Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-12-13-Speech-2-557-000"
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"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@fr8
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"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@cs1
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@da2
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@de9
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@el10
"Mr President, honourable Members, I should like, first of all, to thank the rapporteur, Mr Perello Rodriguez, and all the members of the parliamentary Committee on the Environment, for their work and commitment in reaching this agreement at first reading.
I welcome the agreement that was reached between the three institutions on the amendment of the directive on fruit juices. This directive on fruit juices contains a number of provisions ensuring the free movement of goods within the European Union, their quality, and, as Mr Perello Rodriguez pointed out, consumer protection. The compromise reached sets out the key points, particularly in terms of consumer information, and meets the requirements of Parliament on these issues.
I would also like to point out that this is one of the first proposals by the Commission in the agricultural sector following the ordinary legislative procedure established by the Treaty on the Functioning of the European Union. I appreciate all the more that through joint efforts between our institutions, discussions were able to be finalised at first reading. I think that it was a really good experience for everything that lies ahead in this ordinary procedure in the agricultural field.
This proposal for a directive introduces a few new provisions. For example, it prohibits the addition of sugars to fruit juices and also specifies the timeframe during which the consumer can be informed of this ban, as stated by Mr Perello Rodriguez.
Some of the existing provisions have also been elaborated in greater detail. For example, the provision relating to ‘multifruit’ juices has been revised so that the consumer is clearly informed by the product name of the list of fruits that make up the juice. Similarly, at the request of Parliament, the three institutions agreed on the fact that fruit nectars containing sweeteners could not be marked ‘no added sugar’ on the label.
Also at the request of Parliament, we have introduced a new article confirming that, in addition to goods produced in the European Union, imported goods must also comply with the directive. Lastly, other provisions, such as the distinction between fruit juice and juice from concentrate, have not been aligned with the Codex standard which, in this case, is less demanding. On this point, we are therefore more stringent than Codex standards. This decision, approved by a large majority of Member States and supported by Parliament, therefore meets our objective of encouraging better consumer information.
With this agreement on the amendment of the directive on fruit juices and similar products, we now have a legislative text that clarifies certain requirements of the current directive, enriches it with new provisions, and thereby fulfils the objectives that were set.
To conclude, on behalf of the Commission, I would like to voice my agreement on the compromise established and rubber stamped by the Permanent Representatives Committee (COREPER) on 18 November. I therefore hope that there will be a positive vote on the agreement reached."@en4
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@es21
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@et5
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@fi7
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@hu11
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@it12
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@lt14
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@lv13
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@mt15
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@nl3
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@pl16
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@pt17
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@ro18
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@sk19
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@sl20
"Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les députés, tout d'abord, je souhaite remercier particulièrement le rapporteur, M. Perello, et tous les membres de la commission parlementaire de l'environnement pour leur travail et leur engagement pour arriver à cet accord en première lecture.
Je me réjouis de l'accord qui a été obtenu entre les trois institutions sur la modification de la directive sur les jus de fruits. Cette directive sur les jus de fruits comporte un certain nombre de dispositions qui permettent de s'assurer de la libre circulation des produits à l'intérieur de l'Union européenne, de leur qualité et – comme M. Perello l'a dit – de protéger le consommateur. Le compromis obtenu précise les points clés, notamment en matière d'information du consommateur, et répond ainsi aux souhaits du Parlement sur ces points.
J'aimerais également souligner qu'il s'agit ici d'une des premières propositions de la Commission dans le domaine agricole qui suit la procédure législative ordinaire établie par le traité sur le fonctionnement de l'Union européenne. J'apprécie d'autant plus que, grâce à un effort commun entre nos institutions, les discussions aient pu être finalisées en première lecture. Je pense que c'était une très bonne expérience pour tout ce qui va suivre dans cette procédure ordinaire dans le domaine agricole.
Cette proposition de directive introduit quelques nouvelles dispositions. Ainsi, elle prévoit l'interdiction de l'ajout de sucres dans les jus de fruits, en spécifiant également une période de temps pendant laquelle le consommateur pourra être informé de cette interdiction, comme M. Perello l'a précisé.
Certaines dispositions existantes ont aussi été précisées. Ainsi, la disposition relative aux jus "multifruits"' a été révisée afin que le consommateur soit clairement informé par le nom du produit de la liste des fruits qui composent ce jus. De la même façon, les trois institutions se sont accordées, à la demande du Parlement, sur le fait que les nectars de fruits contenant des édulcorants ne pouvaient pas porter la mention "sans sucres ajoutés" sur l'étiquetage.
À la demande du Parlement également, nous avons introduit un nouvel article afin de confirmer que les produits importés devaient suivre les prescriptions de la directive, tout comme ceux élaborés dans l'Union européenne. Enfin, d'autres dispositions, telles que la distinction entre le jus de fruits direct et le jus à base de concentré, n'ont pas été alignées sur la norme du Codex qui, dans ce cas précis, est moins exigeante. Sur ce point, nous restons donc plus exigeants que les normes du Codex. Cette décision, approuvée par une grande majorité d'États membres et soutenue par le Parlement, répond là encore à notre objectif d'encourager une meilleure information du consommateur.
Avec cet accord sur la modification de la directive sur les jus de fruits et les produits similaires, nous disposons maintenant d'un texte législatif qui clarifie certaines prescriptions de la directive actuelle, l'enrichit avec de nouvelles dispositions et remplit ainsi les objectifs qui étaient fixés.
En conclusion, je souhaiterais, au nom de la Commission, vous donner mon accord sur le compromis qui a été établi et entériné par le COREPER le 18 novembre dernier. J'espère donc aussi qu'il y aura un vote positif sur cet accord qui a été trouvé."@sv22
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
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