Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2006-12-13-Speech-3-032"

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"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@et5
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
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"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@sl19
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
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"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@mt15
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
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"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@cs1
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
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"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@sk18
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
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"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@lt14
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
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"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@pl16
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
lpv:translated text
"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@hu11
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
lpv:translated text
"Hr. formand! De europæiske institutioner er endelig ved at tage fat på de centrale emner. Hvad er EU? Hvad ønsker det? Hvem kan være medlem? Jeg håber, at Parlamentet takket være Stubb- og Brok-betænkningerne tydeligt vil hjælpe med at skrinlægge forstillelsen og holde op med at presse på med udvidelsesstrategien. Integrationskapacitet er udmærket defineret ved de tre elementer, der fremgår af Brok-betænkningens afsnit 8. For vores vedkommende mener vi, at det vigtige er de politiske projekter, ikke kun institutionerne. Vi er imod en udvidelsesproces, der fører til nedlæggelse af fælles politikker. Det er sandt, at integrationskapacitet, som hr. Stubb korrekt har defineret det, ikke udgør et optagelseskriterium, men en betingelse for at gå videre til optagelse. Indtil videre mener vi, ligesom hr. Stubb, at yderligere udvidelse ikke kan finde sted uden nye beslutningsmekanismer, uden nye ressourcer og uden, at Unionen får ny repræsentation. Det er den konklusion, vi i øjeblikket drager fra den uheldige sammenligning mellem de 12 nye medlemsstaters optagelse i EU, hvilket er en succes, og Nice-traktaten, som på sin side er fuldstændig utilstrækkelig. Lad os være lige så klarsynede i vores ræsonnement omkring Tyrkiet. Rådet (almindelige anliggender) har bemærket konsekvenserne af Cyperns situation, som naturligvis er utålelig, men taler vi her ikke blot om endnu et diplomatisk bedrag? Der er fare for, at udsættelsen bliver ineffektiv og overhovedet ikke påvirker Tyrkiet til at ændre holdning. Vi må gentage vores holdning, at EU ikke har mulighed for at integrere Tyrkiet, men i stedet må iværksætte et privilegeret partnerskab med landet, som er vigtigt for Europa. Lad os holde op med at lade som om. Det handler om interesser og om Tyrkiet og om EU. Udvidelse er ikke et mål i sig selv, det er et middel til at opbygge Europas politiske projekt."@da2
lpv:translated text
"Arvoisa puhemies, Euroopan unionin toimielimissä päästään vihdoin käsittelemään tärkeitä asioita. Mikä on Euroopan unioni? Mihin se pyrkii? Ketkä voivat kuulua siihen? Toivon, että Stubbin ja Brokin mietintöjen ansiosta parlamentti voi selkeästi lakata teeskentelemästä ja lakata runnomasta läpi laajentumisstrategiaa. Integraatiovalmius on määritelty hyvin kolmella tekijällä, jotka mainitaan Brokin mietinnön 8 kohdassa. Meidän kannaltamme etusijalle on asetettava poliittiset hankkeet eivätkä vain toimielimet. Vastustamme laajentumista, joka johtaa yhteisen politiikan osittamiseen. On totta, ettei Stubbin asianmukaisesti määrittelemä integraatiovalmius ole liittymisperuste, mutta se on edellytys liittymisvaiheeseen siirtymiselle. Tällä hetkellä katsomme Stubbin tavoin, ettei lisälaajentumisia voida toteuttaa ilman päätöksentekomenetelmien uudistamista, ilman uusia rahoitusvaroja ja ilman Euroopan unionin uutta edustusta. Tämä päätelmän teemme tällä hetkellä siitä valitettavasta vertailusta, joka koskee 12 uuden jäsenvaltion onnistunutta liittymistä Euroopan unioniin ja Nizzan sopimusta. Nizzan sopimus on täysin epäasianmukainen väline. Selkiyttäkäämme ajatuksemme Turkin osalta. Yleisten asioiden neuvosto pannut merkille Kyproksen tilanteen seuraukset, jotka ovat luonnollisesti kestämättömät, mutta eikö kyse olekin vain jälleen kerran diplomaattisesta harhautuksesta? Neuvottelujen lykkääminen uhkaa jäädä tehottomaksi toimenpiteeksi, jolla ei voida vaikuttaa mitenkään Turkin asenteeseen. Meidän on toistettava kantamme, jonka mukaan Euroopan unioni ei aio missään tapauksessa ottaa Turkkia jäsenekseen vaan Turkin kanssa on otettava käyttöön etuoikeutettu kumppanuus, sillä tämä on erittäin tärkeää Euroopalle. Lakatkaamme teeskentelemästä: kyse on Turkin ja Euroopan unionin eduista. Laajentuminen ei ole itse tarkoitus vaan keino rakentaa Euroopan unionin poliittista hanketta."@fi7
lpv:translated text
"Herr talman! EU:s institutioner har äntligen kommit fram till själva kärnfrågorna. Vad är EU? Vad vill EU? Vem kan gå med i EU? Jag hoppas att Alexander Stubbs och Elmar Broks resolutioner ska hjälpa Europaparlamentet att sluta med låtsaslekarna och inte tvinga igenom utvidgningsstrategin. Integrationsförmåga definieras mycket bra genom de tre saker som räknas upp i punkt 8 i Brokbetänkandet. Vi menar att de politiska projekten och inte bara institutionerna måste prioriteras. Vi är emot utvidgning som leder till att gemensamma politikområden avvecklas. Det är sant att integrationsförmåga, som Alexander Stubb har definierat på ett bra sätt, inte är ett kriterium för anslutning, utan ett villkor för att gå vidare till anslutning. För närvarande delar vi Alexander Stubbs åsikt att en fortsatt utvidgning inte kan genomföras utan nya beslutsförfaranden, nya resurser och en ny EU-representation. Det är den slutsats vi för närvarande drar av den olyckliga jämförelsen mellan de tolv nya medlemsstaternas anslutning till EU, som kan betecknas som en framgång, och Nicefördraget, som i alla avseenden är bristfälligt. Låt oss visa samma klarsynthet i våra diskussioner om Turkiet. Rådet (allmänna frågor) har noterat följderna av Cyperns situation, som givetvis är oacceptabel, men är det egentligen inte bara ännu ett diplomatiskt grepp vi talar om här? Uppskjutandet riskerar att bli ineffektivt och verkningslöst när det gäller att förändra Turkiets attityd. Vår ståndpunkt måste bekräftas på nytt. EU kan inte integrera Turkiet, utan måste införa ett privilegierat partnerskap med detta land, som har stor betydelse för EU. Låt oss sluta låtsas. Detta handlar om intressen, om Turkiet och om EU. Utvidgningen är inte ett mål i sig, utan ett medel för att utveckla EU:s politiska projekt."@sv21
lpv:translated text
"Κύριε Πρόεδρε, τα ευρωπαϊκά θεσμικά όργανα έρχονται τώρα στα βασικά ερωτήματα. Τι είναι η Ευρωπαϊκή Ένωση; Τι θέλει; Ποιος μπορεί να συμμετέχει; Ελπίζω ότι, χάρη στα ψηφίσματα Stubb και Brok, το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιό μας θα βοηθήσει με σαφήνεια να εγκαταλειφθούν τα προσχήματα και να σταματήσει η φυγή προς τα εμπρός με τη στρατηγική της διεύρυνσης. Η ικανότητα ολοκλήρωσης ορίζεται πάρα πολύ καλά με τα τρία στοιχεία που αναφέρονται στην παράγραφο 8 της έκθεσης Brok. Στον βαθμό που μας αφορά, πρέπει να δοθεί προτεραιότητα στα πολιτικά σχέδια και όχι μόνο στα θεσμικά όργανα. Είμαστε κατά της διεύρυνσης που οδηγεί στη διάλυση κοινών πολιτικών. Είναι αλήθεια ότι η ικανότητα ολοκλήρωσης, όπως σωστά ορίζεται από τον κ. Stubb, δεν συνιστά κριτήριο προσχώρησης, αλλά προϋπόθεση για την προσχώρηση. Επί του παρόντος, πιστεύουμε, όπως ο κ. Stubb, ότι μια περαιτέρω διεύρυνση δεν μπορεί να λάβει χώρα χωρίς νέους μηχανισμούς λήψης αποφάσεων, χωρίς νέους πόρους και χωρίς νέα αντιπροσώπευση της Ένωσης. Αυτό είναι το συμπέρασμα που εξάγουμε τώρα από την ατυχή σύγκριση μεταξύ της προσχώρησης στην Ένωση των 12 νέων κρατών μελών, η οποία είναι μια επιτυχία, και της Συνθήκης της Νίκαιας, η οποία είναι, με τη σειρά της, παντελώς ανεπαρκής. Ας είμαστε οξυδερκείς στη συλλογιστική μας σχετικά με την Τουρκία. Το Συμβούλιο Γενικών Υποθέσεων έχει σημειώσει τις συνέπειες της κυπριακής κατάστασης, η οποία είναι φυσικά, ανυπόφορη, αλλά μήπως δε συζητούμε εδώ ακριβώς για άλλη μία διπλωματική πλάνη; Η αναστολή κινδυνεύει να είναι αναποτελεσματική και μην έχει καμιά επίδραση στην αλλαγή στάσης της Τουρκίας. Η θέση μας πρέπει να επαναβεβαιωθεί· η Ένωση δεν είναι σε θέση να εντάξει την Τουρκία, αλλά πρέπει να εφαρμόσει μια προνομιακή εταιρική σχέση με τη χώρα αυτή, η οποία είναι κρίσιμης σημασίας για την Ευρώπη. Ας σταματήσουμε να υποκρινόμαστε· πρόκειται για τα συμφέροντα και της Τουρκίας και της Ευρωπαϊκής Ένωσης. Η διεύρυνση δεν είναι αυτοσκοπός· είναι ένα μέσο οικοδόμησης του πολιτικού σχεδίου της Ευρώπης."@el10
lpv:translated text
"Monsieur le Président, les institutions européennes s'attèlent, enfin, à l'essentiel. Qu'est-ce que l'Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J'espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d'élargissement. La capacité d'intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d'Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l'élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d'intégration, comme l'a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d'adhésion, c'est vrai, mais une condition pour passer à l'adhésion. Dans l'immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu'un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l'Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l'adhésion à l'Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s'agit-il pas uniquement d'une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d'être inopérante et sans effet sur l'attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l'Union n'a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l'Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l'intérêt et de la Turquie et de l'Union européenne. L'élargissement n'est pas une fin en soi, c'est un moyen de construire le projet politique de l'Europe."@lv13
lpv:translated text
"Mijnheer de Voorzitter, de Europese instellingen gaan zich nu eindelijk met de hoofdzaken bezighouden. Wat is de Europese Unie? Wat doet de Unie? Wie kan eraan deelnemen? Ik hoop dat ons Europees Parlement er met de resolutie van de heer Stubb en die van de heer Brok toe zal bijdragen dat we onszelf niet langer voor gek houden en een eind maken aan de vlucht naar voren met betrekking tot de uitbreidingsstrategie. Het integratievermogen wordt heel goed gedefinieerd door de drie elementen die in paragraaf 8 van het verslag-Brok worden genoemd. Wij geloven dat prioriteit moet worden gegeven aan politieke projecten en niet alleen maar aan de instellingen. We willen ook niet dat uitbreiding leidt tot ontmanteling van de verschillende typen gemeenschappelijk beleid. De heer Stubb stelt terecht dat integratievermogen niet gezien moet worden als een criterium voor toetreding, maar als een voorwaarde voor het openen van een toetredingsproces. Net als de heer Stubb geloven ook wij dat verdere uitbreiding niet kan worden verwezenlijkt zonder nieuwe instrumenten voor de besluitvorming, zonder nieuwe middelen en zonder een nieuwe vertegenwoordiging van de Unie. Dat is de conclusie die wij verbinden aan de - ongelukkig uitvallende - vergelijking tussen de toetreding van twaalf nieuwe lidstaten en het Verdrag van Nice: de toetreding was een succes, het Verdrag schiet beslist tekort. We moeten met betrekking tot Turkije hetzelfde gezonde verstand laten spreken. De Raad algemene zaken heeft vastgesteld wat de gevolgen van de problematiek rond Cyprus zijn. Die situatie is natuurlijk niet aanvaardbaar, maar gaat het hier weer niet om een diplomatieke mystificatie? Schorsing zou wel eens weinig doeltreffend kunnen zijn en in het geheel niet bijdragen tot een verandering van de houding van Turkije. We moeten ons standpunt daarom herhalen: de Unie is geen voorstander van opname van Turkije maar moet met dit land, dat voor Europa van cruciaal belang is, een geprivilegieerd partnerschap aangaan. Laten we dus niet langer doen alsof. Het gaat hier om de belangen van zowel Turkije als de Europese Unie. Uitbreiding is geen doel op zich; het is een middel om het Europese project te verwezenlijken."@nl3
lpv:unclassifiedMetadata
"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13
lpv:translated text
"Señor Presidente, las instituciones europeas se aplican por fin a lo esencial. ¿Qué es la Unión Europea? ¿Qué quiere? ¿Quién puede formar parte de ella? Espero que nuestro Parlamento Europeo, con las resoluciones Stubb y Brok, contribuya claramente a dejarnos de fingimientos y poner fin a la huída adelante con la estrategia de ampliación. La capacidad de integración está muy bien definida por los tres elementos que figuran en el apartado 8 del informe del señor Brok. En nuestra opinión hay que dar prioridad a los proyectos políticos y no solo a las instituciones. Rechazamos que la ampliación acarree el desmantelamiento de las políticas comunes. La capacidad de integración, como la ha definido con razón el señor Stubb, no es un criterio de adhesión, es cierto, sino una condición para pasar a la adhesión. De forma inmediata, estimamos, al igual que el señor Stubb, que no puede tener lugar ninguna ampliación más sin nuevos mecanismos de toma de decisiones, sin nuevos recursos, sin una nueva representación de la Unión. Es la conclusión que sacamos de la dramática confrontación actual entre la adhesión a la Unión de los doce nuevos miembros, que es un éxito, y el Tratado de Niza, insuficiente por completo. Razonemos con la misma lucidez en el caso de Turquía. El Consejo de Asuntos Generales ha tomado nota de las consecuencias de la situación en Chipre, que naturalmente es insostenible, pero ¿no se trata tan solo de un nuevo engaño diplomático? La suspensión corre peligro de resultar inoperante y no hacer nada para cambiar la actitud de Turquía. Debemos reafirmar nuestra posición; la Unión no está en condiciones de integrar a Turquía, sino que ha de establecer una asociación privilegiada con ese país, que es crucial para Europa. Dejemos de fingir; se trata de los intereses de Turquía y de la Unión Europea. La ampliación no es un fin en sí mismo, es un medio de construir el proyecto político de Europa."@es20
lpv:translated text
"Mr President, the European institutions are finally getting down to the main points. What is the European Union? What does it want? Who can be part of it? I hope that, thanks to the Stubb and Brok resolutions, our European Parliament will clearly help to abandon the pretence and stop forging ahead with the enlargement strategy. Integration capacity is very well defined by the three elements that appear in paragraph 8 of the Brok report. As far as we are concerned, priority must be given to political projects and not just to the institutions. We are against enlargement leading to the dismantling of common policies. It is true that integration capacity, as rightly defined by Mr Stubb, does not constitute an accession criterion, but a condition for moving on to accession. For the time being, we believe, like Mr Stubb, that a further enlargement cannot take place without new decision-making mechanisms, without new resources and without new representation of the Union. That is the conclusion that we currently draw from the unfortunate comparison between the accession to the Union of the 12 new Member States, which is a success, and the Treaty of Nice, which, for its part, is totally inadequate. Let us be as clear-sighted in our reasoning regarding Turkey. The General Affairs Council has noted the consequences of Cyprus’ situation, which is, of course, intolerable, but are we not just talking here about another diplomatic deception? The suspension is in danger of being ineffective and of doing nothing to change Turkey’s attitude. Our position must be reaffirmed; the Union is in no position to integrate Turkey, but must implement a privileged partnership with this country, which is crucial to Europe. Let us stop pretending; this is a question of interests and of Turkey and of the European Union. Enlargement is not an end in itself; it is a means of building Europe's political project."@en4
lpv:translated text
"Herr Präsident! Die europäischen Institutionen nehmen endlich die wesentlichen Themen in Angriff. Was ist die Europäische Union? Was will sie? Wer kann ihr angehören? Ich hoffe, unser Europäisches Parlament wird mit Hilfe der Entschließungsanträge Stubb und Brok einen klaren Beitrag dazu leisten, den falschen Schein zu beseitigen, und die Erweiterungsstrategie nicht länger vorantreiben. Die Integrationsfähigkeit ist durch die drei Säulen in Ziffer 8 des Berichts Brok sehr gut definiert. Unseres Erachtens müssen politische Vorhaben Priorität haben und nicht nur die Institutionen. Wir sind gegen eine Erweiterung, die zu einer Demontage gemeinsamer Politiken führt. Zwar ist die Integrationskapazität, wie sie Herr Stubb ganz richtig definiert hat, kein Beitrittskriterium, aber eine Bedingung, um zum Beitritt zu gelangen. Wir sind für den Augenblick wie Herr Stubb der Ansicht, dass eine weitere Erweiterung nicht ohne neue Beschlussfassungsinstrumente, ohne neue Ressourcen und ohne eine neue Vorstellung von der Union stattfinden kann. Diese Schlussfolgerung ziehen wir derzeit aus dem unglücklichen Vergleich zwischen dem Beitritt der zwölf neuen Mitgliedstaaten zur Union, der ein Erfolg ist, und dem Vertrag von Nizza, der völlig unzureichend ist. Wir sollten bei unseren Überlegungen hinsichtlich der Türkei ebenso klarsichtig sein. Der Rat Allgemeine Angelegenheiten hat die Auswirkungen der Lage Zyperns zur Kenntnis genommen, die natürlich nicht hingenommen werden kann, aber geht es hier nicht nur um eine weitere Täuschung der Diplomatie? Es besteht die Gefahr, dass die Aussetzung keine Wirkung hat und sich die Haltung der Türkei nicht ändert. Unser Standpunkt muss erneut bekräftigt werden; die Union ist nicht imstande, die Türkei zu integrieren, muss jedoch eine privilegierte Partnerschaft mit diesem Land eingehen, das für Europa entscheidende Bedeutung hat. Wir sollten uns nicht länger verstellen. Hier geht es um die Interessen sowohl der Türkei als auch der Europäischen Union. Die Erweiterung ist kein Selbstzweck, sie ist ein Mittel zur Umsetzung des politischen Projekts Europas."@de9
lpv:translated text
"Senhor Presidente, as Instituições Europeias estão, finalmente, a chegar aos pontos que interessam. O que é a União Europeia? O que pretende? Quem pode dela fazer parte? Espero que, graças às resoluções Stubb e Brok, o nosso Parlamento Europeu ajude claramente a abandonar esta situação falsa e a parar com esta fuga para a frente quanto à estratégia de alargamento. A capacidade de integração está muito bem definida nos três elementos que surgem no nº 3 do relatório Brok. Para nós, há que dar prioridade aos projectos políticos e não apenas às instituições. Opomo-nos a que o alargamento conduza ao desmantelamento das políticas comuns. É certo que a capacidade de integração, tal como muito bem estabelece o deputado Stubb, não constitui critério de adesão, mas uma condição para o sucesso do alargamento. Para já, tal como o senhor deputado Stubb, acreditamos que não é possível proceder a mais alargamentos sem novos mecanismos de decisão, sem novos recursos e sem uma nova forma de representação da União. Eis a conclusão que actualmente tiramos da infeliz comparação entre a adesão à União dos 12 novos Estados-Membros, que está a ser um êxito, e o Tratado de Nice, que é totalmente desadequado. Sejamos igualmente perspicazes na nossa reflexão sobre a Turquia. O Conselho Assuntos Gerais registou as consequências da situação de Chipre que, obviamente, é intolerável, mas não estaremos a falar de outro engano político? A suspensão corre o perigo de ser ineficaz e de em nada contribuir para alterar a atitude da Turquia. Há que reiterar a nossa posição: a União não está em posição de acolher a Turquia mas tem de estabelecer uma parceria privilegiada com esse país, que é crucial para a Europa. Deixemo-nos de fingimentos: está em causa o interesse tanto da Turquia como da União Europeia. O alargamento não é um fim em si, é uma forma de construir o projecto político da Europa."@pt17
lpv:spoken text
"Monsieur le Président, les institutions européennes s’attèlent, enfin, à l’essentiel. Qu’est-ce que l’Union européenne? Que veut-elle? Qui peut y participer? J’espère que notre Parlement européen, grâce aux résolutions Stubb et Brok, va contribuer clairement à sortir des faux-semblants et mettre un terme à la fuite en avant en ce qui concerne la stratégie d’élargissement. La capacité d’intégration est très bien définie par les trois éléments qui figurent dans le paragraphe 8 du rapport d’Elmar Brok. Pour nous, la priorité doit être donnée aux projets politiques et pas seulement aux institutions. Nous refusons que l’élargissement entraîne le démantèlement des politiques communes. La capacité d’intégration, comme l’a défini justement Alexander Stubb, ne constitue pas un critère d’adhésion, c’est vrai, mais une condition pour passer à l’adhésion. Dans l’immédiat, nous estimons, comme Alexander Stubb, qu’un nouvel élargissement ne peut avoir lieu sans nouveaux mécanismes de décision, sans nouvelles ressources, sans nouvelle représentation de l’Union. Voilà la conclusion que nous tirons de la confrontation dramatique, actuellement, entre l’adhésion à l’Union des douze nouveaux membres, qui est une réussite, et le traité de Nice, quant à lui totalement insuffisant. Raisonnons avec cette même lucidité dans le cas de la Turquie. Le Conseil des affaires générales a pris acte des conséquences de la situation de Chypre qui, naturellement, est intenable, mais ne s’agit-il pas uniquement d’une nouvelle mystification diplomatique? La suspension risque d’être inopérante et sans effet sur l’attitude de la Turquie. Notre position doit être réaffirmée, l’Union n’a pas vocation à intégrer la Turquie, mais doit mettre en place un partenariat privilégié avec ce pays essentiel à l’Europe. Arrêtons de faire semblant, il est question de l’intérêt et de la Turquie et de l’Union européenne. L’élargissement n’est pas une fin en soi, c’est un moyen de construire le projet politique de l’Europe."@fr8
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"Signor Presidente, le Istituzioni europee affrontano infine i punti essenziali: che cos’è l’Unione europea? Che cosa vuole? Chi può farne parte? Mi auguro che il Parlamento europeo, con le risoluzioni Stubb e Brok, contribuisca veramente ad abbandonare le finzioni e porre fine alla fuga in avanti nella strategia di allargamento. La capacità di integrazione è definita molto bene dai tre elementi che figurano al paragrafo 8 della relazione Brok. A nostro parere, la priorità deve essere data ai progetti politici, non solo alle Istituzioni. Respingiamo l’idea che l’allargamento comporti lo smantellamento delle politiche comuni. E’ vero che la capacità di integrazione, correttamente definita dall’onorevole Stubb, non costituisce un criterio di adesione ma una condizione per procedere all’adesione. Per il momento, riteniamo, come l’onorevole Stubb, che un ulteriore allargamento non possa avere luogo senza nuovi meccanismi di decisione, senza nuove risorse e senza una nuova rappresentanza dell’Unione. Questa è la conclusione che traiamo ora dall’infelice confronto tra l’adesione all’Unione dei 12 nuovi Stati membri, che è un successo, e il Trattato di Nizza, che è del tutto inadeguato. Dobbiamo ragionare con la stessa lucidità sulla Turchia. Il Consiglio “Affari generali” ha preso atto delle conseguenze della situazione di Cipro, che ovviamente è intollerabile, ma non si tratta solo di una nuova mistificazione diplomatica? La sospensione rischia di essere inefficace e ininfluente sull’atteggiamento della Turchia. La nostra posizione deve essere riaffermata; l’Unione non ha la propensione per integrare la Turchia, deve invece instaurare un partenariato privilegiato con quel paese, di importanza cruciale per l’Europa. Smettiamola di fingere: è una questione di interesse sia per la Turchia sia per l’Unione europea. L’allargamento non è un fine di per sé, è un mezzo per costruire il progetto politico dell’Europa."@it12

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