Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-09-26-Speech-1-095-000"

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"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@fr8
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"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@cs1
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@da2
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@de9
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@el10
"Mr President, allow me to present the Commission’s reply to this question on behalf of my colleague, Commissioner Karel De Gucht. I should first like to thank Parliament for having asked this question, as it gives us the opportunity to address the subject of our trade relations with Taiwan. To place these relations in context, it is worth mentioning that Taiwan is our fifteenth largest trade partner, with a trade balance in its favour, whilst the European Union is Taiwan’s main foreign investor. We certainly want to strengthen and develop this relationship. As you know, the Commission Communication of 10 November 2010 on Trade, Growth and World Affairs, which sets out the Commission’s vision for the future of our trade policy, stresses the need to strengthen our relationships, primarily with strategic partners such as the United States, Russia and Japan, and others in the same category. The communication also recognises the importance of the emerging economies, especially those in Asia. It does not mention Taiwan as a specific priority, but the communication in itself already provides a useful framework for relations with these economies. Although we do not have a formal agreement with Taiwan, we have a trade dialogue that works well and also provides a basis for addressing the future of our relationship. As regards Taiwan’s trade relations with the rest of the world in general, the most recent event is the negotiation of a framework economic cooperation agreement with China, which we view as a major step forward. Indeed, good relations between China and Taiwan are crucial both from a practical point of view and from the point of view of our One China policy. This agreement is not a free trade agreement as such, but a framework agreement that will be added to in certain areas. I think it is still too soon to know what opportunities this framework agreement will generate for European industry, but we should bear in mind that the furthering of trade ties between Taiwan and China will create new opportunities for our businesses in the region, and not act as an obstacle. In any case, we are following this development very closely. As regards a free trade agreement between the EU and Taiwan, it is important to take Taiwan’s unique situation into consideration, especially in terms of its relationship with China. One of the arguments that Taiwan puts forward is that an agreement of this kind would create new opportunities for European businesses, not only in Taiwan but in mainland China also. The sizeable volume of Taiwan’s investments in China illustrates the extent of its relationship with China, whilst the European Union is also one of China’s major investors. We should therefore view the strengthening of ties between Taiwan and China as a positive factor in the wider context of our economic links with the region as a whole, including China. From this point of view, it is important to avoid a false start that might jeopardise the development of good relations between China and Taiwan, or that might threaten our own relations with China and Taiwan. At this stage, the Commission feels it is not appropriate to begin a negotiation process for a free trade agreement with Taiwan, for the reasons I have just mentioned. As for other negotiations, there are certainly other areas that we could look into, to see if they might constitute building blocks for developing and strengthening our relations. The process to analyse these areas is currently under way. We will be having consultations in Taipei on 25 October, on which we are ready to feed back to the Committee on International Trade. We will look into what action is needed in order to follow up on whatever information we obtain during these talks."@en4
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@es21
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@et5
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@fi7
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@hu11,11
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@it12
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@lt14,14
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@lv13
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@mt15
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@nl3
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@pl16,16
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@pt17
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@ro18
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@sk19
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@sl20
"Permettez-moi de transmettre la réponse de la Commission européenne à cette question, au nom de mon collègue, le commissaire Karel De Gucht. Je tiens tout d'abord à remercier le Parlement européen de nous avoir posé cette question et de nous donner ainsi l'occasion d'aborder le thème de nos relations commerciales avec Taïwan. Pour mettre ces relations dans leur contexte, il faut préciser que Taïwan est notre quinzième partenaire commercial, avec une balance commerciale en sa faveur, tandis que l'Union européenne est le principal investisseur étranger à Taïwan. Nous souhaitons effectivement renforcer ces relations et les développer. Comme vous le savez, la communication de la Commission du 10 novembre 2010 sur le commerce, la croissance et les affaires étrangères, qui expose la vision de la Commission sur l'avenir de notre politique commerciale, insiste sur la nécessité de renforcer nos relations, notamment avec des partenaires stratégiques tels que les États-Unis, la Russie, le Japon et d'autres de la même catégorie. La communication reconnaît également l'importance des économies émergentes en particulier du continent asiatique. Taïwan n'est pas mentionné en tant que priorité spécifique, mais la communication nous offre déjà un cadre utile pour des relations avec ces économies. Bien que nous n'ayons pas un accord formel avec Taïwan, nous avons un dialogue commercial qui fonctionne bien et qui permet également d'aborder l'avenir de nos relations. En ce qui concerne les relations commerciales de Taïwan avec le monde en général, l'événement le plus récent est la négociation d'un accord-cadre de coopération économique avec la Chine que nous considérons comme un pas en avant positif et important. En effet, une bonne relation entre la Chine et Taïwan est d'une importance capitale tant en termes pratiques que dans le cadre de notre politique . Cet accord n'est pas un accord de libre-échange en tant que tel, mais plutôt un accord-cadre qui sera complété dans certains domaines. Je pense qu'il est encore trop tôt pour savoir quelle opportunité cet accord-cadre créera pour l'industrie européenne, mais nous devons nous assurer que l'intensification des relations commerciales entre Taïwan et la Chine va créer de nouvelles opportunités pour nos entreprises dans la région, plutôt que d'agir comme un obstacle. De toute façon, nous suivons ce développement de très près. Sur la question d'un accord de libre-échange entre l'Union européenne et Taïwan, il est important de tenir compte de la situation unique de Taïwan, et en particulier de sa relation avec la Chine. Un des arguments avancés par Taïwan est qu'un tel accord donnera de nouvelles opportunités aux entreprises européennes, non seulement à Taïwan, mais également en Chine. Le volume impressionnant des investissements taïwanais en Chine montre l'importance des relations entre Taïwan et la Chine, tandis que l'Union européenne est également un investisseur important en Chine. Donc, nous devons considérer le renforcement des liens entre Taïwan et la Chine comme un élément positif dans le contexte plus large de nos liens économiques avec la région dans son ensemble, y compris avec la Chine. De ce point de vue, il est important d'éviter un faux départ qui pourrait compromettre le développement des bonnes relations entre la Chine et Taïwan ou qui pourrait aussi mettre en péril nos propres relations avec la Chine et Taïwan. La Commission pense, à ce stade, qu'il n'est pas approprié de commencer un processus de négociation pour un accord de libre-échange avec Taïwan pour les raisons que j'ai mentionnées plus haut. Quant à d'autres négociations, il y a en effet certains domaines que l'on pourrait examiner afin de voir s'ils pourraient être des éléments de construction pour développer et renforcer notre relation. Et ce processus d'analyse de ce domaine est en cours. Nous aurons des consultations à Taipei le 25 octobre, dont nous sommes prêts à rendre compte à la commission INTA, et nous verrons ce qu'il y a lieu de faire suite aux informations que nous pourrons obtenir lors de ces discussions."@sv22
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