Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-05-24-Speech-4-332-000"
Predicate | Value (sorted: default) |
---|---|
rdf:type | |
dcterms:Date | |
dcterms:Is Part Of | |
dcterms:Language | |
lpv:document identification number |
"en.20120524.23.4-332-000"6
|
lpv:hasSubsequent | |
lpv:speaker | |
lpv:spoken text |
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@fr8
|
lpv:spokenAs | |
lpv:translated text |
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@cs1
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@da2
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@de9
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@el10
"Mr President, I would say, like my fellow MEP who has just spoken, that my group was somewhat surprised, not because Venezuela was the subject of an emergency motion, as we have had many of these in the case of Venezuela, but because this motion related to Venezuela’s possible withdrawal from the Inter-American Commission on Human Rights.
There are a great many emergencies in the world, and we are a little baffled by this motion, all the more so as the decision of whether or not belong to this Commission falls clearly under national jurisdiction.
Might I remind you that neither the United States nor Canada chose to belong to this Inter-American Commission on Human Rights. That triggered no response from Parliament, as far as I am aware.
Now, what does Venezuela have against this Commission? That it is politically biased, and has called the country to account much more over recent months than it had done, previously, over a period of 30 years, although the situation, according to Venezuela, has not deteriorated in any way.
Our position is very clear. We support the Inter-American Commission on Human Rights; we would like to strengthen it; and we, in my group, are extremely attentive to what is happening in Venezuela. However, this motion, in light of everything else that is happening in the world today, really seems to be a distraction, if I may use that expression, from our Thursday afternoon session on human rights."@en4
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@es21
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@et5
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@fi7
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@hu11
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@it12
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@lt14
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@lv13
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@mt15
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@nl3
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@pl16
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@pt17
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@ro18
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@sk19
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@sl20
"Monsieur le Président, je dirai, comme la collègue qui m'a précédée, que mon groupe est un tout petit peu surpris, non pas parce que le Venezuela fait l'objet d'une résolution d'urgence – nous en avons eu beaucoup concernant le Venezuela –, mais parce que celle-ci porte sur le fait que le Venezuela envisage de se retirer de cette commission interaméricaine des droits de l'homme.
Alors, il y a beaucoup d'urgences dans le monde, et cela nous désarçonne un peu, d'autant plus que la décision d'appartenir ou non à cette commission relève tout de même bien du pouvoir des nations.
Puis-je vous rappeler tout de même que ni les États-Unis, ni le Canada n'ont voulu faire partie de cette commission interaméricaine des droits de l'homme, et je ne pense pas que cela ait déchaîné notre Assemblée.
Maintenant, que reproche le Venezuela à cette commission? D'avoir eu un biais politique, de l'avoir interpelé bien plus au cours des derniers mois qu'elle ne l'avait fait, auparavant, en trente ans, alors que la situation, selon le Venezuela, ne s'est pas dégradée.
Notre position est très claire. Nous soutenons la commission interaméricaine des droits de l'homme, nous voulons la renforcer, nous sommes extrêmement attentifs dans mon groupe à ce qui se passe au Venezuela. Mais ceci, compte tenu de tout ce qui se passe dans le monde aujourd'hui, nous semble réellement une dérive – si je puis m'exprimer ainsi – de notre session sur les droits de l'homme du jeudi après-midi."@sv22
|
lpv:unclassifiedMetadata |
"Véronique De Keyser,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
"auteure"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,2,10,7,3,13,21,9,17,12,8
|
lpv:videoURI |
Named graphs describing this resource:
The resource appears as object in 2 triples