Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-07-05-Speech-4-204-000"
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"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@fr8
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"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@cs1
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@da2
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@de9
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@el10
"Mr President, the fate of the lesbian, gay, bisexual and transgender (LGBT) community in Africa is of increasing concern. In several sub-Saharan African countries, homosexuality still carries the death penalty. In 27 countries, it is punishable under criminal law. In the case of women, the number rises to 38.
These issues are exploited for political or religious purposes. Homosexuality is denounced as a disease of the West, while homophobia was, in fact, imported from the West by religious people. Several countries are strengthening their repressive laws in this area and, although anti-discrimination legislation exists, it is poorly applied and, in some cases, not applied at all.
Women are even more discriminated against than men. They are victims twice over, as women and as lesbians. The accusation of homosexuality is even used to reduce them to silence when they dare assert their right to be different as well as their rights to autonomy and, more generally, equality, not to mention ‘corrective’ rapes.
Only a few African leaders, like Archbishop Desmond Tutu or Joyce Banda, the new President of Malawi, dare go against the tide. The situation of LGBTs is particularly difficult since they do not have a neighbouring country where they can seek refuge, with discrimination and persecution rife across virtually the entire continent. An analysis of the situation in South Africa, long considered a sort of El Dorado, is worrying.
The European Union simply must not remain silent, but words alone are not enough either. More than ever, it must support the networks that campaign against such discrimination and make these issues a key aspect of the political dialogue with African countries.
The European Union must also throw its doors wide open to those, men and women, who seek asylum because they are victims of discrimination in this area."@en4
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@es21
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@et5
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@fi7
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@hu11
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@it12
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@lt14
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@lv13
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@mt15
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@nl3
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@pl16
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@pt17
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@ro18
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@sk19
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@sl20
"Monsieur le Président, le sort de la communauté LGBT en Afrique inquiète de plus en plus. Dans plusieurs pays d'Afrique sub-saharienne, l'homosexualité est encore punie par la peine de mort. Vingt-sept pays la répriment sur le plan pénal et ils sont au nombre de 38 quand il s'agit de femmes.
Ces questions sont instrumentalisées à des fins politiques ou religieuses. L'homosexualité est dénoncée comme un mal de l'Occident alors que l'homophobie a, justement, été importée d'Occident par des religieux. Plusieurs pays sont en train de renforcer leurs lois répressives dans ce domaine et, même quand des législations antidiscriminatoires existent, elles sont mal appliquées, voire pas du tout appliquées.
Les femmes sont encore plus victimes de ces discriminations que les hommes, doublement victimes, en tant que femmes et en tant que lesbiennes. L'accusation d'homosexualité est même utilisée pour les réduire au silence quand elles osent revendiquer leurs droits à la différence, à l'autonomie et, plus généralement, à l'égalité, sans même parler des viols dits "correctifs".
Seuls quelques dirigeants africains, comme Monseigneur Desmond Tutu ou Joyce Banda, le nouveau président du Malawi, osent aller à contre-courant. La situation des LGBT est d'autant plus difficile qu'ils n'ont aucun pays voisin où se réfugier, puisque discriminations et persécutions sévissent à grande échelle sur la quasi-totalité du continent. L'évaluation de la situation en Afrique du Sud, longtemps considérée comme une sorte d'eldorado, est inquiétante.
L'Union européenne ne peut en aucun cas rester silencieuse et ne peut pas non plus se contenter de mots. Plus que jamais, elle doit soutenir les réseaux qui militent en Afrique contre ces discriminations et faire de ces questions un point clé du dialogue politique avec les États africains.
L'Union européenne doit aussi ouvrir largement ses portes à celles et ceux qui lui demandent asile parce qu'ils sont victimes de discriminations en ce domaine."@sv22
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"Marie-Christine Vergiat,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
"auteure"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
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