que 10 % s'accaparent 58 % de ses richesses. Pas besoin de dire où sont les blancs et où sont les noirs. Oui, il y a apartheid économique. Tout cela a un prix et la grève de cet été dans les mines d'or de Maricana, qui a rassemblé des milliers de mineurs, noirs et blancs réunis, a été le révélateur de cet échec social. La violence inouïe avec laquelle la police sud-africaine a réagi, faisant des dizaines de morts, est tout à fait inacceptable, tout comme la répression judiciaire qui a suivi et qui a frappé les mineurs eux-mêmes. Les autorités politiques, et notamment le président Zuma, semblent avoir réagi depuis. Nous ne pouvons que nous en féliciter et inciter à la poursuite de ce processus, mais n'oublions pas que cet événement n'était pas isolé et que, pour la seule année 2010, les violences policières ont fait plus de 858 morts. Je me félicite de la résolution équilibrée que nous allons voter. Espérons qu'elle contribuera à faire changer ce pays!"@sv22
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"Marie-Christine Vergiat,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
"auteure"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
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