Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-07-04-Speech-3-580-000"
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"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@fr8
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"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@cs1
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@da2
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@de9
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@el10
"Mr President, Ms Schaake has raised a very relevant issue with the Presidency of the Council. I am sure its representative will endeavour to provide a response to it.
The situation on the ground, as described, has peaked, reaching new levels of apocalyptic violence and horror – with 800 deaths last week. The Human Rights Watch report, systematic torture in one of the 27 detention centres and the witness reports given are quite unbearable.
At the same time, for just over a week now, I think, we have seen fresh diplomatic initiatives which are maybe precursors of the wind of change needed to find a solution. I think, even so, that the meeting held in Geneva made a start – albeit limited and not totally satisfactorily – towards the proposal for a transitional government of national unity, obviously without Assad and his torturers, but including some among its numbers.
This has two benefits. In this situation, just because we feel that a solution is possible does not necessarily mean there will be less violence on the ground. Quite the contrary. We could see an escalation of violence by the regime. From this point of view, this proposal both encourages the mass desertions seen among soldiers of the regular army but must also enable acceptance of members of the Assad regime and the Baath Party as part of this interim solution. As things stand, I believe that this is extremely important.
I hope that this prospect, which was encouraged by the meeting of all the components of the Syrian opposition, by the Arab League this week, by the meetings of the Russian Foreign Minister with the Syrian opposition, marks a turning point in this situation which offers a glimmer of hope. Moreover, I think that the EU should fully exploit this glimmer of hope, especially at the meeting of the Friends of the Syrian people in Paris at the end of the week."@en4
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@es21
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@et5
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@fi7
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@hu11
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@it12
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@lt14
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@lv13
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@mt15
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@nl3
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@pl16
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@pt17
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@ro18
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@sk19
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@sl20
"Monsieur le Président, ma collègue Schaake a adressé une question tout à fait pertinente à la présidence du Conseil. Je suis sûre que son représentant va s'attacher à y répondre.
La situation sur le terrain, telle qu'elle a été décrite, atteint des sommets de violence et d'horreur apocalyptiques, à un niveau inégalé – 800 morts la semaine dernière. Le rapport de
la torture systématique dans l'un des 27 centres de détention et les témoignages sont tout à fait insoutenables.
Dans le même temps, je crois qu'on observe, depuis un peu plus d'une semaine, de nouvelles initiatives diplomatiques qui, peut-être, préfigurent les éléments de changement nécessaires pour la recherche d'une solution. Je pense que la réunion qui s'est tenue à Genève a quand même amorcé – même si c'est limité, même si c'est insatisfaisant – une proposition de gouvernement transitoire d'union nationale sans, évidemment, Assad et les tortionnaires, mais en prenant en compte une partie de sa formation.
Cela comporte deux avantages. Dans cette situation, ce n'est pas parce qu'on sent qu'une solution est possible que la violence sera moindre sur le terrain. Au contraire! On risque d'assister à une surenchère de violence de la part du régime. De ce point de vue, cette proposition permet à la fois d'encourager les désertions massives observées parmi les soldats de l'armée régulière et doit également permettre d'accueillir, dans cette solution transitoire, des membres du régime Assad et du parti Baas. Dans la situation actuelle, je crois que c'est extrêmement important.
Je souhaite que cette perspective, qui a été encouragée par la réunion de toutes les composantes de l'opposition syrienne, par la Ligue arabe cette semaine, par les rencontres du ministre des affaires étrangères russe avec l'opposition syrienne, marque des changements dans la situation qui ouvrent une lueur d'espoir. Et cette lueur d'espoir, je crois que l'Union européenne doit l'exploiter pleinement, et l'exploiter aussi à Paris à la fin de la semaine, lors de la réunion des Amis du peuple syrien."@sv22
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"Human Rights Watch"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
"Hélène Flautre,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
"au nom du groupe Verts/ALE"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
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