Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-02-15-Speech-3-605-000"
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"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@fr8
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"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@cs1
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@da2
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@de9
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@el10
"Mr President, I have listened very carefully to what has been said by your rapporteur in his own speech and thereafter. I would like to thank Ms Roithová and Mr Stoyanov, the rapporteurs for their committees, for having welcomed the improvements proposed for this Commission text by the Commission and by your rapporteur to make the guarantee scheme more effective and less costly, as indeed Mr Simon has pointed out, particularly for the most vulnerable, of whom there are many at present.
That is why I would like to thank you, Mr Simon, for the efforts that you will continue to make in the coming hours, days and weeks to enable us to reach an agreement with the Council. In any case, I shall be ready to play my part in it.
I would like to thank Mr Balz for having pointed out the logical link – in a sense, the synergy – that I myself had proposed in the discussions, with the plan for the resolution scheme that the Commission is about to propose in the coming weeks. Mr Klinz, first of all, very strongly emphasised how important it is to have a scheme – you said a single European scheme – or at least an identical one, so that countries lagging behind can catch up with those who have already introduced this guarantee scheme. This must be a consistent scheme and I, like you, Mr Klinz, Mr Paška and Ms Băsescu, think that this helps the financial stability of the European Union.
This harmonisation that Mr Klinz and Ms Ţicău have just mentioned will be one of the major achievements of this plan when it is made official and operational. I would like to point out, ladies and gentlemen, that these patient, tenacious, week-on-week efforts are all working in the same direction, towards a single market for financial services, much as we have, for 50 years, been building a single market in all the other domains. However, I would like to be the Commissioner who, with you, will develop and, if possible, bring to completion the single market in financial services. This text contributes to that.
Mr Giegold requested, as I myself have done, new advances from the Council to enable us to reach a compromise as quickly as possible and I share, Mr Giegold, your point of view, that, and I had said this myself as had Mr Simon, that a riskier bank must pay more. That is clearly the rationale behind this text.
I would like to say just a word to Ms Ford and Ms Swinburne who have scrutinised this text closely. I honestly believe, Ms Ford, Ms Swinburne, that together, we have struck the right balance between prevention and the costs of prevention. I should like to note further that this text allows for a transition period during which the guarantee fund will progressively become fully functional and complete.
I should also like to note that this text has a signal advantage. It allows a mixture, with
prevention being added to
cure. You can see, and here I am addressing Ms Ford and Ms Swinburne, that when we have not sufficiently planned for
prevention, or indeed planned for it at all, we end up with deposit guarantee schemes in deficit. That is the case in a number of countries. I would like to say that this scheme seems to me to have struck the right balance
I also think that when we speak about all these matters – Mr Klinz you spoke about the crisis and the failure of a particular bank – I shall not fail to remember that it was clearly the financial crisis and the behaviour of a number of banks that shattered growth and placed many citizens in great difficulties.
I would like – as I think I have replied to everyone – to thank you for your support and simply say to Mr Simon that as Commissioner responsible for this matter, I have confidence in him and the coordinator. I have faith in you regarding a text that provides a good compromise for the economy, for depositors – particularly the most vulnerable – and one which will enable a rapid solution to be reached. I shall continue to be available to facilitate an agreement between the Council and Parliament.
Ladies and gentlemen, given the current situation, this citizen project is too important to remain in the realms of theory. We must bring this project to a successful conclusion. It is crucial for the citizen’s Europe that we wish to construct and also to provide a practical response to the worries and concerns of a number of citizens."@en4
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@es21
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@et5
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@fi7
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@hu11
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@it12
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@lt14
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@lv13
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@mt15
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@nl3
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@pl16
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@pt17
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@ro18
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@sk19
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@sl20
"Monsieur le Président, naturellement dans le prolongement de votre rapporteur et de sa propre intervention, j'ai écouté avec beaucoup d'attention ce qui a été dit. Je remercie Mme Roithová et M. Stoyanov, rapporteurs pour leur commission, d'avoir salué les avancées qui ont été proposées dans ce texte de la Commission amélioré par la Commission et votre rapporteur pour rendre le système de garantie plus efficace et moins coûteux comme d'ailleurs l'a dit M. Simon, notamment pour les personnes les plus fragiles, qui sont nombreuses en ce moment.
Voilà pourquoi je vous remercie, Monsieur Simon, des efforts que vous continuerez de faire dans les heures, dans les jours ou dans les semaines qui viennent pour que nous trouvions un accord avec le Conseil. En tout cas, je serai prêt à y participer.
Je remercie M. Balz d'avoir souligné le lien logique – j'allais dire la synergie – que j'ai moi-même proposé, dans le courant de la discussion, avec le projet concernant le système de résolution que la Commission est prête à proposer dans les toutes prochaines semaines. M. Klinz a, le premier, avec beaucoup de force, rappelé l'importance d'avoir un système – vous avez dit unitaire européen – en tout cas identique, pour que les pays qui ont du retard se mettent au niveau de ceux qui ont déjà mis en place ce système de garantie. Ce doit être un système cohérent et je pense comme vous, M. Klinz, M. Paška et Mme Băsescu, que cela contribue à la stabilité financière de l'Union européenne.
Cette harmonisation que M. Klinz et Mme Ţicău viennent d'évoquer, c'est un des grands acquis de ce projet, le jour où il sera officialisé et opérationnel. Je vous fais observer, Mesdames et Messieurs les députés, que cette construction patiente, tenace, semaine après semaine, va dans le même sens, celui d'un marché unique pour les services financiers, comme nous avons commencé depuis cinquante ans à construire un marché unique dans tous les autres domaines. Mais je veux être le commissaire qui aura, avec vous, fait progresser et si possible aboutir, le marché unique dans les services financiers. Ce texte y contribue.
M. Giegold a demandé, comme je l'ai moi-même fait, qu'il y ait de nouvelles avancées du Conseil pour aboutir le plus rapidement possible à un compromis et je partage, Monsieur Giegold, votre analyse, selon laquelle, je l'avais moi-même dit, comme M. Simon, une banque plus risquée doit payer davantage. C'est clairement la logique de ce texte.
Juste un mot à Mme Ford et à Mme Swinburne qui ont regardé ce texte avec beaucoup d'attention. Je pense franchement, Madame Ford, Madame Swinburne, que nous avons atteint ensemble un bon équilibre entre la prévention et le coût de la prévention. Je fais observer d'ailleurs qu'il y a dans ce texte une période de progressivité pour atteindre le moment où le fonds de garantie sera totalement complet et opérationnel.
Et je fais observer aussi que ce texte présente un grand avantage. Il permet de mixer, d'ajouter la prévention
et la réparation
Vous voyez bien, je le dis à Madame Ford et à Madame Swinburne, que lorsqu'on n'a pas suffisamment ou parfois pas du tout prévu de prévention
on aboutit à des systèmes de garantie de dépôt qui sont en déficit. C'est le cas dans un certain nombre de pays. Je veux dire que ce système me paraît avoir atteint un bon équilibre.
Je pense aussi que quand on parle de tous ces sujets – vous avez rappelé M. Klinz la crise et la faillite de telle ou telle banque – je ne cesserai pas de rappeler que ce qui a cassé la croissance et qui a mis en grande difficulté beaucoup de citoyens, c'est clairement la crise financière et le comportement d'un certain nombre de banques.
Je voudrais – ayant je crois répondu à tout le monde – vous remercier pour votre soutien et simplement dire à Peter Simon qu'en tant que commissaire en charge de ce dossier je lui fais confiance ainsi qu'au coordinateur. Je vous fais confiance sur un texte qui est un bon compromis pour l'économie, pour les déposants – notamment les plus fragiles – pour aboutir rapidement à une solution. Je continuerai à être disponible pour faciliter un accord entre le Conseil et le Parlement.
Mesdames et Messieurs, dans le moment que nous vivons c'est un projet citoyen trop important pour qu'il reste virtuel. Nous devons mener à bien ce projet, c'est très important pour l'Europe citoyenne que nous souhaitons construire et pour répondre concrètement à la préoccupation et à l'inquiétude d'un certain nombre de citoyens."@sv22
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"Michel Barnier,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
"ex ante"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,7,2,10,3,13,4,21,9,17,12,8
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