Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2011-07-04-Speech-1-100-000"

PredicateValue (sorted: default)
rdf:type
dcterms:Date
dcterms:Is Part Of
dcterms:Language
lpv:document identification number
"en.20110704.22.1-100-000"6
lpv:hasSubsequent
lpv:speaker
lpv:spoken text
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@fr8
lpv:spokenAs
lpv:translated text
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@cs1
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@da2
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@de9
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@el10
"Madam President, Commissioner, this review of the Directive on investor-compensation schemes follows on, unfortunately, from the crisis and also from the Madoff scandal, which hit some small investors in Europe hard. It is taking place, as you said, at the same time as the review of the Directive on Deposit Guarantee Schemes and the implementation of an equivalent directive in the field of insurance. This is important to us; it is also what led us to ask for the ceiling to be raised to EUR 100 000. Indeed, the original ceiling in the banking sector was EUR 25 000, and it is now being raised to EUR 100 000. Why create a gap in the field of investment at the very time when we want Europeans to be able to diversify their savings in secure conditions, including by promoting investment that will help us to finance our long-term investment needs? You said that ‘bad advice’ is an issue that falls under the Markets in Financial Instruments Directive (MiFID), but it was in fact the MiFID that inspired us to include it here, because we believe that, here too, we need to apply this useful concept that was included in the MiFID. Therefore, we are not contradicting you; we are asking you to draw on what is in the MiFID and to apply it to this text. Regarding the situation of undertakings for collective investment in transferable securities (UCITS), as everyone has said, we do not want anyone who is currently in possession of UCITS to end up in a less favourable position than non-UCITS investors, when this savings product adds real value to the European financial market. I should like to say a couple of things by way of conclusion, in order to draw your attention to the way in which this text might be applied to local authorities also – during the crisis we saw how severely they could be affected – and to ask you, as the European Parliament will do during its vote tomorrow, to examine the conditions in which an insurance system could be much more effective, efficient and, in a way, useful, when it comes to financing this fund. Commissioner, you said that the citizens would not comprehend any failure in this area. We are counting on the strong vote of this Parliament tomorrow and on your pressure to ensure that the Council resolves this situation, because it is obvious that it does not want to progress as quickly as we would like."@en4
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@es21
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@et5
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@fi7
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@hu11
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@it12
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@lt14
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@lv13
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@mt15
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@nl3
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@pl16
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@pt17
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@ro18
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@sk19
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@sl20
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, cette révision de la directive relative aux systèmes d'indemnisation des investisseurs est dans le droit fil, malheureusement, de la crise et aussi du scandale Madoff qui a frappé de plein fouet certains petits investisseurs européens. Elle se présente parallèlement, vous l'avez dit, vous l'avez rappelé, à la révision de la directive sur le dépôt de garanties bancaires et à la mise en place d'un équivalent dans le domaine de l'assurance. C'est important pour nous; c'est aussi ce qui nous a guidés pour demander que le plafond soit porté à 100 000. En effet, le plafond d'origine dans le secteur bancaire était à 25 000, et on le porte aujourd'hui à 100 000. Pourquoi organiser un décrochage dans le domaine de l'investissement alors que, justement, nous voulons que les Européens puissent diversifier leur épargne dans des conditions sûres, y compris en favorisant de l'investissement qui sera utile pour financer nos besoins en investissement à long terme? Vous avez dit que le ou mauvais avis renvoyait à la MiFID mais c'est justement de la MiFID dont nous nous sommes inspirés pour l'introduire ici parce que nous pensons qu'ici, nous avons aussi besoin de décliner ce concept utile qui a été introduit dans la MiFID. Donc, nous ne disons pas le contraire, nous vous demandons de tirer les conséquences pour ce texte de ce qui existe dans la MiFID. Sur la situation des OPCVM, tout le monde l'a dit, nous ne voulons pas que ceux qui sont aujourd'hui détenteurs d'OPCVM se retrouvent dans des situations moins favorables que des investisseurs hors OPCVM, alors que ce produit d'épargne constitue une vraie valeur ajoutée pour le marché financier européen. Deux mots pour conclure, pour attirer votre attention sur la façon dont ce texte s'appliquerait aussi aux collectivités territoriales – on a vu dans la crise combien elles pouvaient être atteintes – et pour vous demander, comme le Parlement européen va le faire dans son vote demain, d'examiner dans quelles conditions un système d'assurance ne pourrait pas être beaucoup plus efficace, opérationnel et, d'une certaine manière, utile pour financer ce fonds . Monsieur le Commissaire, vous avez dit "Les citoyens ne comprendraient pas un échec dans ce domaine". Nous comptons sur le vote fort de ce Parlement demain et sur votre pression pour que le Conseil débloque une situation où, manifestement, il n'a pas l'air de vouloir avancer assez vite à notre goût."@sv22
lpv:unclassifiedMetadata
""bad advice""18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
"Pervenche Berès,"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
"au nom du groupe S&D"18,5,20,15,1,19,14,16,11,22,7,2,10,3,13,21,9,17,12,8
"ex ante"18,5,20,15,1,19,14,11,16,22,7,2,10,3,13,4,21,9,17,12,8
lpv:videoURI

Named graphs describing this resource:

1http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Czech.ttl.gz
2http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Danish.ttl.gz
3http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Dutch.ttl.gz
4http://purl.org/linkedpolitics/rdf/English.ttl.gz
5http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Estonian.ttl.gz
6http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Events_and_structure.ttl.gz
7http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Finnish.ttl.gz
8http://purl.org/linkedpolitics/rdf/French.ttl.gz
9http://purl.org/linkedpolitics/rdf/German.ttl.gz
10http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Greek.ttl.gz
11http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Hungarian.ttl.gz
12http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Italian.ttl.gz
13http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Latvian.ttl.gz
14http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Lithuanian.ttl.gz
15http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Maltese.ttl.gz
16http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Polish.ttl.gz
17http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Portuguese.ttl.gz
18http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Romanian.ttl.gz
19http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Slovak.ttl.gz
20http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Slovenian.ttl.gz
21http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Spanish.ttl.gz
22http://purl.org/linkedpolitics/rdf/Swedish.ttl.gz
23http://purl.org/linkedpolitics/rdf/spokenAs.ttl.gz

The resource appears as object in 2 triples

Context graph