Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-12-13-Speech-2-491-000"

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"en.20111213.32.2-491-000"6
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"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@fr8
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"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@cs1
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@da2
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@de9
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@el10
"Mr President, I would like to stress the last point raised by Ms Schaake, because, indeed, not only is it a disgrace, it is also utterly ludicrous, that the European Union and its Council have not come up with the political means to invite Turkey to the table to discuss the situation in Syria. It is now clear that the future scenario called for by Ms De Keyser can only come about through dialogue between Turkey, in particular, the Arab League and the European Union. It is true that there is no written script, but, nevertheless, we do have some assurances. Firstly, Bashar al-Assad will fall. He will fall. That is the deeply-held belief that we all share and, at best, he will be handed over to the International Criminal Court. He will therefore fall. What this tells us is that civil society has an incredible capacity, not only to mobilise itself, but also to coordinate and organise itself, and to do so neighbourhood by neighbourhood, city by city, through a totally effective and impressive horizontal network. Just look at what they achieved with the first of six stages of the general strike in Syria, when they called on everyone not to go to the mosque, not to go shopping, to close shops early, to stay at home, not to make telephone calls, to carry out some form of civil disobedience. ‘Dead Syria’, just like the ‘dead city’ that is often referred to. We can see how impressive the organisation behind this is. What we have here is a population adopting the approach of civil disobedience and non-violent action. I do not really want to repeat what you have said regarding the report by the High Commissioner for Human Rights, and which was picked up by Mr Salafranca Sánchez-Neyra, but I do not get the feeling at all that we are now on the brink of civil war. What is certain is that growing numbers of soldiers, including those in the Free Syrian Army, are assuming the role of protectors of the people in coordination with local committees. It is absolutely essential that we offer our assistance in this very specific battle on the ground, which is being conducted in a non-violent manner with the Free Syrian Army offering defence and protection. This is where we must be effective, offering very simple but practical things: help with radios, communications, intelligence capabilities for the opposition, capabilities in the field of new technologies once sold to al-Assad, but which we must now supply to the opposition. These are the concrete steps that we can take to strengthen their operational capability and I think ..."@en4
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@es21
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@et5
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@fi7
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@hu11
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@it12
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@lt14
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@lv13
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@mt15
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@nl3
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@pl16
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@pt17
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@ro18
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@sk19
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@sl20
"Monsieur le Président, j'insiste sur le dernier point soulevé par ma collègue, Mme Schaake, parce qu'il est effectivement non seulement déplorable, mais aussi totalement ridicule que l'Union européenne et son Conseil n'aient pas trouvé les moyens politiques d'inviter la Turquie à la table pour discuter de la situation syrienne. On voit bien, aujourd'hui, que c'est dans le dialogue entre la Turquie, notamment, la Ligue arabe et l'Union européenne que peut se déployer un scénario d'avenir que Mme De Keyser appelle de ses vœux. Il est vrai que les scénarios ne sont pas écrits, mais il y a, néanmoins, quelques assurances. D'une part, Bachar el-Assad tombera. Il va tomber. C'est la conviction profonde de tous et, au mieux, il sera déféré à la Cour pénale internationale. Donc, il tombera. Ce qui nous le fait dire, c'est la capacité incroyable de la société civile, non seulement à se mobiliser, mais aussi à se coordonner et à s'organiser, et ce à l'échelle des quartiers, des villes, dans un réseau horizontal tout à fait efficace et impressionnant. Il suffit de regarder comment a été appliquée la première des six étapes de la grève générale en Syrie, au cours de laquelle on a appelé chacun à ne plus aller à la mosquée, à ne pas acheter dans les magasins, à fermer les magasins avant l'heure, à rester chez soi, à ne pas téléphoner, à mener en quelque sorte une opération de désobéissance civile "Syrie morte", comme on dit parfois "ville morte". Nous voyons à quel point cette organisation est impressionnante. Il y a là vraiment, face à nous, une population qui est dans une démarche de désobéissance civile, d'action non violente. Je ne voudrais pas vraiment revenir sur les propos que vous avez rapportés – qui sont liés au rapport de la haute commissaire aux droits de l'homme, et qu'a repris M. Salafranca Sánchez-Neyra –, mais je n'ai pas du tout le sentiment que l'on soit aujourd'hui au bord de la guerre civile. Ce qui est certain, c'est que des militaires, de plus en plus nombreux – ceux de l'armée syrienne libre –, sont en train d'assumer la protection des populations en coordination avec les comités locaux. Il nous faut absolument nous rendre utile dans cette bataille très concrète sur le terrain qui est menée de manière non violente avec une défense et une protection assurées par l'armée syrienne libre. C'est là que nous devons être efficaces, ce qui passe par des choses très simples et très concrètes: l'aide des radios, la communication, des capacités de renseignements pour cette opposition, les capacités du domaine des nouvelles technologies que l'on vendait à el-Assad et qu'il faut aujourd'hui fournir à l'opposition. Voilà comment nous pouvons renforcer concrètement leur capacité d'action et je crois ..."@sv22
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"(Le Président retire la parole à l'oratrice)"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
"Hélène Flautre,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
"au nom du groupe Verts/ALE"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,13,3,21,9,17,12,8
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