Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-11-15-Speech-2-096-000"

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"en.20111115.6.2-096-000"6
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"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@fr8
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"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@cs1
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@da2
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@de9
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@el10
"You asked two questions. One was about capping and the other was about the 7% of ecological infrastructure. In the case of the 7% for ecological infrastructure, I should like to make myself clear. This does not mean withdrawing 7% of arable land and taking crop production out of it. It means that on a farm, it is also possible to maintain small plots, grassy verges, canal banks, roadside verges, treed areas, which are not necessarily productive and which, at present, are not entitled to subsidy. From 2014, we are proposing not only for these areas to be entitled but we are even encouraging farmers to maintain them, because alongside productive arable land, all these areas, these small plots, have an important role to play in biodiversity. As far as the capping of direct aid goes, this will not prevent the farmer from choosing what he wants to produce. This capping means that while, from 2014 onwards, we can justify direct payment to farmers as basic income support, from a certain sum in the case of very large companies, we can no longer justify limitless amounts of public money being given as basic income support. That is why we proposed to cap this support at EUR 300 000 and to take into account employment on the farm. Thus, a large farm which has a labour force will also, in addition to the EUR 300 000, be able to take into account labour costs and include them in the direct support. However, large-scale farms will still be able to benefit from other kinds of measure within the common agricultural policy to invest, modernise and innovate. Direct payments are not the only forms of support that a farm can call on within the common agricultural policy. We need greater transparency, greater clarity and greater effectiveness when it comes to spending public money. That is why we have proposed limiting direct payments, but the door remains open for other kinds of project capable of increasing the competitiveness of a large-scale farm."@en4
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@es21
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@et5
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@fi7
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@hu11
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@it12
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@lt14
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@lv13
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@mt15
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@nl3
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@pl16
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@pt17
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@ro18
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@sk19
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@sl20
"Vous avez posé deux questions. L'une sur le plafonnement – le et une autre sur les 7 % de l'infrastructure écologique. Concernant ces 7 % d'infrastructure écologique, je souhaite être clair. Cela ne signifie pas retirer 7 % de la surface arable pour ne pas la cultiver. Cela signifie qu'au niveau de l'exploitation, on peut aussi entretenir des bouts de parcelles, des bandes enherbées, des bordures de canaux, des bordures de routes, des zones avec des arbres, qui ne sont pas forcément productives et qui, actuellement, ne sont pas éligibles à une subvention. À partir de 2014, nous proposons, non seulement, que ces surfaces soient éligibles mais nous encourageons même les agriculteurs à les maintenir, parce qu'à côté de la surface arable productive, toutes ces zones, ces bouts de parcelles ont un rôle important pour la biodiversité. S'agissant du plafonnement des aides directes, cela n'empêchera pas le producteur de faire ses choix de production. Ce plafonnement signifie que si, à partir de 2014, on justifie le paiement direct aux agriculteurs en tant que soutien de base au revenu, à partir d'un certain montant pour de très grosses entreprises, on ne peut plus justifier qu'un montant illimité d'argent public soit donné comme soutien de base au revenu. C'est pour cette raison que nous avons proposé de le plafonner à 300 000 euros et de prendre en compte l'emploi dans cette exploitation. Ainsi, une grande exploitation qui a l'emploi, en plus des 300 000 euros, pourra aussi compter le coût de l'emploi et qu'il soit comptabilisé dans le soutien direct. Mais les grandes exploitations pourront toujours bénéficier d'autres types de mesures dans le cadre de la politique agricole commune pour investir, se moderniser, pour l'innovation. Les paiements directs ne sont pas les seuls soutiens auxquels une exploitation peut prétendre dans le cadre de la politique agricole commune. Il faut plus de transparence, plus de clarté et plus d'efficacité quant à l'utilisation de l'argent public. C'est pour cette raison que nous avons proposé de limiter les paiements directs, mais la porte reste ouverte pour d'autres types de projets qui peuvent augmenter la compétitivité d'une grande exploitation."@sv22
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