Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-12-13-Speech-2-514-000"
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"en.20111213.33.2-514-000"6
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"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@fr8
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"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@cs1
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@da2
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@de9
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@el10
"Madam President, in the Committee on Civil Liberties, Justice and Home Affairs (LIBE), we focused instead on communications regarding the new partnership for mobility, for two reasons: because of the aspirations expressed, aspirations to rights, including, it would appear, the right to mobility, and also because, to date, our migration policy with these countries clearly rested in the iron fists of dictators who, I am glad to say, are no longer in place.
We therefore take a very positive view of the partnership for mobility but would like to question the link still established between the readmission agreements, legal migration and the fight against illegal immigration, relying solely on the report prepared by the Commission itself on readmission agreements. The report says that implementation is inconsistent and not transparent, that the negotiating mandate is unrealistic, that there are serious risks of human right violations and that even this assessment acknowledges that visa liberalisation has no impact on illegal immigration.
I therefore think that a little further reflection is needed and then, above all, we need to develop an approach with these countries that is fully rooted in the mutual benefits of mobility, establishing a structured dialogue. And when we talk about partnership with civil society, this means both mobility and other issues, it is critical that this partnership with civil society, which is the key to success, includes a concrete mechanism for consulting civil society at all stages, early on during the implementation and evaluation."@en4
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@es21
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@et5
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@fi7
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@hu11
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@it12
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@lt14
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@lv13
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@mt15
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@nl3
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@pl16
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@pt17
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@ro18
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@sk19
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@sl20
"Madame la Présidente, en commission LIBE, nous nous sommes donc plutôt concentrés sur la communication concernant le nouveau partenariat pour la mobilité, cela pour deux raisons: parce que des aspirations se sont exprimées, aspirations aux droits, y inclus, nous semble-t-il, le droit à la mobilité, et également parce que jusque maintenant, notre politique migratoire avec ces pays reposait très clairement sur les mains de fer de dictateurs qui, heureusement, ne sont plus en place.
Nous accueillons donc très positivement le partenariat pour la mobilité mais souhaitons mettre en question le lien qui reste noué entre les accords de réadmission, les migrations légales et la lutte contre l'immigration illégale, en prenant appui tout simplement sur le rapport qui a été élaboré par la Commission elle-même concernant les accords de réadmission. Ce rapport dit que la mise en œuvre est opaque et incohérente, que le mandat de négociation est irréaliste, qu'il y a des risques sérieux de violation des droits de l'homme et que même cette évaluation reconnaît que la libéralisation des visas est sans incidence sur l'immigration irrégulière.
Je pense donc qu'il faut approfondir un peu la réflexion et puis, surtout, développer avec ces pays une approche qui soit pleinement ancrée dans les bienfaits réciproques de la mobilité, en mettant en place un dialogue structuré. Et quand on parle de partenariat avec la société civile – cela vaut pour la mobilité comme pour d'autres thématiques –, il est absolument essentiel que ce partenariat avec la société civile, qui est la clé de la réussite, passe par un mécanisme concret de consultation de la société civile à toutes les étapes, en amont, dans la mise en œuvre et dans l'évaluation."@sv22
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"Hélène Flautre,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
"rapporteure pour avis de la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
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