Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-09-27-Speech-2-712-000"

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"en.20110927.33.2-712-000"6
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"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@fr8
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"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@cs1
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@da2
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@de9
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@el10
"Madam President, I am not sorry that we are having this debate, because at the end of the day, there has not been any discussion of Turkish-Cypriot relations nor of the situation in Cyprus since 2004. So this is the first time since then that we have had an open discussion about a European Union Member State in which there has been a United Nations international peace-keeping mission since 1964 in relation to a conflict with a country engaged in the accession process. Stating the facts naturally highlights the fairly ludicrous nature of the situation. As far as I am concerned, this debate is not about whether Cyprus is exercising its sovereign right by deciding to drill in its exclusive economic zone. That is beyond doubt. International law clearly says that Cyprus is in the right, but equally we could envisage a situation whereby, under a future agreement, the benefits from that drilling would be shared fairly between the two communities. Having said that, I feel that the timing of the operation is reprehensible because, at the end of the day, this decision is prejudicial to the negotiations due to begin in the coming days under the aegis of the United Nations. In my view, the role of our Parliament – as has already been demonstrated – is not to engage in one-upmanship but rather to make a constructive contribution to achieving overall peace within the framework of an agreement for a federal country made up of two zones and two communities. What is more, the substance of a future agreement is known and almost – I nearly said for the most part – on the table. The question that we need to ask ourselves as Europeans is what Member States and the European Union are doing to bring a political agreement into the world and to encourage all the stakeholders to take constructive confidence building measures. However, sometimes I feel that the question of Cyprus is intentionally left to one side, to be used when the need arises in the context of relations between the European Union and Turkey. I would like practical measures to be taken today by the Union and the Member States to support and encourage a rapid resolution to what is essentially a European problem."@en4
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@es21
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@et5
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@fi7
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@hu11
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@it12
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@lt14
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@lv13
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@mt15
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@nl3
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@pl16
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@pt17
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@ro18
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@sk19
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@sl20
"Madame la Présidente, je ne suis pas mécontente qu'on ait ce débat parce que, finalement depuis 2004, il n'y a pas eu de discussion sur les relations turco-chypriotes, ni sur la situation à Chypre. C'est donc la première fois depuis cette date que nous débattons ouvertement d'un État membre de l'Union européenne sur le territoire duquel se déploie, depuis 1964, une opération internationale de maintien de la paix des Nations unies pour un conflit avec un pays en voie d'adhésion. À l'énoncé des faits, manifestement, le caractère assez grotesque de la situation saute aux yeux. Il ne s'agit pas, dans ce débat, je crois, de savoir si Chypre est dans l'exercice de son droit souverain en décidant de forages dans sa zone économique exclusive. C'est indubitable. Indubitablement, le droit international donne raison à Chypre mais, de la même manière, on peut imaginer que, dans le cadre d'un futur accord, les bénéfices tirés de ces forages seront à répartir équitablement entre les deux communautés. Ceci étant dit, ce qui est, à mon sens, condamnable, c'est le de cette opération parce que, finalement, cette décision est préjudiciable pour les négociations qui vont s'ouvrir dans quelques jours sous les auspices des Nations unies. Je crois que notre Parlement – c'est ce qu'il démontre d'ailleurs – n'a pas vocation à faire de la surenchère mais bien à être un acteur utile pour trouver une paix globale dans le cadre d'un accord pour un pays bizonal, bicommunal et fédéral. D'ailleurs, les données d'un futur accord sont connues et presque – j'allais dire pour une grande part– sur la table. La question que nous devons nous poser en tant qu'Européens, c'est de savoir ce que font les États membres, ce que fait l'Union européenne pour aider à l'accouchement politique d'un accord et encourager toutes les parties prenantes à prendre des mesures de confiance qui soient constructives. J'ai parfois le sentiment, au contraire, que la question de Chypre est volontairement laissée en jachère pour pouvoir être utilisée en tant que de besoin dans le cadre des relations Union européenne-Turquie. Je souhaite que des mesures concrètes puissent être prises, aujourd'hui, par l'Union et les États membres pour soutenir et encourager un règlement rapide d'un problème qui est profondément européen."@sv22
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