Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-03-13-Speech-2-681-000"

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"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@fr8
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"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@cs1
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@da2
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@de9
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@el10
"Mr President, in conclusion, I can but welcome the fact that we have reached this stage. As some of you have mentioned, so that it can be said that both sides are happy, the issue of BSE must also be finalised on the US side. What happened on 9 March was a step in the right direction. Ms McGuinness mentioned the question of treatment with lactic acid. The European Commission has said several times – in fact, at every opportunity when dealing with the United States – that this issue of lactic acid has to be dealt with scientifically, rather than as a bargaining chip. In the same way that we are also asking for the issue of BSE to be treated in a scientific manner. When there is scientific proof that we have this disease under control, this measure should not be used as a non-tariff barrier. As regards lactic acid, this is the method that the European Commission has chosen to handle this issue. The EFSA has carried out scientific studies on the treatment of carcasses with lactic acid. The European Commission will come to a position on the basis of the scientific analysis and I hope that this issue is not going to hold up the United States’ decision on BSE. As regards the most practical regulation for the quota system, some might find it is not perfect but, unfortunately, we do not have a perfect system. We are actually in the process of analysing, in the wake of complaints from various importers, how these systems can be improved for greater transparency and predictability. Here too, however, we are restricted by the methods with which we are familiar. Ms Băsescu, as regards the geographical indication quality system, we are still in negotiations with the United States to reach a mutual recognition of geographical indication quality systems, other than for alcoholic beverages and wine, for which we have the elements of a specific agreement. However, we are also hoping to achieve recognition for this geographical indication system at the World Trade Organisation. Moreover, with some countries, some large countries like China, for example, but also with others, we always deal with the issue of recognition of geographical indication systems in bilateral agreements. We are also hoping to make progress with the United States on this issue. A good sign that things are moving forward is the recently concluded agreement on the mutual recognition of our certification systems for organic products. European products can now be exported to the US market with a European organic certification, and this is also the case for US products on the European market. This shows that negotiations and agricultural and food industry diplomacy can also produce good results. My thanks once again to Ms Quisthoudt-Rowohl for the reports and thanks also to the European Parliament for showing once again that the codecision system not only gives legitimacy to the decisions taken at European level, but it also allows it to be done quickly and effectively."@en4
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@es21
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@et5
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@fi7
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@hu11
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@it12
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@lt14
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@lv13
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@mt15
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@nl3
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@pl16
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@pt17
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@ro18
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@sk19
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@sl20
"Monsieur le Président, en conclusion, je ne peux que me réjouir du fait qu'on est arrivé à ce stade. Comme certains d'entre vous l'ont mentionné, pour qu'on puisse dire qu'on est content des deux côtés. Cette question liée à l'ESB doit aussi être finalisée du côté des États-Unis. Ce qui s'est passé le 9 mars, c'est un bon pas en avant dans la bonne direction. Mme McGuinness avait fait mention de la question du traitement à l'acide lactique. La Commission européenne a mentionné à plusieurs reprises – en fait, à chaque fois qu'elle en a eu l'occasion en relation avec les États-Unis – que cette question de l'acide lactique devait être traitée de manière scientifique et non pas comme élément de négociation. De la même manière que nous demandons que la question de l'ESB soit traitée aussi de manière scientifique. Quand il y a la preuve scientifique que nous avons le contrôle de cette maladie, il ne faut pas que cette mesure soit utilisée comme une barrière non tarifaire. Concernant l'acide lactique, c'est la voie que la Commission européenne a choisi pour traiter cette question. L'EFSA a fait des études scientifiques sur le traitement des carcasses à l'acide lactique. La Commission européenne viendra avec une position sur la base de l'analyse scientifique et j'espère que cette question ne va pas entraver la décision des États-Unis concernant l'ESB. Concernant la réglementation plus pratique relative au système des contingents, peut-être que certains trouvent qu'elle n'est pas parfaite, mais, malheureusement, on n'a pas de système parfait. On est justement en train d'analyser, suite à des plaintes de différents importateurs, comment on peut améliorer ces systèmes pour plus de transparence et de prévisibilité. Mais là aussi on est limité par les méthodes dont on a connaissance. Mademoiselle Băsescu, concernant le système de qualité d'indication géographique, avec les États-Unis, on est encore en négociation pour arriver à une reconnaissance mutuelle des systèmes d'indication géographique autres que pour les boissons alcoolisées et le vin pour lesquels on a des éléments d'accord spécifique. Mais on espère arriver aussi dans le cadre de l'Organisation mondiale du commerce à une reconnaissance de ce système d'indication géographique. D'ailleurs, avec certains pays, certains grands pays comme la Chine par exemple, mais avec d'autres aussi, dans les accords bilatéraux, on traite chaque fois la question de la reconnaissance des systèmes d'indication géographique. On espère pouvoir avancer aussi avec les États-Unis sur cette question. Un bon signe que les choses peuvent avancer, c'est l'accord conclu récemment sur la reconnaissance mutuelle de nos systèmes de certification des produits écologiques, des produits bio. Les produits européens peuvent maintenant être exportés sur le marché américain avec une certification bio européenne, et c'est aussi le cas pour les produits américains sur le marché européen. Cela prouve que les négociations et que la diplomatie agricole, agro-alimentaire, peuvent donner de bons résultats aussi. Merci encore une fois à Madame Quisthoudt-Rowohl pour les rapports et merci encore au Parlement européen de prouver une fois de plus que le système de codécision non seulement donne plus de légitimité aux décisions qu'on prend au niveau européen, mais permet aussi de le faire dans un court laps de temps et de manière efficace."@sv22
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
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