Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-11-15-Speech-2-128-000"

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"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@fr8
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"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@cs1
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@da2
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@de9
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@el10
". I do not believe that large farms will be discriminated against by this measure because it applies to all large farms, be they in Eastern Europe or Western Europe. One cannot say that a large farm will be discriminated against in comparison to a small or medium-sized farm because the role of this direct aid is precisely to support farmers’ incomes. For a large farm, over and above EUR 300 000, if it has jobs, then they will count. For instance, if a farm provides 20 jobs, the cost of maintaining those jobs will be added to the EUR 300 000. We are therefore supporting jobs in the countryside. If a farm is operating purely to obtain subsidies, and if it splits to obtain even more, then I think that there is an economic problem with that farm, which has goals other than economic success. If the goal is to seek subsidies, then there is a problem. However, if a farm wants to be economically successful under the common agricultural policy, it can be supported, as I said, through other types of measures aimed specifically at improving economic performance, reducing production costs, promoting products on the market, etc. The common agricultural policy is not just about subsidies; it also comprises other measures that will enable farms, including large farms, to adapt better to the current economic situation."@en4
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@es21
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@et5
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@fi7
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@hu11
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@it12
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@lt14
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@lv13
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@mt15
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@nl3
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@pl16
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@pt17
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@ro18
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@sk19
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@sl20
"Je ne crois pas que les grandes exploitations vont être discriminées par cette mesure puisque cette dernière s'applique à toutes les grandes exploitations, qu'elles soient en Europe de l'Est ou en Europe de l'Ouest. On ne peut pas dire qu'une grande exploitation soit discriminée par rapport à une petite ou une moyenne exploitation car le rôle de cette aide directe est, justement, de soutenir le revenu des agriculteurs. Pour une grande exploitation, à partir de 300 000 euros si elle a des emplois, ceux-ci vont compter. Par exemple, si une exploitation a 20 emplois, le coût du maintien de ces emplois viendra se rajouter aux 300 000 euros. Ce faisant, on soutient l'emploi en milieu rural. Si une exploitation rentre dans l'agriculture uniquement pour obtenir des subventions, et si elle se divise pour en obtenir encore davantage, je pense qu'il y a un problème économique au niveau de cette exploitation qui a d'autres objectifs que la performance économique. Si l'objectif est la chasse aux subventions, je crois qu'il y a un problème. Par contre, si une exploitation veut être économiquement performante dans le cadre de la politique agricole commune, elle pourra être soutenue, comme je l'ai dit, avec d'autres types de mesures qui visent spécifiquement la performance économique, la réduction des coûts de production, la promotion de produits sur le marché, etc. Dans le cadre de la politique agricole commune, nous n'avons pas que des subventions, il existe d'autres mesures qui permettront aux exploitations, y compris aux grandes, de mieux s'adapter à la situation économique actuelle."@sv22
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