Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-02-14-Speech-2-370-000"
Predicate | Value (sorted: default) |
---|---|
rdf:type | |
dcterms:Date | |
dcterms:Is Part Of | |
dcterms:Language | |
lpv:document identification number |
"en.20120214.20.2-370-000"6
|
lpv:hasSubsequent | |
lpv:speaker | |
lpv:spoken text |
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@fr8
|
lpv:translated text |
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@cs1
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@da2
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@de9
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@el10
"−
Mr President, I would like to thank you for your contribution to the debate throughout the consultation period on this agreement, which is extremely important for our bilateral relations with Morocco. I also welcome this significant step forward in the Treaty of Lisbon, which allows us to hold an in-depth, open and transparent democratic debate on an issue as fundamental as a trade agreement.
Rest assured that the European Commission will monitor strictly the volumes imported, especially for the most sensitive products, as well as the quality and safety of the products. This agreement will also enshrine Morocco’s undertaking to open negotiations on a bilateral agreement on geographical indications. You are all aware of how important that aspect is for the European Union. That commitment is a step towards a quality policy, which I strongly champion, as you know.
Finally, I have heard recurring concerns about the functioning of the entry price mechanism for the fruit and vegetable sector. In that regard, I would remind you that in the reform of the common agricultural policy we have now made provision for aligning the entry price mechanism with the Customs Code rules, and that will undoubtedly improve the functioning of this entry price system, which some of you had requested. I promise to move this matter forward as soon as possible. Indeed, the proposal is already being examined by the Council and Parliament in the context of the reform.
This Parliament is going to adopt a strong resolution to accompany this vote. I can assure you that the European Commission will come back to you with a precise follow-up to all of the issues that you have raised.
Once again, I call on you to support this agreement with Morocco, which is an important partner on both a political and an economic level to the south of the Mediterranean.
I will begin with a few general comments on the substance that I feel are important and then I will answer some of the specific questions that you have raised recently about this agreement.
Morocco is not just a partner like all the others. It is an important partner on a political and economic level, but also on a human level. It is a country that has had an advanced status since 2008 in relation to the European Union. Morocco has demonstrated its desire to forge close ties with the European Union and has undertaken to continue in that direction, in particular by aligning its agricultural policies with the Community
.
In the political context of the Arab Spring, we want to deepen our partnership even further in order to reinforce the democratic momentum through greater political and economic support, including in the field of agriculture. The trade agreement with Morocco forms part of the European Union’s responsibilities and its commitment to promote the development of Moroccan agriculture.
It is very clear that we wish to support Morocco’s Green Plan, which offers targeted incentives for small Moroccan farms and local operators. They are a key link in terms of the security and stability of the food supply chain and the country’s economic and social development. This is a very important aspect, in my opinion, and I can assure you that I am monitoring it personally.
If we look more specifically at the agreement, I feel that it is an important marker of Morocco’s advanced status, a marker negotiated with great care over a number of years. This agreement, which I strongly urge you to support, is a balanced agreement on the whole and it opens up trade prospects for our farming sector. The internal balance of the agricultural negotiations is an essential element, in my mind, not only for this agreement with Morocco but also for future agreements.
I understand that there may be concerns about it. I think that we have managed to alleviate those concerns in recent weeks and I want to mention a couple of specific points.
As far as fruit and vegetables are concerned, I can assure you that they were dealt with in a very sensitive manner when the agreement was being negotiated. It contains all of the provisions needed to safeguard the future of European production, including tomatoes, courgettes, cucumbers, garlic, clementines and strawberries. These products will not be liberalised by the agreement.
Equal attention was paid to the health aspects. Consumer safety is not negotiable and Morocco takes this matter very seriously, as demonstrated by the latest inspections by the European Union’s Food and Veterinary Office, carried out as recently as February. The Commission also provides technical assistance to improve Morocco’s administrative capacities, including in this area. The agreement will strengthen the channels of bilateral cooperation, the safeguard clauses and the provisions on the sanitary and phytosanitary rules and standards of the European Union. Clear provisions on these aspects are included in the agreement."@en4
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@es21
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@et5
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@fi7
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@hu11
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@it12
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@lt14
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@lv13
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@mt15
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@nl3
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@pl16
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@pt17
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@ro18
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@sk19
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@sl20
"Monsieur le Président, je tiens à vous remercier pour votre contribution au débat durant toute la période de consultation sur cet accord très important pour nos relations bilatérale avec le Maroc. Je me félicite d'ailleurs de cette avancée considérable du traité de Lisbonne, qui nous permet de tenir un débat démocratique approfondi, ouvert et transparent sur une question aussi fondamentale qu'un accord commercial.
Je peux vous assurer que la Commission européenne va réaliser un suivi strict tant des volumes importés, notamment pour les produits les plus sensibles, que de la qualité et de la sûreté alimentaire de ces produits. Cet accord va aussi se traduire par l'engagement du Maroc à ouvrir des négociations en vue d'un accord bilatéral sur les indications géographiques. Et vous savez combien cet aspect est important pour l'Union européenne. Cet engagement va dans la direction d'une politique de qualité dont vous savez que je suis un grand défenseur.
Enfin, j'ai entendu certaines préoccupations récurrentes sur le fonctionnement du mécanisme de prix d'entrée pour le secteur des légumes et fruits. À cet égard, je voulais rappeler que, d'ores et déjà, dans la réforme de la politique agricole commune, on a prévu un alignement du mécanisme de prix d'entrée sur la réglementation du code douanier, dont l'effet sera effectivement un meilleur fonctionnement de ce système de prix d'entrée que certains d'entre vous avaient réclamé. Je m'engage à faire avancer ce dossier dans les meilleurs délais. D'ailleurs, la proposition est déjà sur la table du Conseil et du Parlement dans le cadre de la réforme.
Ce Parlement va adopter une résolution forte pour accompagner ce vote. Je peux vous assurer que la Commission européenne reviendra vers vous avec un suivi précis de tous les sujets que vous aurez soulevés.
Une fois encore, je vous appelle à soutenir cet accord avec le Maroc, un partenaire important, tant sur le plan politique que sur le plan économique au sud de la Méditerranée.
Je commencerai par quelques considérations de fond générales qui me semblent importantes, puis je vais anticiper et répondre à certaines questions spécifiques que vous avez soulevées ces derniers temps sur cet accord.
Le Maroc n'est pas un partenaire comme les autres. C'est un partenaire important sur le plan politique et économique, mais aussi sur le plan humain. C'est un pays qui a un statut avancé depuis 2008, en relation avec l'Union européenne. Le Maroc a montré sa volonté de s'arrimer à l'Union européenne et s'est engagé à poursuivre ce mouvement, notamment en alignant ses politiques agricoles sur l'acquis communautaire.
Dans le contexte politique du printemps arabe, notre partenariat a vocation à s'approfondir encore plus afin de renforcer l'élan démocratique par un soutien politique et économique accru, y compris dans le domaine agricole. L'accord commercial avec le Maroc n'élude pas les responsabilités de l'Union européenne et son engagement pour le développement de l'agriculture marocaine.
Nous avons la volonté très claire de soutenir le plan Maroc vert qui permet d'encourager de façon ciblée les petites exploitations marocaines et les filières locales. Celles-ci sont un maillon clé de la sécurité et de la stabilité de l'approvisionnement alimentaire ainsi que du développement économique et social dans ce pays. C'est un aspect très important pour moi et je peux vous assurer que je suis personnellement ce dossier.
Pour en venir de façon plus spécifique à l'accord, je pense qu'il est un jalon important du statut avancé avec le Maroc, un jalon négocié avec beaucoup d'attention depuis plusieurs années. Cet accord, que je vous appelle clairement à soutenir, est un accord équilibré dans sa globalité, qui ouvre des perspectives commerciales pour notre secteur agricole. L'équilibre interne des négociations agricoles est pour moi un élément essentiel, non seulement pour cet accord avec le Maroc, mais également pour les futurs accords.
Je comprends qu'il ait pu y avoir des inquiétudes. Pendant les dernières semaines, je crois que nous avons pu lever ces inquiétudes et je veux revenir sur quelques points plus précis.
Sur la question des fruits et légumes, je peux vous dire qu'elle a été véritablement traitée comme une question sensible dans les négociations de cet accord. L'accord contient toutes les dispositions à même de préserver l'avenir de la production européenne, comme celle des tomates, des courgettes, des concombres, de l'ail, des clémentines et des fraises. Ces produits ne seront pas libéralisés par l'accord.
Sur les aspects sanitaires, j'insiste aussi. La sécurité des consommateurs n'est pas négociable et le Maroc prend ce sujet très au sérieux, comme l'ont montré d'ailleurs les dernières inspections que l'Office alimentaire et vétérinaire de l'Union européenne a pu réaliser pas plus tard qu'au mois de février. La Commission apporte une assistance technique aussi pour renforcer les capacités administratives marocaines, y compris dans ce domaine. Cet accord va renforcer les voies de coopération bilatérale, les clauses de sauvegarde et les dispositions relatives aux normes et standards sanitaires et phytosanitaires de l'Union européenne. On a clairement prévu ce genre de choses dans l'accord."@sv22
|
lpv:unclassifiedMetadata |
"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
|
lpv:videoURI |
Named graphs describing this resource:
The resource appears as object in 2 triples