Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-05-09-Speech-3-055-000"
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"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@fr8
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"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@cs1
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@da2
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@de9
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@el10
"Mr President, Mr Wammen, Commissioner, lower prices will be applied to voice calls, SMS and data in favour of all European consumers from 1 July, then again from 1 July 2013, and finally from 1 July 2014.
These reductions will be important because Parliament has called for them and implemented them. In this regard, I would like to thank all my colleagues who have formed a united front when it was needed against the Council and the Commission and I would like, above all, to thank Angelika Niebler, who was an exemplary rapporteur.
The Commission’s initial proposal was not very ambitious. It essentially aimed to lower wholesale prices in order to boost competition, which is largely inexistent among operators. The Council was divided. Many states remain under the influence of their old national monopolies. The Council was therefore seeking to maintain the profits of these national telecommunications champions.
That is precisely where the problem lies in the mobile communication market in the European Union. The market is dominated by a cartel, or at least a
cartel. Four major groups – Vodafone, Deutsche Telekom, Orange and Telefónica Movistar – share some 80% of the mobile communication market in the EU. They are present in all, or nearly all, national markets, either directly or in conjunction with national operators. However, these groups, which all operate at EU level, want, at all costs, to keep national borders in order to impose roaming charges.
I am among those who believe in the need for competition, the famous invisible hand that was so dear to Adam Smith. However, I believe even more in the need to manage the very visible hand of public authorities in order to intervene in markets and impose price reductions where necessary.
Parliament has just taken an important step towards the progressive abolition of unjustified and unjustifiable roaming charges. Our aim must remain a large internal market which also applies to mobile communications. The Group of the Progressive Alliance of Socialists and Democrats in the European Parliament in particular has succeeded in insisting that the Commission present a report evaluating developments in prices in the market no later than 30 June 2016.
I will quote Article 19(2): ‘If the report shows that the structural measures provided for by this regulation have not been sufficient to promote competition in the internal market for roaming services for the benefit of all European consumers, or that the differences between roaming tariffs and national tariffs have not approached zero, the Commission shall make appropriate proposals to the European Parliament and the Council to address this situation and thus achieve an internal market for mobile communication services, ultimately with there being no difference between national and roaming tariffs’.
Commissioner, such is and remains our ambition and I know that the vast majority of MEPs support us in this respect.
What we will vote on tomorrow, ladies and gentlemen, is, in fact, a gift for all Europeans for Europe Day, which we are celebrating today. It is a gift that will be very much appreciated because, as Angelika Niebler but also the Commissioner have just said, today, everyone needs their mobile telephone or these other devices that form the world of modern communication."@en4
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@es21
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@et5
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@fi7
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@hu11
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@it12
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@lt14
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@lv13
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@mt15
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@nl3
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@pl16
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@pt17
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@ro18
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@sk19
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@sl20
"Monsieur le Président, Monsieur le Président du Conseil, Madame la Commissaire, une baisse des prix interviendra pour les appels vocaux, les SMS et la transmission des données en faveur de tous les consommateurs européens à partir du 1er juillet prochain, puis de nouveau à partir du 1er juillet 2013, et enfin à partir du 1er juillet 2014.
Ces baisses seront importantes parce que le Parlement européen les a voulues et les a imposées. À cet égard, j'aimerais remercier tous les collègues qui ont fait front au moment nécessaire contre le Conseil et la Commission et j'aimerais surtout remercier notre collègue Angelika Niebler, qui fut une rapporteure exemplaire.
La proposition initiale de la Commission n'était pas très ambitieuse. Elle visait essentiellement une baisse des prix de gros afin de stimuler la concurrence largement inexistante entre opérateurs. Le Conseil était divisé. Beaucoup d'États restent sous influence de leurs anciens monopoles nationaux. Le Conseil cherchait donc à préserver les bénéfices de ces champions téléphoniques nationaux.
C'est justement là où réside le problème du marché de la communication mobile dans l'Union européenne. Le marché est dominé par un cartel, ou du moins un cartel de fait. Quatre grands groupes – Vodaphone, Deutsche Telekom, Orange et Telefónica Movistar – se partagent quelque 80 % du marché de la communication mobile dans notre Union. Ils sont présents dans tous les marchés nationaux ou presque, soit directement, soit en alliance avec des opérateurs nationaux. Et pourtant, ces groupes qui, tous, opèrent au niveau de l'Union, veulent coûte que coûte maintenir les frontières nationales pour mieux taxer l'itinérance.
Je suis de ceux qui croient à la nécessité de la concurrence, la célèbre main invisible chère à Adam Smith. Mais je crois encore davantage à la nécessité de manier la main bien visible de la puissance publique pour intervenir dans les marchés et imposer des baisses des prix si elles sont nécessaires.
Le Parlement vient de faire un pas important vers l'abolition progressive de ces frais d'itinérance injustifiés et injustifiables. Notre but doit rester un grand marché intérieur qui s'applique également aux communications mobiles. Le groupe socialiste notamment a réussi à imposer que la Commission présente au plus tard le 30 juin 2016 un rapport permettant d'apprécier l'évolution des prix intervenue sur le marché.
Je cite l'article 19, paragraphe 2: "S'il ressort du rapport que les mesures structurelles prévues par le présent règlement ont été insuffisantes pour renforcer la concurrence sur le marché intérieur des services d'itinérance au bénéfice de tous les consommateurs européens ou que les différences entre les tarifs d'itinérance et les tarifs nationaux ne se rapprochent pas de zéro, la Commission adresse des propositions appropriées au Parlement européen et au Conseil pour remédier à la situation et réaliser ainsi un marché intérieur des services de communications mobiles, à terme sans distinction entre les tarifs nationaux et les tarifs d'itinérance."
Madame la Commissaire, telle est et reste notre ambition et je sais que la grande majorité des députés du Parlement nous appuie à cet égard.
Ce que nous allons voter demain, chers collègues, est en fait un cadeau à tous les Européens pour la Journée européenne que nous fêtons aujourd'hui. C'est un cadeau qui sera très apprécié, parce que, comme vient de le dire Angelika Niebler, mais également Mme la commissaire, tout le monde a aujourd'hui besoin de son portable ou de ces autres appareils qui constituent le monde de la communication moderne."@sv22
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"Robert Goebbels,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,12,17,8
"au nom du groupe S&D"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,12,17,8
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