Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-07-07-Speech-4-274-000"

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"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@fr8
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"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@cs1
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@da2
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@de9
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@el10
"Madam President, it is with considerable emotion, anger and, at times, fury that I note that the issue of the raped women in eastern Congo is before us again. It is not the first time, and we remain powerless in the face of it. I would simply like to say that I do not believe that we are powerless. We have been given a list of the decisions taken by the United Nations and the United Nations Organisation Stabilisation Mission in the Democratic Republic of Congo (MONUSCO). A law is currently being drawn up in the Democratic Republic of Congo to introduce particular laws covering this kind of violation. It has been mentioned that what is needed, in this part of the country where the civil war is getting under way again, are political negotiations. However, I must tell you that there is something that I find particularly repellent. We are talking about women whom we have visited and to whom we have listened here in this Parliament. The fact is that these women, who have been raped, do not even have the right to abortion, and, today, the children of these rapes are rejected by all communities. That, today, is a human tragedy. Do not think, ladies and gentlemen, that I am trying to put the issue of abortion back on the table in the light of these emergencies. In most current legislation prohibiting abortion, rape provides an exception to this rule; in Congo this is not yet the case, and these 100 women and the 300 more that we have met, will give birth to children that they do not love and who will become part of those children abandoned on the Congolese streets. So this is indeed a human tragedy. I would like us to consider it further in another place, at another time. It is unacceptable from all points of view."@en4
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@es21
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@et5
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@fi7
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@hu11
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@it12
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@lt14
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@lv13
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@mt15
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@nl3
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@pl16
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@pt17
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@ro18
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@sk19
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@sl20
"Madame la Présidente, c'est avec beaucoup d'émotion, avec colère et, parfois, avec rage que je vois revenir sur la table le dossier de ces femmes violées dans l'est du Congo. Ce n'est pas la première fois et on reste impuissant devant cela. Je voudrais dire simplement que je ne peux pas croire à cette impuissance. On a énuméré ce qui a été décidé à l'ONU et à la MONUSCO. Une loi est aujourd'hui en préparation en République démocratique du Congo pour instaurer des juridictions particulières pour ce genre de violations. On l'a dit, c'est une négociation politique qu'il faut dans cette partie du pays où la guerre civile est en train de reprendre. Mais laissez-moi vous dire, aussi, qu'il y a quelque chose qui me révolte encore plus que tout: nous avons rendu visite à ces femmes, nous les avons entendues, ici, au Parlement. Celles qui ont été violées n'ont même pas droit à une interruption volontaire de grossesse, et, aujourd'hui, les enfants du viol sont rejetés par toutes les communautés. C'est aujourd'hui un drame humain. Ne croyez pas, chers collègues, que je veuille remettre sur la table le dossier de l'avortement, à la lumière des urgences. Dans la plupart des législations qui, aujourd'hui, refusent l'avortement, le cas du viol constitue une exception; il ne l'est pas encore au Congo, et ces cent femmes et les trois cents autres que nous avons rencontrées auront des enfants qu'elles n'aimeront pas et qui feront partie de ces enfants rejetés dans la rue au Congo. Voilà, il y a là un drame humain. Je voudrais que l'on s'y attarde dans un autre lieu, à un autre moment. C'est inacceptable à tous points de vue."@sv22
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"Véronique De Keyser,"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
"auteure"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,10,2,3,13,21,9,17,12,8
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