Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-10-24-Speech-1-055-000"
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@ro18
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@et5
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@sl20
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@mt15
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Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@cs1
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@sk19
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@lt14
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@pl16
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@hu11
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@sv22
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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lpv:translated text |
"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@fi7
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@el10
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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lpv:translated text |
"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@da2
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@nl3
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@lv13
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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lpv:translated text |
"Madam President, I should like to provide some clarifications and details in response to certain speeches.
Firstly, I should like to repeat what I said in my introduction, namely, that the European Commission is drafting a European legislative act on accessibility, which will be preceded by an impact assessment on the degree of accessibility that currently exists in the European Union, in the various Member States, and by a cost-benefit analysis of accessibility measures of an economic nature. Indeed, I believe that, in parallel with legal and legislative measures, we also need to boost the industry, services and production of goods that might be aimed at this group of people, so as to ensure that this accessibility does not just exist on paper but is actually implemented in practice.
I believe that this cost-benefit analysis, together with the use of European instruments, will also enable us to find and increase the number of opportunities for disabled people to gain access to the various instruments they need.
I should also like to point out that many powers, many responsibilities regarding issues such as employment, education and social protection, lie with the Member States, but that this does not mean that everything should rest with the Member States and that we should do nothing at European level. Firstly, the Commission supports the Member States in their efforts and in their power to take action at national level by providing them with data and indicators on the situation of disabled people and by organising exchanges of best practice, and, secondly, we have the Europe 2020 strategy, which addresses this issue directly and indirectly through various flagship initiatives.
Firstly, I would mention the flagship initiative on innovation, which stipulates that accessibility standards must be met in public contracts provided in the Member States. Secondly, I would mention inclusive growth, or access to employment for disabled people, through initiatives that should come from the Member States and which are supported by specific programmes. Lastly, I would mention the flagship initiative on social innovation in favour of vulnerable persons, which is specifically dedicated to this issue.
I also wish to make it clear that the Anti-Discrimination Directive, which has been with the Council since 2008, is still being discussed in that institution. I can assure you that the Commission is actively supporting the negotiations taking place in the Council with a view to the adoption of that directive.
I shall conclude by pointing out that, in the European Commission’s opinion, Parliament’s Committee on Petitions will still have an important role to play in ensuring that these issues remain at the forefront of public and political attention, rather than being remembered only from time to time, and in maintaining a link with reality when the various legislative proposals are drafted."@en4
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lpv:translated text |
"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@es21
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@de9
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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lpv:translated text |
"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@pt17
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@it12
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"Dacian Cioloş,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"membre de la Commission"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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"Madame la Présidente, je voudrais effectivement apporter quelques précisions et quelques éléments de réponse à certaines interventions.
Tout d'abord, je souhaite rappeler ce que j'ai dit dans mon introduction, à savoir que la Commission européenne prépare un acte législatif européen sur l'accessibilité, qui sera précédé d'une étude d'impact sur le degré d'accessibilité qui existe actuellement dans l'Union européenne, dans les différents États membres, ainsi que d'une analyse des coûts et avantages des mesures d'accessibilité à caractère économique. En effet, je pense qu'il faut en parallèle avec les mesures juridiques, les mesures législatives, pouvoir aussi stimuler l'industrie, les services, la production de biens qui peuvent s'adresser à cette catégorie de personnes, pour faire en sorte que cette accessibilité n'existe pas que sur le papier mais qu'elle soit aussi une réalité dans la pratique.
Je pense que cette analyse coûts-bénéfices nous permettra aussi, y compris à travers des instruments européens, de trouver et de stimuler des débouchés pour mettre à la disposition des personnes handicapées différents instruments dont elles ont besoin.
Je souhaite également rappeler que beaucoup de compétences, de responsabilités sur des questions comme l'emploi, l'éducation ou la protection sociale, sont des compétences des États membres, mais que cela ne signifie pas que tout doit reposer sur les États membres et que nous ne devons rien faire au niveau européen. D'une part, la Commission soutient les États membres dans leurs démarches et dans leur responsabilisation au niveau national, en leur fournissant des données, des indicateurs sur la situation des personnes handicapées et en organisant des échanges de bonnes pratiques, et, d'autre part, nous avons la stratégie Europe 2020 qui, à travers différentes initiatives phares, traite directement et indirectement de cette question.
Je citerai tout d'abord l'initiative phare sur l'innovation, qui prévoit le respect de normes d'accessibilité dans le cadre des marchés publics prévus dans les États membres. Ensuite, je mentionnerai la croissance inclusive, c'est-à-dire l'accès au travail de personnes handicapées, à travers des initiatives qui doivent émaner des États membres et qui sont soutenues par des programmes spécifiques. Enfin, je citerai l'initiative phare concernant l'innovation sociale en faveur des personnes vulnérables, qui est spécialement consacrée à cette question.
Je souhaite aussi préciser que la directive sur la lutte contre les discriminations, qui est sur la table du Conseil depuis 2008, est toujours en discussion au sein de cette institution. Je peux vous assurer que la Commission soutient activement les négociations qui ont lieu au Conseil en vue d'adopter cette directive.
Je conclurai en rappelant qu'aux yeux de la Commission européenne, la commission des pétitions du Parlement jouera toujours un rôle important pour maintenir ces sujets au centre de l'attention publique et de l'attention politique, au lieu de ne s'en souvenir que de temps en temps, et aussi pour maintenir le contact avec la réalité dans la préparation des différentes propositions législatives."@fr8
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