Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-09-26-Speech-1-072-000"

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"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@fr8
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"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@cs1
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@da2
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@de9
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@el10
"Madam President, Ms Koppa, honourable Members, this is an agreement which, whilst it will not solve the region’s problems on its own, certainly presents opportunities that we ought to make the most of. The new agreement, which the European Union signed with the Palestinian Authority on 13 April 2011, gives free access to the European market for all agricultural, processed agricultural and fisheries products from the West Bank and the Gaza Strip, with the exception of the fruit and vegetables sector, as Ms Koppa mentioned, for which the EU has kept the entry price system. This means that there is partial protection in place during certain important periods for EU producers, whilst the rest of the time Palestinian products can be exported to the EU. This unilateral concession by the European Union has been granted on a provisional basis for a ten-year period, after which there is the opportunity to extend the agreement, depending on Palestine’s future economic development. The agreement also includes a review clause, whereby five years after it came into force, the conditions of the agreement may be reviewed and its scope widened if necessary. The agreement also contains an ‘anti-fraud’ clause providing for temporary withdrawal of the trade preferences, which is intended to ensure that only Palestinian products benefit from this preferential agreement. I know that, during the discussion within the Committee on International Trade, some of you raised the concern that other people might benefit from the agreement. I think this clause should deal with that concern. This agreement is one of the most generous that the EU has ever signed in the field of agriculture. It is justified by the politico-economic situation and the specific circumstances surrounding Palestine’s agricultural sector. The Palestinian Authority is the EU’s smallest trade partner in the Euro-Mediterranean region. EU exports to Palestine were worth EUR 57.5 million in 2009 and EUR 89.3 million in 2010. At the same time, EU imports from Palestine were worth only EUR 6.5 million in 2009, and EUR 9.3 million in 2010. Opening the market to this region should provide a means of supporting economic development in occupied Palestinian territory, and at the same time give a significant boost to Palestine’s agricultural sector and to farmers’ businesses. Alongside the introduction of additional trade preferences, the EU will be offering a technical trade assistance programme. In fact, this assistance has already started in the areas of health and plant health, and will continue according to the Palestinians’ future needs and requests."@en4
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@es21
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@et5
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@fi7
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@hu11
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@it12
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@lt14
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@lv13
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@mt15
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@nl3
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@pl16
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@pt17
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@ro18
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@sk19
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@sl20
"Madame la Présidente, Madame la rapporteure, Mesdames et Messieurs, il s'agit effectivement d'un accord qui ne va pas régler à lui seul les problèmes qui existent dans cette région mais qui, sans doute, ouvre d'importantes perspectives qu'il faut exploiter. Ce nouvel accord, que l'Union européenne a signé avec l'Autorité palestinienne le 13 avril dernier, lui offre la liberté d'accès au marché européen de tous les produits agricoles, agroalimentaires et de la pêche originaires de Cisjordanie et de la bande de Gaza, à l'exception – comme Madame la rapporteure l'a précisé – du secteur des fruits et légumes pour lequel l'Union européenne a gardé le système de la protection des prix d'entrée. Ce qui veut dire qu'une protection partielle s'applique à certaines périodes qui sont importantes pour les producteurs de l'Union européenne; sinon, le reste du temps, les produits palestiniens peuvent être exportés vers l'Union européenne. Cette concession unilatérale du côté de l'Union européenne est accordée, à titre temporaire, pour une période de dix ans, la possibilité étant prévue de prolonger l'accord en fonction du développement économique futur de la Palestine. L'accord comporte par ailleurs une clause de révision, qui permettra cinq ans après la mise en œuvre de revoir les conditions de l'accord, et éventuellement, de l'élargir si nécessaire. L'accord contient encore une clause de retrait temporaire des préférences, appelée "clause anti-fraude", qui permet de s'assurer que seuls les produits palestiniens bénéficient de cet accord préférentiel. Je sais que certains d'entre vous, au cours de la discussion au sein de la commission du commerce international, ont soulevé la crainte que d'autres bénéficient de l'accord. Je pense que l'application de cette clause permettra de résoudre ce cas de figure. Cet accord est un des accords les plus généreux que l'Union européenne ait jamais signé dans le domaine agricole. Son adoption se justifie par la situation politico-économique et les conditions spécifiques de l'agriculture palestinienne. L'Autorité palestinienne est le plus petit partenaire commercial de l'Union européenne dans la région euroméditerranéenne. Les exportations de l'Union européenne vers la Palestine s'élevaient à 57,5 millions d'euros en 2009 et à 89,3 millions d'euros en 2010 tandis que les importations de l'Union européenne en provenance de Palestine s'élevaient seulement à 6,5 millions d'euros en 2009 et à 9,3 millions d'euros en 2010. L'ouverture du marché à cette région devrait permettre de soutenir le développement économique du territoire palestinien occupé tout en donnant une impulsion significative au développement du secteur agricole palestinien et aux activités de ses agriculteurs. L'Union européenne va compléter l'octroi de préférences commerciales supplémentaires d'un programme d'assistance technique dans le domaine commercial. Cette aide a, d'ailleurs, déjà commencé pour les questions sanitaires et phytosanitaires; elle va se poursuivre selon les besoins et les demandes futurs des Palestiniens."@sv22
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