Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-03-12-Speech-1-126-875"

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lpv:speaker	lp:Véronique Mathieu Houillon⁶
lpv:spoken text	"Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@fr⁸
lpv:spokenAs	member; EPP (2009-07-14--2013-05-21)²³ unknown; Union pour un Mouvement Populaire - Parti Radical (2010-10-20--2013-04-14)²³ member; LIBE (2012-01-19--2014-06-30)²³ member; Delegation for relations with the countries of Southeast Asia and the Association of Southeast Asian Nations (ASEAN) (2010-05-17--2014-06-30)²³ substitute; Delegation for relations with the People's Republic of China (2011-09-07--2014-06-30)²³ substitute; AGRI (2012-01-19--2014-06-30)²³ substitute; CONT (2012-01-19--2014-06-30)²³
lpv:translated text	"Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@cs¹ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@da² "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@de⁹ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@el¹⁰ "Defending women’s rights is not an outdated cause. Naturally, throughout Europe equality between men and women is enshrined in legislation. However, the facts remain, and latent discrimination still continues: all we have to do is to take a look around us to see that. Two thirds of MEPs are men. Defending women’s rights also means pointing out that women must be free to make decisions about their own bodies. All women must have access to information and contraception. Let us not forget the importance of education on this point, as well as organisations providing advice and support to women, such as family planning. Maternity should be a choice, not a scourge. We fought for centuries in Europe for free will and freedom of choice: let us not adopt a regressive attitude in talking about women. Rights to sexual and reproductive health must be protected. Of course, we may differ as to the exact interpretation and definition of these rights, particularly with regard to abortion. We cannot, however, differ about our wish to protect women, irrespective of their choices. When abortion is legal and possible, we cannot abandon these women, at the expense of their health."@en⁴ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@es²¹ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@et⁵ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@fi⁷ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@hu¹¹ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@it¹² "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@lt¹⁴ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@lv¹³ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@mt¹⁵ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@nl³ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@pl¹⁶ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@pt¹⁷ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@ro¹⁸ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@sk¹⁹ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@sl²⁰ "Défendre les droits des femmes n'est pas une cause surannée. Certes la législation consacre partout en Europe l'égalité homme-femme. Cependant les faits sont là et une discrimination latente persiste: nous n'avons qu'à regarder autour de nous pour nous en rendre compte. Deux tiers des eurodéputés sont des hommes. Défendre les droits des femmes c'est également rappeler qu'une femme doit disposer librement de son corps. Chaque femme doit pouvoir avoir accès à l'information et à la contraception. Ne négligeons pas l'importance de l'éducation à ce titre et de structures pouvant conseiller les femmes et les encadrer comme le planning familial. La maternité doit être choisie et non subie. Nous nous sommes battus pendant des siècles en Europe pour le libre arbitre et la liberté de choix : ne soyons pas rétrograde quand nous parlons de femmes. Les droits à la santé sexuelle et génésique doivent être protégés. Certes nous pouvons différer quant à l'interprétation et la définition exacte de ces droits, notamment en ce qui concerne l'avortement. Mais nous ne pouvons différer quant à notre volonté de protéger les femmes quel que soit leur choix. Quand l'avortement est légal et possible, nous ne pouvons abandonner ces femmes au détriment de leur santé."@sv²²
lpv:unclassifiedMetadata	"Véronique Mathieu (PPE ),"^{18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8} "par écrit."^{18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8}