Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2012-01-18-Speech-3-024-000"

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"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@fr8
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"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@cs1
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@da2
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@de9
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@el10
"Mr President, Madam President-in-Office of the Council, ladies and gentlemen, chairing the Council of Ministers of the Union at this time is not an easy task, but I am sure that, after your training as an MEP, Prime Minister, you are fully equipped for this task. I wish you all the best for the next six months. Madam President, I endorse the four priorities under which you have so classically positioned your six months at the head of the Council, namely, responsibility, European dynamism, green Europe and security. I welcome these ambitions, I share them, but as everyone here knows, a Presidency never chooses its agenda, and it is the political reality of the day that will serve as your guide. That is why I call upon your Presidency not to be content with being a technical Presidency; yours must be a Presidency that is, above all, political, given the wide range of issues facing you and facing us. That is also why I call upon you and your Presidency to work closely with this Parliament, which you know well but which some members of your government would like to be faster and more efficient in its decision making. You know how things work in Parliament, however. My group and I are, of course, in favour of fast, effective legislative action, and, in recent times, the markets have either taught us or forced us to work more quickly than before. However, I am also in favour of the proper functioning of democracy and transparency. I am sure, Madam President, that your Presidency will be able to find its place alongside Parliament, the Commission and the European Council. Once again, I urge and I call upon you to engage in politics, because the times in which we live demand that European actors do not simply oil the wheels and build bridges, but also that they be committed and audible actors. The first week of your Presidency will be dominated by negotiations on the fiscal treaty, on which opinions differ greatly within this House, both with regard to its timeliness and its methods. My group wants this Presidency to be fully involved in this negotiation and especially wants it to defend two major principles to its partners in the Council: European integration in fiscal and economic budgetary matters, of course, but also in politics and the Community method. Since this is the time for making wishes, I would add that the Group of the European People’s Party (Christian Democrats) would be very grateful to you if you could set the first discussions on the financial perspective on the right track. This is not an easy dossier, but when things are not easy, we must have courage. Of course, the reforms we are trying to put in place on the recovery of public finances and growth will be your top priority, but the capital debate which, because of the way things are, Europe will have to hold with regard to its finances for the 2014-2020 period, should not be neglected either. I have always said that a euro used here, in Europe, with the Commission, was a whole euro. A euro used in a country recording a deficit is already no more than 30 or 40 cents towards growth. Here, a euro is a whole euro. If the Danish Presidency manages to hold these debates on good foundations, that is, without taboos, especially as regards own resources, if it is able to show the Member States, as Parliament says, that money is much better spent at European level on large-scale horizontal projects than if it is divided up, you will have earned all of our respect after your Presidency. Madam President, in view of the efficiency and courage demonstrated during presidencies held by countries which are, let us say, not as large as others, I believe that the time has come for presidencies to be ambitious, as Poland has just been, and I believe that, although your country has opted out of several common policies, such as monetary policy, you can, and indeed you must be bold in your proposals. Help Parliament to convince the Member States that the solution to our problems will come from greater convergence and greater Europeanism and that, this way, the solution will quickly become much more tangible for our fellow citizens."@en4
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@es21
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@et5
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@fi7
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@hu11
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@it12
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@lt14
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@lv13
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@mt15
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@nl3
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@pl16
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@pt17
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@ro18
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@sk19
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@sl20
"Monsieur le Président, Madame la Présidente du Conseil, chers collègues, présider le Conseil des ministres de l'Union par les temps qui courent n'est pas un exercice facile, mais je suis sûr qu'après avoir été bien formée comme députée européenne, Madame la Première ministre, vous êtes pleinement armée pour cet exercice. Je vous souhaite le meilleur pour les six mois à venir. Madame la Présidente, je souscris aux quatre priorités sous lesquelles, de façon très classique, vous avez placé vos six mois à la tête du Conseil, à savoir, la responsabilité, le dynamisme de l'Europe, l'Europe verte et la sécurité. Je salue ces ambitions, je les partage, mais comme chacun le sait ici, les présidences ne choisissent jamais leur agenda et c'est la réalité politique du moment qui vous servira de fil rouge. C'est pourquoi je demande à votre Présidence de ne pas se contenter d'être une présidence technique; vous devez être une présidence surtout politique, étant donné l'ampleur des enjeux qui vous et nous attendent. C'est pourquoi aussi je vous demande et je demande à votre Présidence de travailler étroitement avec ce Parlement que vous connaissez bien mais dont certains, dans votre gouvernement, souhaiteraient qu'il soit plus rapide, plus expéditif dans ses délibérations. Mais vous savez comment ça marche dans ce Parlement! Je suis, avec mon groupe, favorable à une action législative rapide et efficace, bien entendu, et les marchés nous apprennent ou nous contraignent, ces derniers temps, à travailler plus vite qu'avant. Mais je suis aussi pour un bon fonctionnement de la démocratie et pour la transparence. Je suis sûr, Madame la Présidente, que votre Présidence saura trouver sa place aux côtés de ce Parlement, de la Commission et du Conseil européen. Encore une fois, j'insiste et je vous demande de faire de la politique, car les temps que nous vivons exigent de la part des acteurs européens non seulement de mettre de l'huile dans les rouages, de jeter des ponts, mais aussi d'être des acteurs engagés et audibles. La première semaine de votre Présidence sera dominée par les négociations du traité budgétaire, sur lequel les avis divergent dans cette maison, que ce soit quant à son opportunité ou ses modalités. Mon groupe souhaite que cette Présidence soit pleinement engagée dans cette négociation et surtout qu'elle défende auprès de ses partenaires au Conseil deux principes majeurs, celui de l'intégration européenne sur les plans budgétaire fiscal et économique, bien sûr, mais aussi sur le plan politique et sur celui de la méthode communautaire. Et puisque l'heure est aux souhaits, j'ajouterai que le groupe PPE vous serait très reconnaissant si vous pouviez mettre sur de bons rails les premières discussions sur les perspectives financières. Ce n'est pas un dossier facile, mais quand les choses ne sont pas faciles, il faut oser. Certes, les réformes que nous essayons de mettre en place sur le redressement des finances publiques et sur la croissance seront vos premières préoccupations, mais il ne faut pas négliger le débat capital que, par la force des choses, l'Europe devra mener sur ses finances pour la période 2014-2020. J'ai toujours dit qu'un euro employé ici, en Europe, avec la Commission, c'était un euro entier. Un euro employé dans un pays qui accuse un déficit, ce n'est déjà plus que 30 ou 40 cents à affecter à la croissance. Ici, l'euro est un euro entier. Et si la Présidence danoise arrive à engager les débats sur de bonnes bases, c'est-à-dire sans tabou, notamment sur les ressources propres, si elle capable de démontrer aux États membres, comme le dit ce Parlement, que l'argent dépensé au niveau européen sur des grands projets horizontaux est beaucoup mieux dépensé que s'il est dépensé de façon morcelée, vous aurez droit à toute notre reconnaissance après votre Présidence. Madame la Présidente, avec l'efficacité et le courage de présidences exercées par des pays, disons, moins grands que les autres, je crois que le temps est venu, pour les présidences, comme l'a fait dernièrement la Pologne, d'avoir de l'ambition, et je crois que, même si votre pays s'est mis en congé de plusieurs politiques communes, dont la politique monétaire, vous pouvez, vous devez même être audacieuse dans vos propositions. Aidez ce Parlement à convaincre les États membres que la solution à nos problèmes passe par plus de convergence et plus d'Europe et qu'elle sera ainsi beaucoup plus vite tangible pour nos concitoyens."@sv22
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"Joseph Daul,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,17,12,8
"au nom du groupe PPE"18,5,20,15,1,19,14,16,11,2,22,7,3,10,13,9,21,17,12,8
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