Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-02-14-Speech-2-319-000"
Predicate | Value (sorted: default) |
---|---|
rdf:type | |
dcterms:Date | |
dcterms:Is Part Of | |
dcterms:Language | |
lpv:document identification number |
"en.20120214.19.2-319-000"6
|
lpv:hasSubsequent | |
lpv:speaker | |
lpv:spoken text |
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@fr8
|
lpv:translated text |
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@cs1
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@da2
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@de9
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@el10
"−
Mr President, ladies and gentlemen, allow me to congratulate the European Parliament, and Mr Nicholson and the shadow rapporteurs in particular, on their constructive cooperation with the Council and the Commission, which allowed us to improve the Commission’s initial proposal and at the same time reach agreement at first reading.
We managed to reconcile the different approaches adopted at the start through an open discussion among the three institutions and a shared sense of the responsibilities involved, which did not lose sight of the actual aim of the exercise, which was to give the milk sector new instruments to ensure its sustainability and strengthen producer organisations in the sector.
The ‘milk package’ is one of the most important legislative acts in the agricultural sector currently being adopted at first reading under the ordinary legislative procedure established by the Treaty of Lisbon. In my opinion, it truly embodies successful cooperation between Parliament and the Council, which shows that it is not the ordinary legislative procedure that prevents us from taking important decisions quickly and coherently.
The ‘milk package’, as Mr Nicholson said, gives Member States the option of imposing the use of milk delivery contracts between producers and processors. This proposal also allows milk producers who so wish to organise themselves into producer organisations in order to consolidate their position in the food chain, notably through the collective negotiation of milk delivery contracts, which is clearly reinforced in the proposal. They may also be able to benefit from the option given to Member States to require milk purchasers to offer milk producers a contract with a minimum duration of six months. The final text also reflects the desire to take into account the specific nature of cooperatives, which was expressed by the high-level groups consisting of Member State experts.
The ‘milk package’ highlights the role that can be played by interbranch organisations that bring together around one table producers, manufacturers, traders as well as consumers with a view to improving the transparency of the milk supply chain and the mutual understanding of the role of each link in the chain. In another measure to improve transparency, the ‘milk package’ establishes the necessary framework for monitoring milk deliveries after the milk quota scheme expires by stipulating that the relevant data must be supplied in good time, thereby allowing the Commission to provide milk producers and actors operating in the milk sector with timely information on the market.
The ‘milk package’ will also play an important role in regulating the supply of quality cheese with protected geographical indications, which brings benefits in terms of added value and sustainability for vulnerable regions in particular.
I will end by pointing out that two dates have been set to assess the application of the provisions introduced by the ‘milk package’: the first for the end of June 2014 and the second for the end of December 2018.
By each of these dates, the Commission will present to Parliament and to the Council reports on the development of the market situation in the milk sector. The effects on producers in disadvantaged regions will be assessed in particular in relation to the general objective of maintaining production in those regions. We will also examine potential incentives to encourage farmers to enter into joint production agreements."@en4
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@es21
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@et5
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@fi7
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@hu11
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@it12
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@lt14
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@lv13
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@mt15
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@nl3
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@pl16
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@pt17
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@ro18
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@sk19
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@sl20
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs, permettez-moi de féliciter le Parlement européen, et tout particulièrement M. Nicholson ainsi que le rapporteur fictif pour la coopération constructive avec le Conseil et la Commission, qui a permis d'enrichir la proposition initiale de la Commission et de parvenir en même temps à un accord en première lecture.
Les différences d'approche affichées au départ ont pu être surmontées grâce à une discussion ouverte entre les trois institutions ainsi qu'à un grand sens des responsabilités qui n'a pas perdu de vue le véritable objet de l'exercice, à savoir donner au secteur laitier de nouveaux instruments pour assurer la pérennité et renforcer l'organisation des producteurs dans le secteur laitier.
Le paquet "lait" constitue un des premiers actes législatifs importants en matière agricole en passe d'être adopté en première lecture selon la procédure législative ordinaire instaurée par le traité de Lisbonne. Pour moi, il s'agit d'un véritable succès de la coopération entre le Parlement et le Conseil, qui montre que ce n'est pas la procédure ordinaire législative qui nous empêche de prendre des décisions importantes rapidement et de manière cohérente.
Le paquet "lait" donne la possibilité aux États membres, comme M. Nicholson l'a mentionné, de rendre obligatoire le contrat de livraison de lait entre les producteurs et les transformateurs. Cette proposition donne aussi la possibilité aux producteurs laitiers qui le souhaitent de se structurer en organisation de producteurs afin d'affirmer leur position dans la chaîne alimentaire, notamment par la négociation collective des contrats de livraison de leur lait qui est clairement renforcée par cette proposition. Ils pourront également bénéficier de la possibilité laissée aux États membres d'imposer l'obligation aux acheteurs de lait de proposer un contrat aux producteurs laitiers assorti d'une durée minimale d'au moins six mois. Le souci de prendre en compte la nature spécifique des coopératives, exprimé par les groupes de haut niveau organisés autour des experts des États membres, se trouve aussi reflété dans le texte final.
Le paquet "lait" met en lumière le rôle que peuvent jouer les interprofessions qui rassemblent autour d'une même table les producteurs, les industriels, les commerçants, mais aussi les consommateurs pour améliorer la transparence dans la chaîne d'approvisionnement laitier et la compréhension réciproque du rôle de chaque maillon au sein de la filière. Dans ce même souci d'amélioration de la transparence, le paquet "lait" fixe le cadre nécessaire au suivi des livraisons de lait après l'expiration du régime de quotas laitiers en prévoyant la fourniture des données nécessaires en temps utile et donne ainsi la possibilité à la Commission de fournir aux producteurs de lait et aux acteurs du marché laitier les informations du marché en temps utile.
Le paquet "lait" jouera également un rôle important dans la régulation de l'offre de fromage de qualité sous indication géographique, qui apporte notamment dans les régions vulnérables des bénéfices en termes de valeur ajoutée et de durabilité.
Je conclus en disant que deux rendez-vous sont prévus pour faire le point sur l'application des dispositions introduites par le paquet "lait", le premier pour la fin juin 2014 et le deuxième pour la fin décembre 2018.
À chacune de ces échéances, la Commission s'engage à présenter au Parlement et au Conseil des rapports sur l'évolution de la situation du marché dans le secteur laitier. Les effets sur les producteurs dans les régions défavorisées seront notamment évalués en lien avec l'objectif général de préservation de la production dans ces régions. Les incitations potentielles visant à encourager les agriculteurs à conclure des accords de production conjointe seront également évaluées."@sv22
|
lpv:unclassifiedMetadata |
"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
|
lpv:videoURI |
Named graphs describing this resource:
The resource appears as object in 2 triples