Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-03-13-Speech-2-295-000"
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"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@fr8
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"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@cs1
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@da2
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@de9
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@el10
"One hundred and one years after International Women’s Day was first celebrated, there is one clear conclusion: inequality remains, and that includes the European Union. For this reason, this afternoon’s vote on the report by Sophia in ’t Veld on equality between men and women in the European Union in 2011 is important. Whilst there is no shortage of goodwill, mentalities have changed little and the ‘glass ceiling’ is as tough as ever.
I strongly support two of the published priorities. The first aims at ending violence against women. Its everyday occurrence in all forms (physical, sexual, mental or economic) is worrying. In Belgium, domestic violence is the number one cause of death amongst women aged 15 to 44. The other priority concerns the objective of equal pay for women and men for the same work and the same qualifications. There is no justification for women earning 17.5% less, on average, than their male counterparts.
I would also like to mention the policy on quotas advanced in the report. Even applied in small doses to corporate management bodies, I do not think that offsetting
inequality with legal inequality would be the right solution and one that would lead to a real change in mentalities. After all, this is the objective that we are striving to achieve."@en4
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@es21
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@et5
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@fi7
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@hu11
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@it12
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@lt14
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@lv13
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@mt15
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@nl3
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@pl16
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@pt17
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@ro18
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@sk19
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@sl20
"101 ans après la première célébration de la Journée internationale de la femme, une conclusion s'impose: les inégalités persistent, y compris dans l'Union européenne. Le vote ce midi du rapport in 't Veld sur l'égalité entre les sexes dans l'Union en 2011 est à ce titre important. Si les bonnes volontés ne manquent pas, les mentalités changent peu et le "plafond de verre" est toujours aussi résistant.
Je soutiens fermement deux des priorités affichées. La première est celle visant l’élimination des violences faites aux femmes. Leur banalisation sous toutes leurs formes (physique, sexuelle, psychique ou économique) est inquiétante. En Belgique, les violences conjugales constituent la première cause de mortalité des femmes de 15 à 44 ans. L'autre priorité concerne l'objectif de rémunération égale femmes/hommes à travail et à diplômes égaux. Rien ne justifie que les femmes gagnent en moyenne 17,5 % de moins que leurs partenaires masculins.
Un mot aussi sur la politique des quotas que promeut le rapport. Appliqués même à dose homéopathique dans les organes de gestion des entreprises, je ne pense pas que compenser une inégalité de fait par une inégalité de droit soit la bonne solution et influence un changement réel des mentalités. Puisque tel est l'objectif à atteindre!"@sv22
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"Frédérique Ries (ALDE ),"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,17,12,8
"par écrit"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,17,12,8
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