Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-01-18-Speech-3-130-000"
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"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@fr8
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"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@cs1
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@da2
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@de9
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@el10
"Mr President, firstly I should like to thank my three fellow Members who included me in the discussion group in the spirit of solidarity, as was decided by the chairs of the parliamentary groups.
I should like to say two things about this treaty. Firstly, it is completely useless. We do not need this treaty. This is not a treaty; it is an intergovernmental agreement which is only there, according to those who invented it, to reassure the markets by demanding the integration into national constitutions of what is called the debt brake or the golden rule into national legislation.
All of the markets tell us that they are not interested anyway. We are therefore in the middle of establishing an intergovernmental agreement which does not interest the markets today because they want a policy design of the European economy for tomorrow. This treaty will not guarantee this policy design.
We are asking the Member States who sign this treaty to say, for example, that we need a road map for the Commission on a tax on financial transactions. We are asking for a road map on redemption funds, on Eurobonds. We will not have this in the treaty. In the opinion of our group, with this agreement – you see, I always say ‘treaty’ although it is an agreement –, we are wasting time by trying to improve something which is useless anyway. We are intelligent, we will improve it, but this is not the necessary response to the financial and economic crisis that Europe is currently experiencing.
Parliament needs to be clear. If it does not take legislative initiatives to ask that what needs to be done is done, it will not itself be doing what must be done to avert the crisis today."@en4
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@es21
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@et5
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@fi7
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@hu11
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@it12
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@lt14
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@lv13
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@mt15
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@nl3
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@pl16
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@pt17
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@ro18
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@sk19
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@sl20
"Monsieur le Président, je voudrais d'abord remercier mes trois collègues, qui m'ont intégré d'une manière solidaire dans le groupe de discussion, comme cela avait été décidé par les présidents des groupes parlementaires.
Je voudrais dire deux choses sur ce traité. Premièrement, il est complètement inutile. Nous n'avons pas besoin de ce traité. Ce n'est pas un traité, c'est un accord intergouvernemental qui n'est là que pour, d'après ceux qui l'ont inventé, rassurer les marchés en demandant d'intégrer dans les législations nationales la constitutionnalisation de ce qu'on appelle le frein à l'endettement ou la règle d'or.
Tous les marchés nous disent que, de toute façon, ça ne les intéresse pas. De sorte qu'on est en train de faire un accord intergouvernemental qui n'intéresse pas les marchés aujourd'hui parce qu'ils veulent une conception politique de l'économie de l'Europe pour demain. Et ce traité n'assurera pas cette conception politique.
Nous demandons aux États membres qui signent ce traité, par exemple, de dire: il faut une feuille de route pour la Commission sur la taxe sur les transactions financières. Nous demandons une feuille de route pour le fonds de rédemption, pour les eurobonds. Nous n'aurons pas cela dans le traité. Pour notre groupe, avec cet accord – vous voyez, je dis toujours "traité" alors que c'est un accord –, on est en train de perdre du temps en essayant d'améliorer quelque chose qui, de toute façon, est inutile. Nous sommes intelligents, nous allons l'améliorer, mais ce n'est pas la réponse nécessaire à la crise financière et économique que vit l'Europe aujourd'hui.
Ce Parlement doit être clair. S'il ne prend pas d'initiatives législatives pour demander de faire le nécessaire, il ne sera pas lui-même à la hauteur de ce qu'il faut faire contre la crise d'aujourd'hui."@sv22
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"Daniel Cohn-Bendit,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,17,12,8
"au nom du groupe Verts/ALE"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,17,12,8
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