Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-01-18-Speech-3-270-000"

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"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@fr8
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"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@cs1
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@da2
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@de9
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@el10
"Mr President, for once, I am not the first to speak up, but I would just like to point out that a debate has taken place. We are a democracy. If it is not working properly, the democrats are there to listen, to move things forward and change. You have all been to Hungary, as have I. For the time being, you can still move freely in Hungary and I do believe that we will be able to move around Hungary for a very long time to come. Politics is politics, but in Hungary there is freedom of movement. Yet it is true that it is not just Hungary facing the current difficulties; we are all facing them. This applies to the whole of Europe. The current crisis will increase the number of poor and I do not think that it is the Hungarian Government at fault for this. Nor would I accuse the governments of yesteryear blaming them for the deficits. We all have a duty to find the solutions. I am sure that here we are looking for solutions with Viktor Orbán, as he is no Chavez – a name which it pains me to use here in this debate, in a democracy, in a democratic house, this is one step too far and not normal. He is here, even if he is not perfect. Who is perfect? Let he who is perfect cast the first stone. I think that together we will find a solution."@en4
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@es21
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@et5
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@fi7
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@hu11
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@it12
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@lt14
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@lv13
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@mt15
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@nl3
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@pl16
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@pt17
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@ro18
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@sk19
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@sl20
"Monsieur le Président, pour une fois, je ne suis pas le premier à m'exprimer, mais je voudrais simplement vous dire que le débat a eu lieu. Nous sommes dans une démocratie. Si elle ne fonctionne pas parfaitement, les démocrates sont là pour écouter, pour avancer et pour changer. Vous avez tous été en Hongrie, et moi aussi j'ai été en Hongrie. Pour le moment, on peut encore circuler librement en Hongrie et je pense que, très longtemps, on pourra encore circuler en Hongrie. La politique, c'est la politique, mais en Hongrie, on circule librement. Seulement, il est vrai que les difficultés que nous connaissons actuellement se posent dans tous nos pays et pas seulement en Hongrie. Cela vaut pour l'ensemble de l'Europe. La crise que nous traversons fera de plus en plus de pauvres et je ne pense pas que ce soit le gouvernement hongrois qui soit en cause. Et moi, je n'accuserais pas ceux qui ont gouverné hier, qui ont aussi été à l'origine des déficits. Nous avons tous la responsabilité de trouver des solutions. Et je suis sûr qu'ici, avec Viktor Orbán, qui n'est pas un Chavez – et cela me fait mal au cœur que, dans ce débat, en démocratie, dans une maison démocratique, on utilise de tels noms, ça va trop loin, ce n'est pas normal – on cherche des solutions. Il est là, même s'il n'est pas parfait. Qui est parfait? Que celui qui est parfait jette la première pierre! Et je crois que, tous ensemble, nous allons trouver la solution."@sv22
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