Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-12-13-Speech-2-581-000"
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"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@fr8
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"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@cs1
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@da2
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@de9
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@el10
"Mr President, first and foremost, this debate has demonstrated how a seemingly simple product like fruit juice can rouse such passions. As several of you have mentioned, this shows that the fruit and vegetable sector is of real value to us, that it is also seen in a positive light in terms of our health, and that we therefore have an interest in protecting and supporting this sector, as we have been doing through the common agricultural policy.
One of the best ways to support the fruit production sector is to gain and maintain consumer confidence. Following the Escherichia coli crisis this year, we saw how a lack of confidence among consumers could have a negative impact on producers. That is why I think that this directive, which we negotiated jointly and, I agree, is a good compromise, helps to strengthen consumer confidence as well as being beneficial for producers.
I would like to reassure Mr Schnellhardt, if that may help him to change his mind and to vote in favour of this directive, that this directive is fully consistent with the Labelling Directive because all the ingredients will be indicated on the label and in the name of the product, in the order of the quantities contained in the juice in question.
Therefore as you can see, it does not clash with the Labelling Directive, which indeed requires all ingredients to be listed, except that they must be listed in descending order of percentage content.
Mr Szegedi, I do not know what led you to think that the European Union forces Hungarian producers or any other European producers to uproot their trees. This has never been the case for any product and nothing forces a producer to make such a choice. I can assure you that there is nothing in the common agricultural policy or in any European decision that forces any European fruit producer to uproot their trees. Therefore, you need not be concerned, as fruit and vegetable producers will continue to receive support that will allow them to grow quality produce.
The decision, which I hope we are going to make, will help consumers to appreciate this quality. Some of you have raised the fact that a large quantity of juice is imported from outside of the European Union. What is important in the European Union is that we continue to ensure that the juices and fruits we produce succeed not so much in terms of quantity but of quality, because that is where added value lies. I think that it is important to support this, especially as we have a limited potential area for agricultural land, in any case, more limited than that of other producers around the world.
The way in which to help our producers to successfully earn a living is, above all, by helping them to grow quality produce and to realise its potential. I think that this directive will also help us to make a step in this direction.
I would like to express my thanks, once again, to Mr Perello Rodriguez, and to thank all those who have worked on reaching this compromise and on moving towards a positive decision tomorrow."@en4
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@es21
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@et5
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@fi7
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@hu11
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@it12
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@lt14
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@lv13
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@mt15
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@nl3
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@pl16
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@pt17
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@ro18
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@sk19
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@sl20
"Monsieur le Président, tout d'abord, on constate dans ce débat combien un produit comme le jus de fruits, qui paraît simple au premier regard, peut susciter de passions. Cela signifie – comme plusieurs d'entre vous l'ont mentionné – que le secteur des fruits et légumes est important pour nous, qu'il a aussi une image positive vis-à-vis de la santé et donc que nous avons intérêt à protéger et soutenir ce secteur, comme nous le faisons avec la politique agricole commune.
Une des meilleures manières de soutenir le secteur de la production des fruits est de gagner et de préserver la confiance des consommateurs. On a vu cette année, avec la crise de l'Escherichia coli, combien la méfiance des consommateurs pouvait avoir un impact négatif sur les producteurs. Voilà pourquoi je pense que cette directive que nous avons pu négocier ensemble – et je conviens aussi qu'il s'agit d'un bon compromis – va dans le sens d'un renforcement de la confiance des consommateurs et est aussi à l'avantage des producteurs.
Je souhaite rassurer M. Schnellhardt, si cela peut l'aider à changer sa position et à voter en faveur de cette directive. Cette directive est tout à fait cohérente avec la directive "étiquetage", puisque sur l'étiquette et dans le titre d'un produit, tous les composants apparaîtront, et ce dans l'ordre des quantités contenues dans le jus respectif.
De ce point de vue, il n'y a donc pas de contradiction avec la directive "étiquetage", qui oblige, effectivement, à mentionner tous les ingrédients, sauf que l'on indique un ordre de priorité proportionnel au pourcentage contenu.
Monsieur Szegedi, je ne sais pas d'où vous tenez que l'Union européenne oblige le producteur hongrois ou n'importe quel autre producteur européen à arracher ses arbres. Cela n'a jamais été le cas pour aucun produit, rien n'oblige un producteur à faire ce genre de choix. Je peux vous assurer qu'il n'y a rien dans la politique agricole commune ou dans aucune décision européenne qui oblige n'importe quel producteur de fruits européen à arracher ses arbres. De ce point de vue, vous pouvez être tranquille. Les producteurs de fruits et de légumes continueront à bénéficier d'un soutien pour produire de la qualité.
Avec la décision – que, j'espère, nous arriverons à prendre –, nous allons aider les consommateurs à apprécier cette qualité. Certains d'entre vous ont en effet mentionné le fait qu'on importe en quantité des jus qui viennent de l'extérieur. Ce qui est important dans l'Union européenne, c'est de continuer à faire en sorte que les jus et les fruits que nous produisons puissent gagner non pas tant en quantité qu'en qualité, car c'est là que réside la valeur ajoutée. Je pense que c'est cela qu'il est important de soutenir. Nous avons un potentiel de surface agricole limité, en tout cas plus limité que d'autres producteurs au monde.
La manière d'aider nos producteurs à bien gagner leur vie, c'est surtout de les aider à faire de la qualité et à bien la mettre en valeur. Je pense que cette directive nous aidera aussi à aller dans ce sens.
Merci, encore une fois, Monsieur le rapporteur. Merci à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour arriver à ce compromis et à une décision positive demain."@sv22
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
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