Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-09-12-Speech-3-499-000"
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"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@fr8
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"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@cs1
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@da2
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@de9
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@el10
"Mr President, I am delighted with the very clear support that this proposal received during the debate. I hope that Parliament will adopt the agreement that we have reached, through the discussion of certain elements in the context of the reform of the common agricultural policy (CAP). I think that it would be a pity to block the decision on this Quality Package and hold it up on the grounds of points which we can discuss and clarify at the time of the CAP reform.
Several of you pointed to the discussion on quality-related volume control, which did not lead to an agreement between the Council and Parliament.
I am open to pursuing this discussion with you and with the Council in the context of CAP reform, with a view to determining how the monitoring of volumes might have a positive impact on quality, and I am ready to take this aspect into account, if need be.
I think that this legislative proposal, if it is adopted, will create a proper framework for encouraging producers to register their products and for ensuring that the quality of agricultural products in the European Union is more obvious in the marketplace. The advantage of this regulation, to reply to Mr Tabajdi, who unfortunately is no longer here, is that, once this regulation comes into force, all Member States will have to apply the same labelling and quality mentions. This will make it easier for European customers, throughout the Member States, to identify quality products from the same category.
Some of you have spoken about the export potential for quality products. The Union is indeed one of the top exporters of agricultural products and foodstuffs in the world, but, unlike other global partners, such as the United States, which export mainly raw materials, we primarily export added value, with quality products. The regulation that we are about to adopt will make negotiations for the recognition of this system of geographical indication outside the European Union easier for us with our international partners and consequently easier to ensure the legal protection of these products on external markets.
That will allow us not only to promote quality more effectively outside the Union, but also to protect our quality products against counterfeits still to be found on the market. Admittedly these counterfeits are proof that European products are appreciated by consumers outside the Union. However, we now need the legal framework to be able to protect our producers from these counterfeits.
The Commission also plans to present a legislative proposal with a view to promoting agricultural products and foodstuffs on the European market and abroad. It intends to promote actively quality labels and ensure that the European consumer recognises them. We shall invest money to promote the logo that we have designed as part of this regulation, so that European consumers are better able to identify quality products on the market.
As far as local products and products of island farming are concerned, you asked the Commission for reports. I can assure you that the Commission has already started to carry out evaluation work on the quality potential of local products and products from short production and distribution chains. The same work is being carried out for products of mountain farming. It will also be carried out for products of island farming. Finally, at the end of this year, the Commission will present a report, possibly accompanied by legislative proposals for registering these quality labels. I can assure you that this is indeed our intention and that we have already started to work on it.
I would like to thank you again for your support for this legislative proposal. I hope it will lead to a vote in favour tomorrow."@en4
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@es21
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@et5
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@fi7
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@hu11
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@it12
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@lt14
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@lv13
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@mt15
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@nl3
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@pl16
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@pt17
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@ro18
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@sk19
"Monsieur le Président, je me réjouis du soutien très net que cette proposition a recueilli lors du débat. J'espère que le Parlement adoptera l'accord que nous avons pu trouver, moyennant la discussion de certains éléments dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune. Je pense qu'il serait dommage de bloquer la décision sur ce paquet "qualité" et de la retarder à cause de points qui pourront être discutés et clarifiés lors de la réforme de la PAC.
Plusieurs d'entre vous ont souligné la discussion qui a eu lieu sur le contrôle des volumes liés à la qualité et qui n'a pas débouché sur un accord entre le Conseil et le Parlement.
Je suis ouvert à la poursuite de cette discussion avec vous et avec le Conseil dans le cadre de la réforme de la politique agricole commune, afin de déterminer de quelle manière un suivi des volumes peut avoir un impact positif sur la qualité, et je suis prêt à prendre cet aspect en compte, le cas échéant.
Je pense que cette proposition législative, si elle est adoptée, créera un cadre plus positif pour encourager les producteurs à enregistrer leurs produits et pour mieux mettre en évidence sur le marché la qualité des produits agroalimentaires dans l'Union européenne. L'avantage que ce règlement apportera, pour répondre à M. Tabajdi – qui, malheureusement, n'est plus là –, c'est qu'une fois que ce règlement sera entré en vigueur, tous les États membres devront appliquer le même système d'étiquetage et de mise en valeur des produits. Il sera donc plus facile pour les consommateurs européens, partout dans l'ensemble des États membres, d'identifier les produits de qualité qui s'inscrivent dans la même catégorie.
Certains d'entre vous ont parlé du potentiel d'exportation de produits de qualité. Il est vrai que l'Union est l'un des premiers exportateurs de produits agroalimentaires au monde mais, à la différence d'autres partenaires sur la planète, comme les États-Unis, qui exportent surtout des matières premières, nous exportons essentiellement de la valeur ajoutée, avec des produits de qualité. Ce règlement que nous allons adopter nous facilitera les négociations avec nos partenaires internationaux pour la reconnaissance de ce système d'indications géographiques à l'extérieur de l'Union européenne et donc pour assurer la protection juridique de ces produits sur les marchés extérieurs.
Cela nous permettra non seulement de mieux promouvoir la qualité à l'extérieur de l'Union, mais aussi de protéger nos produits de qualité contre des contrefaçons qu'on trouve encore sur le marché. Il est vrai que ces contrefaçons sont la preuve que les produits européens sont appréciés par les consommateurs à l'extérieur de l'Union mais il nous faut, maintenant, le cadre juridique pour pouvoir protéger nos producteurs vis-à-vis de ces contrefaçons.
La Commission européenne a l'intention de présenter une proposition législative pour la promotion des produits agroalimentaires sur le marché européen et à l'extérieur. Elle entend promouvoir activement les labels de qualité pour que le consommateur européen les reconnaisse. Nous allons investir de l'argent pour promouvoir le logo que nous avons créé dans le cadre de ce règlement, afin que les consommateurs européens puissent mieux identifier les produits de qualité sur le marché.
Concernant les produits locaux et les produits des îles, vous avez demandé des rapports à la Commission. Je peux vous assurer que la Commission a déjà commencé à faire un travail d'évaluation du potentiel de qualité des produits locaux et des produits issus des circuits de commercialisation courte. Ce même travail est fait pour les produits de montagne. Il sera également fait pour les produits des îles. Et, à partir de la fin de cette année, la Commission présentera un rapport accompagné, éventuellement, de propositions législatives pour l'enregistrement de ces labels de qualité. Je peux donc vous assurer que c'est bien notre intention et que nous avons déjà commencé à travailler.
Je tiens à vous remercier encore une fois pour votre soutien à cette proposition législative. J'espère qu'il se concrétisera par un vote positif demain."@sv22
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
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