Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2006-11-15-Speech-3-036"

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"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l’heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C’est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d’équilibre: l’équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C’est une perspective majeure de croissance et d’emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l’intérêt public. Ce compromis, j’en témoigne, puisque j’ai vécu son élaboration depuis l’été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l’accord qui s’est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C’est pourquoi, je voudrais remercier d’abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j’ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l’affaire de bout en bout et a eu l’amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène McCarthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s’adressent au Commissaire McCreevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J’ai en revanche entendu tout à l’heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l’ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu’elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c’est au contraire de prendre nos responsabilités. C’est pourquoi, les Français de l’UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l’essentiel."@fr8,8
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"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@cs1
"Hr. formand, mine damer og herrer! Jeg vil ved denne lejlighed bruge mit indlæg på en kort evaluering og til at sige tak. Parlamentet har gjort fælles sag med henblik på at udarbejde dette direktiv om det indre marked for tjenesteydelser. Det bærer dets stempel. Det er en sejr for Parlamentet, en sejr over europæisk tværhed, en sejr over faste idéer, en sejr for den europæiske model, som frem for alt drejer sig om ligevægt, nemlig ligevægten mellem de nødvendige reformer og opretholdelsen af det som samler os. Direktivet åbner faktisk for det indre marked for tjenesteydelser og gør det obligatorisk for medlemsstaterne at afskaffe hindringer for fri levering af tjenesteydelser. Dette er en stor mulighed med hensyn til vækst og beskæftigelse til alle. Samtidig bevarer man med direktivet gældende fællesskabslovgivning, tillader ikke krænkelse af sociale rettigheder, udelukker liberalisering af offentlige tjenesteydelser og tager hensyn til den almene interesse. Jeg kan bevidne, at dette kompromis, hvis udvikling jeg har fulgt siden sommeren 2004, er opnået på baggrund af forslagene fra min politiske gruppe og enighed opnået i gruppen mellem nationale og ideologiske holdninger, som fra begyndelsen var forskellige. Udtalelsen fra József Szájer for lidt siden bekræfter dette. Dette direktiv er baseret på dialog, som er selve substansen i vores parlamentariske liv. Derfor vil jeg begynde med at takke ikke blot vores førende drivkraft, Malcolm Harbour, men også Marianne Thyssen, som jeg arbejdede tæt sammen med, Othmar Karas, Jozsef Szájer, Malgorzata Handzlik og Evelyne Gebhardt, som forvaltede sagen fra start til slut, og som var så venlig at inddrage mig, det uerfarne parlamentsmedlem, samt Arlène McCarthy og Philippe Whiterhead, som jeg bestemt ikke ønsker at glemme. Uden for Parlamentet går min tak til kommissær McCreevy, som har holdt sine løfter til Parlamentet lige fra begyndelsen, og også til hr. Bartenstein, som har spillet en afgørende rolle. Jeg har dog alligevel hørt nogle utrolige bemærkninger for lidt siden, men det er bedre at lade det være, som det er. Den fælles holdning udgør 95 % af teksten. Hr. formand! Ville vi virkelig udøve vores magt, hvis vi indledte en forligsprocedure, som vi ved ville føre til, at vi ikke får et direktiv? Parlamentets rolle og vores ret er tværtimod at påtage os vores ansvar. Derfor stemmer de franske medlemmer af UMP for den fælles holdning ved at vælge det væsentlige."@da2
"Herr Präsident! Meine Damen und Herren! In meinem Beitrag möchte ich diesmal kurz Bilanz ziehen und einige Dinge würdigen. Das Europäische Parlament hat seine Kräfte gebündelt und die Richtlinie über den Binnenmarkt für Dienstleistungen verfasst, die nun sein Markenzeichen trägt. Dies ist ein Sieg für das Europäische Parlament, ein Sieg über die europäische Flaute, ein Sieg über vorgefertigte Ideen, ein Sieg des auf einem Gleichgewicht beruhenden europäischen Modells – dem Gleichgewicht zwischen notwendigen Reformen und der Wahrung des Besitzstandes, der uns eint. Die Richtlinie eröffnet tatsächlich den Binnenmarkt für Dienstleistungen und zwingt die Staaten, die Schranken für den freien Dienstleistungsverkehr zu beseitigen. Dies ist eine bedeutende Perspektive für Wachstum und Beschäftigung für alle. Zugleich bewahrt sie die bestehenden gemeinschaftlichen Rechtsvorschriften, lässt keinerlei Verletzungen von sozialen Rechten zu, schließt die Liberalisierung der öffentlichen Dienstleistungen aus und berücksichtigt das öffentliche Interesse. Dieser Kompromiss – über den ich Zeugnis ablegen kann, denn ich habe seine Erarbeitung seit Sommer 2004 miterlebt –, hat seinen Ursprung in den Vorschlägen meiner Fraktion sowie in der dort zwischen den ursprünglich voneinander abweichenden nationalen und ideologischen Positionen erzielten Einigung. Die von József Szájer abgegebene Erklärung zeugt davon. Diese Richtlinie ist aus dem Dialog heraus entstanden, der ja das Wesen unseres parlamentarischen Lebens ausmacht. Daher möchte ich zunächst unserem hauptverantwortlichen Diskussionsleiter, Malcolm Harbour, aber auch Marianne Thyssen danken, mit der ich Hand in Hand gearbeitet habe, Othmar Karas, Jozsef Szájer und Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, die die Angelegenheit von Anfang bis Ende im Griff hatte und die Liebenwürdigkeit besaß, den jungen Abgeordneten, der ich bin, einzubeziehen, sowie Arlène Mac Carthy und Philippe Whiterhead, die ich auf keinen Fall vergessen will. Außerhalb unseres Parlaments richtet sich mein Dank an Kommissionsmitglied McCreevy, der von Anfang an seine Versprechen gegenüber dem Parlament gehalten hat, und auch an Herrn Bartenstein, der eine entscheidende Rolle gespielt hat. Hingegen habe ich soeben unglaublich Worte vernommen. Meine Damen und Herren, das Bessere ist der Feind des Guten. Der gemeinsame Standpunkt umfasst 95 % unseres Textes. Herr Präsident, nehmen wir wirklich unsere Befugnisse wahr, wenn wir ein Vermittlungsverfahren eingehen, von dem wir wissen, dass dann keine Richtlinie zustande kommt? Die Rolle des Parlaments, unser Recht, besteht im Gegenteil darin, Verantwortung zu übernehmen. Daher werden die Franzosen der UMP für den gemeinsamen Standpunkt stimmen und dabei auswählen, was wirklich wesentlich ist."@de9
"Κύριε Πρόεδρε, κυρίες και κύριοι, η ομιλία μου, σε αυτήν την περίσταση, θα αφιερωθεί σε μια σύντομη αξιολόγηση και σε μερικές ευχαριστίες. Το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο έχει ενώσει τις δυνάμεις του με σκοπό τη σύνταξη της οδηγίας που αφορά τις υπηρεσίες στην εσωτερική αγορά. Φέρει τη σφραγίδα του. Είναι μια νίκη για το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο, μια νίκη επί της ευρωπαϊκής δυσθυμίας, μια νίκη επί των εμμονών, μια νίκη για το ευρωπαϊκό μοντέλο, που χαρακτηρίζεται από ισορροπία: η ισορροπία μεταξύ των αναγκαίων μεταρρυθμίσεων και της προστασίας του κεκτημένου που μας ενώνει. Η οδηγία ανοίγει πραγματικά την εσωτερική αγορά στις υπηρεσίες και καθιστά υποχρεωτική για τα κράτη μέλη την άρση οιωνδήποτε εμποδίων στην ελεύθερη παροχή υπηρεσιών. Αυτή είναι μια σημαντική προοπτική όσον αφορά την ανάπτυξη και την απασχόληση για όλους. Ταυτόχρονα, η οδηγία διαφυλάσσει την υφιστάμενη κοινοτική νομοθεσία, δεν επιτρέπει την παραβίαση των κοινωνικών δικαιωμάτων, αποκλείει την ελευθέρωση των δημόσιων υπηρεσιών και λαμβάνει υπόψη το δημόσιο συμφέρον. Αυτός ο συμβιβασμός όπως μπορώ να βεβαιώσω, στον βαθμό που έχω παρακολουθήσει την εξέλιξή του από το θέρος του 2004 απορρέει από τις προτάσεις που κατέθεσε η πολιτική ομάδα μου και από τις συμφωνίες που συνήφθησαν εντός της ομάδας μεταξύ αυτών που, στην αρχή, ήταν διαφοροποιούμενες εθνικές και ιδεολογικές θέσεις. Η δήλωση που έκανε μόλις τώρα ο κ. Szájer το μαρτυρεί. Αυτή η οδηγία πηγάζει από τον διάλογο, ο οποίος είναι η ίδια η ουσία του κοινοβουλευτικού βίου μας. Αυτός είναι ο λόγος για τον οποίο θα ήθελα να αρχίσω ευχαριστώντας όχι μόνον τον βασικό μας εμψυχωτή, τον κ. Harbour, αλλά επίσης την κ. Thyssen, με την οποία συνεργάστηκα αρμονικά, τον κ. Karas, τον κ. Szájer και την κ. Handzlik, την κ. Gebhardt, η οποία ήλεγχε το θέμα από την αρχή έως το τέλος και η οποία είχε την καλοσύνη, παρότι είμαι άπειρος βουλευτής του ΕΚ, να λάβει υπόψη τις παρατηρήσεις μου, καθώς και την κ. McCarthy και τον κ. Whitehead, τους οποίους δεν θα ήθελα βεβαίως να παραλείψω. Εκτός του Κοινοβουλίου, πολλές ευχαριστίες στον κ. McCreevy, ο οποίος από την αρχή εκπλήρωσε τις υποσχέσεις του προς το Κοινοβούλιο, καθώς και στον κ. Bartenstein του οποίου ο ρόλος υπήρξε αποφασιστικός. Άκουσα, ωστόσο, ορισμένες απίστευτες παρατηρήσεις που διατυπώθηκαν μόλις τώρα. Κυρίες και κύριοι, βεβαίως πέρα από το καλό θα υπάρχει το καλύτερο. Η κοινή θέση όμως αντιπροσωπεύει το 95% του κειμένου μας. Κύριε Πρόεδρε, θα ασκούσαμε όντως την εξουσία μας αν εισερχόμαστε σε διαδικασία συνδιαλλαγής, η οποία γνωρίζουμε ότι θα είχε ως αποτέλεσμα να μην έχουμε οδηγία; Αντίθετα, ο ρόλος του Κοινοβουλίου, το δικαίωμά μας, είναι να αναλαμβάνουμε τις ευθύνες μας. Αυτός είναι ο λόγος για τον οποίο οι γάλλοι βουλευτές μέλη της «Ένωσης για ένα Λαϊκό Κίνημα» θα ψηφίσουν υπέρ της κοινής θέσης, επιλέγοντας αυτό που είναι πραγματικά σημαντικό."@el10
"Mr President, ladies and gentlemen, my speech will, on this occasion, be devoted to a short assessment and a few tributes. The European Parliament has joined forces in order to draw up the directive on the internal market in services. It bears its hallmark. This is a victory for the European Parliament, a victory over European moroseness, a victory over fixed ideas, a victory for the European model, which is all about balance: the balance between necessary reforms and the preservation of the that bring us together. The directive actually opens up the internal market in services and makes it compulsory for the Member States to do away with any obstacles to the free provision of services. This is a major prospect in terms of growth and employment for all. At the same time, the directive preserves existing Community laws, does not permit any breach of social rights, rules out the liberalisation of public services and takes account of the public interest. This compromise – as I can testify, insofar as I have followed its development since summer 2004 – stems from the proposals made by my political group and from the agreements concluded within the group between what, at the outset, were differing national and ideological positions. The statement that Mr Szájer made just now testifies to this. This directive has its origins in dialogue, which is the very substance of our parliamentary life. That is why I should like to begin by thanking not only our principal overseer, Mr Harbour, but also Mrs Thyssen, with whom I worked hand in hand, Mr Karas, Mr Szájer and Mrs Handzlik, Mrs Gebhardt, who has mastered the matter from start to finish and who has been so kind as to take me, the inexperienced MEP that I am, into consideration, and Mrs McCarthy and Mr Whitehead, whom I should certainly not like to forget. Outside Parliament, my thanks go to Mr McCreevy, who has fulfilled his promises to Parliament since the start, and also to Mr Bartenstein, who has played a decisive role. I did nonetheless hear some incredible remarks made just now. Ladies and gentlemen, it is better to let well alone. The common position represents 95% of our text. Mr President, would we really be exercising our power if we entered into a conciliation procedure, which we know will result in our having no directive? The role of Parliament, our right, is, on the contrary, to shoulder our responsibilities. That is why the French members of the UMP are going to vote in favour of the common position, by choosing what is truly important."@en4
"Señor Presidente, Señorías, mi intervención, en esta ocasión, estará dedicada a hacer una breve evaluación y a rendir algunos homenajes. El Parlamento Europeo ha unidos sus fuerzas para elaborar la Directiva sobre el mercado interior de los servicios. Esta Directiva lleva su marca. Es una victoria del Parlamento Europeo, una victoria sobre la morosidad europea, una victoria sobre las ideas fijas, una victoria del modelo europeo, que está basado en el equilibrio: el equilibrio entre las reformas necesarias y la preservación de los logros que nos unen. La Directiva abre realmente el mercado interior de los servicios y obliga a los Estados a eliminar todos los obstáculos a la libre prestación de servicios. Abre una importante perspectiva de crecimiento y empleo para todos. Al mismo tiempo, la Directiva preserva las normativas comunitarias vigentes, no permite ningún quebranto de los derechos sociales, excluye la liberalización de los servicios públicos y tiene en cuenta el interés público. Este compromiso –lo puedo atestiguar, puesto que he seguido su desarrollo desde el verano de 2004– tiene su origen en las propuestas formuladas por mi Grupo político y en el acuerdo alcanzado en su seno entre lo que al comienzo eran posiciones nacionales e ideológicas divergentes. La declaración que acaba de hacer el señor Szájer así lo atestigua. Esta Directiva tiene su origen en el diálogo, que es la esencia misma de nuestra vida parlamentaria. Por esta razón, quisiera dar las gracias en primer lugar no solo a nuestro principal supervisor, el señor Harbour, sino también a la señora Thyssen, con quien he trabajado mano a mano, el señor Karas, el señor Szájer y la señora Handzlik, la señora Gebhardt, quien ha dominado el asunto de principio a fin y ha tenido la amabilidad de prestar oído al diputado inexperto que soy, así como a la señora McCarthy y al señor Whitehead, a quien sin duda no quisiera olvidar. Fuera del Parlamento quiero expresar mi agradecimiento al Comisario McCreevy, que ha cumplido sus promesas al Parlamento desde el comienzo, y también al señor Bartenstein, que ha desempeñado un papel decisivo. Sin embargo, he oído algunos comentarios increíbles hace un momento. Señorías, lo mejor es enemigo de lo bueno. La Posición Común representa el 95 % de nuestro texto. Señor Presidente, ¿ejerceremos realmente nuestro poder abriendo un procedimiento de conciliación, que sabemos acabará en que nos quedemos sin directiva? El papel del Parlamento y nuestro derecho es, por el contrario, asumir nuestras responsabilidades. Por ello, los diputados franceses de la UMP votaremos a favor de la posición común, optando por lo que es realmente importante."@es20
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@et5
"Arvoisa puhemies, hyvät kollegat, esitän tässä puheessani lyhyen arvion ja joitakin kiitoksen sanoja. Euroopan parlamentti on tehnyt yhteistyötä laatiakseen palvelujen sisämarkkinoita koskevan direktiivin, ja parlamentin käden jälki näkyy direktiivissä. Tämä on Euroopan parlamentin voitto Euroopan unionissa vallitsevasta synkkämielisyydestä ja ennakkoluuloisuudesta. Tämä on eurooppalaisen mallin voitto. Tässä mallissa on kyse tasapainosta: tarvittavien uudistusten toteuttamisen ja meitä yhdistävän yhteisön säännöstön voimassa pitämisen välisestä tasapainosta. Tällä direktiivillä todellakin avataan palvelujen sisämarkkinat ja velvoitetaan jäsenvaltiot poistamaan palvelujen vapaan tarjoamisen esteet. Tämä on suuri mahdollisuus kasvua ja kaikkien työllistymistä ajatellen. Nykyiset yhteisön säädökset pysyvät edelleen voimassa. Palveludirektiivissä ei myöskään sallita minkäänlaisia sosiaalisten oikeuksien loukkauksia, sen nojalla ei vapauteta julkisia palveluja ja siinä otetaan huomioon yleinen etu. Olen seurannut tämän kompromissin kehittymistä kesästä 2004 lähtien, joten voin todistaa, että se perustuu oman poliittisen ryhmäni tekemiin ehdotuksiin ja ryhmäni sisällä alun perin eriävien kansallisten ja ideologisten kantojen välillä tehtyihin sopimuksiin. Jäsen Szájerin äskeiset toteamukset todistavat tämän. Palveludirektiivi perustuu vuoropuheluun, joka on parlamentaarisen toimintamme lähtökohta. Haluan siksi ensin kiittää työnjohtajaamme Malcolm Harbouria, mutta myös Marianne Thysseniä, jonka kanssa olen tehnyt tiivistä yhteistyötä, Othmar Karasia, Jozsef Szájeria ja Malgorzata Handzlikia sekä Evelyne Gebhardtia, joka on ohjannut asian käsittelyä alusta loppuun ja joka on ystävällisesti ottanut minut, kokemattoman parlamentin jäsenen huomioon. Kiitän myös Arlène McCarthya ja Phillip Whiteheadia, joita en tietenkään halua unohtaa. Parlamentin ulkopuolisista henkilöistä haluan kiittää komission jäsentä McCreevyä, joka on alusta alkaen pitänyt parlamentille antamansa lupaukset, ja ministeri Bartensteinia, jolla on ollut ratkaiseva rooli. Kuulin äsken kuitenkin joitakin uskomattomia huomautuksia. Hyvät kollegat, hyvää ei kannata yrittää enää parantaa. Yhteiseen kantaan on sisällytetty 95 prosenttia tekstistämme. Arvoisa puhemies, käyttäisimmekö todella toimivaltaamme, jos aloittaisimme sovittelumenettelyn, jonka lopputuloksena meillä ei olisi mitään direktiiviä, kuten hyvin tiedämme? Parlamentin tehtävä, meidän oikeutemme on päinvastoin kantaa vastuuta. UMP-puolueeseen kuuluvat ranskalaiset jäsenet aikovat siksi valita sen, mikä on todella tärkeää, ja äänestää yhteisen kannan puolesta."@fi7
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@hu11
"Signor Presidente, onorevoli colleghi, questa volta nel mio intervento formulerò un breve bilancio e alcuni omaggi. Il Parlamento europeo ha fatto fronte comune per elaborare la direttiva sul mercato interno dei servizi, che reca il suo marchio. Questa è una vittoria del Parlamento europeo, una vittoria sulla morosità europea, una vittoria sui pregiudizi, una vittoria del modello europeo, che è tutta una questione di equilibrio: l’equilibrio tra le necessarie riforme e la preservazione dell’ che ci lega. In realtà la direttiva apre il mercato interno dei servizi e obbliga gli Stati membri a eliminare eventuali ostacoli alla libera prestazione di servizi. Si tratta di una prospettiva molto importante in termini di crescita e occupazione per tutti. Al tempo stesso, la direttiva preserva le normative comunitarie esistenti, non permette alcuna violazione dei diritti sociali, esclude la liberalizzazione dei servizi pubblici e tiene conto dell’interesse pubblico. Questo compromesso – e lo posso testimoniare perché ne ho seguito lo sviluppo sin dall’estate del 2004 – scaturisce dalle proposte avanzate dal mio gruppo politico e dagli accordi conclusi in seno al gruppo tra quelle che, all’inizio, erano posizioni nazionali e ideologiche divergenti. La dichiarazione formulata poc’anzi dall’onorevole Szájer ne è una dimostrazione. Questa direttiva trae origine dal dialogo, che è l’essenza stessa della nostra vita parlamentare. Per questo vorrei innanzi tutto ringraziare non solo il nostro principale supervisore, l’onorevole Harbour, ma anche l’onorevole Thyssen, con cui ho lavorato a fianco a fianco, l’onorevole Karas, l’onorevole Szájer e l’onorevole Handzlik, l’onorevole Gebhardt, che ha gestito la questione dall’inizio alla fine e che è stata così gentile da tenere in considerazione un europarlamentare inesperto come me, nonché l’onorevole McCarthy e l’onorevole Whitehead, che non intendo certo dimenticare. Al di fuori del Parlamento, i miei ringraziamenti vanno al Commissario McCreevy, che ha tenuto fede fin dall’inizio alle promesse fatte al Parlamento, e anche al Ministro Bartenstein, che ha svolto un ruolo decisivo. Ho appena sentito, però, alcune incredibili osservazioni. Onorevoli colleghi, il meglio è nemico del bene. La posizione comune rappresenta il 95 per cento del nostro testo. Signor Presidente, eserciteremmo davvero il nostro potere se avviassimo una procedura di conciliazione, ben sapendo che porterebbe all’assenza di qualsivoglia direttiva? Come Parlamento abbiamo invece il dovere, ovvero il diritto, di assumerci le nostre responsabilità. Per questo i deputati francesi dell’UMP voteranno a favore della posizione comune, scegliendo ciò che è davvero importante."@it12
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@lt14
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@lv13
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@mt15
"Mijnheer de Voorzitter, beste collega’s, ik zal deze toespraak gebruiken om een summiere balans op te maken en een aantal mensen hulde te brengen. Het Europees Parlement heeft nijver gewerkt aan de richtlijn over de interne dienstenmarkt. Het heeft zijn stempel daarop weten te drukken. Dat is een overwinning voor het Europees Parlement, een overwinning op de euroscepsis, een overwinning op de vooroordelen, een overwinning van het Europees model die het resultaat is van evenwichtigheid: evenwicht tussen de noodzakelijke hervormingen en het behoud van de verworvenheden die ons binden. De richtlijn maakt daadwerkelijk de weg vrij voor de interne dienstenmarkt en verplicht de lidstaten de belemmeringen voor het vrij verrichten van diensten weg te nemen. Dat biedt zeer goede vooruitzichten op groei en werkgelegenheid voor iedereen. Tegelijkertijd handhaaft de richtlijn de bestaande communautaire wetgeving, staat hij pal voor de sociale rechten, sluit hij de liberalisering van de openbare diensten uit en houdt hij rekening met het algemeen belang. Dit compromis, en ik kan het weten omdat ik zijn hele ontstaansgeschiedenis vanaf de zomer van 2004 heb meegemaakt, vindt zijn oorsprong in de voorstellen van mijn fractie en de verzoening die in die fractie is bereikt tussen nationale en ideologische standpunten, die aanvankelijk nogal uiteenliepen. De verklaring die József Szájer zojuist heeft afgelegd, getuigt hiervan. Deze richtlijn is ontsproten uit de dialoog, het wezen zelf van ons parlementaire bestaan. Daarom zou ik in de eerste plaats onze voornaamste bezielende kracht, Malcolm Harbour, willen bedanken, maar ook Marianne Thyssen, met wie ik zeer nauw heb samengewerkt, Othmar Karas, József Szájer en Małgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, die van het begin tot het eind grip heeft gehouden op deze materie en zo vriendelijk is geweest rekening te houden met het feit dat ik nog maar zo kort lid van het Parlement ben, alsook Arlene McCarthy en Phillip Whitehead, die ik vooral niet wil vergeten. Wat de niet-leden betreft gaat mijn dank uit naar commissaris McCreevy, die zijn beloften aan het Parlement vanaf het begin is nagekomen, en ook de heer Bartenstein, die een doorslaggevende rol heeft gespeeld. Ik heb zojuist echter ook ongelooflijke woorden gehoord. Geachte collega’s, het betere is de vijand van het goede. In het gemeenschappelijk standpunt komt 95 procent van onze tekst terug. Mijnheer de Voorzitter, zouden wij onze bevoegdheid nou echt uitoefenen als we een bemiddelingsprocedure in gang zouden zetten, die, zo weten we, ertoe zou leiden dat er helemaal geen richtlijn zou komen? De rol van het Parlement, ons recht, is juist om onze verantwoordelijkheid te nemen. Daarom gaan de Fransen van de UMP voor het gemeenschappelijk standpunt stemmen, omdat wij voor de hoofdlijnen kiezen."@nl3
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@pl16
"Senhor Presidente, Senhoras e Senhores Deputados, a minha intervenção será, nesta ocasião, consagrada a um curto balanço e algumas homenagens. O Parlamento Europeu congregou forças para elaborar a directiva relativa ao mercado interno dos serviços. A directiva tem a sua marca. É uma vitória do Parlamento Europeu, uma vitória sobre a morosidade europeia, uma vitória sobre as ideias pré-concebidas, uma vitória do modelo europeu que é feito de equilíbrio: o equilíbrio entre as reformas necessárias e a preservação dos acervos que nos unem. A directiva abre efectivamente o mercado interno dos serviços e obriga os Estados-Membros a suprimirem os obstáculos à livre prestação de serviços. É uma perspectiva importante em termos de crescimento e de emprego para todos. Ao mesmo tempo, a directiva preserva as legislações comunitárias existentes, não permite qualquer atentado aos direitos sociais, exclui a liberalização dos serviços públicos e toma em consideração o interesse público. Este compromisso – posso testemunhá-lo, posto que acompanhei o seu desenvolvimento desde o Verão de 2004 – tem a sua origem nas propostas feitas pelo meu grupo político e no acordo concluído no seu seio entre aquilo que, à partida, eram posições nacionais e ideológicas divergentes. A declaração que o senhor deputado Szájer acaba de fazer é disso testemunho. Esta directiva nasceu do diálogo, que é a própria substância da nossa vida parlamentar. É por isso que gostaria de começar por agradecer ao nosso principal supervisor, senhor deputado Harbour, mas também à senhora deputada Thyssen, com quem trabalhei lado a lado, aos senhores deputados Karas e Szájer, à senhora deputada Handzlik e à senhora deputada Gebhardt, que dominou a questão do princípio ao fim e teve a amabilidade de tomar em consideração o pouco experiente parlamentar que eu sou, bem como à senhora deputada McCarthy e ao senhor deputado Whitehead, que não gostaria de modo algum de deixar esquecido. Fora deste Parlamento, os meus agradecimentos vão para o Comissário McCreevy, que desde o início cumpriu as suas promessas para com o Parlamento, e também ao Senhor Ministro Bartenstein, que desempenhou um papel decisivo. Em contrapartida, ouvi há pouco algumas declarações inacreditáveis. Senhoras e Senhores Deputados, o óptimo é inimigo do bom. A posição comum representa 95% do nosso texto. Senhor Presidente, será que estaríamos realmente a exercer o nosso poder iniciando um processo de conciliação, sobre o qual sabemos que iria resultar numa ausência de directiva? O papel do Parlamento, o nosso direito, pelo contrário, é o de assumir as nossas responsabilidades. É por isso que os deputados franceses da UMP vão votar a favor da posição comum, escolhendo o que realmente é importante."@pt17
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@sk18
"Monsieur le Président, mes chers collègues, mon intervention sera, pour l'heure, consacrée à un court bilan et à quelques hommages. Le Parlement européen a écrit de nos mains croisées la directive sur le marché intérieur des services. Elle porte sa marque. C'est une victoire du Parlement européen, une victoire sur la morosité européenne, une victoire sur les idées toutes faites, une victoire du modèle européen qui est fait d'équilibre: l'équilibre entre les réformes nécessaires et la préservation les acquis qui nous rassemblent. La directive ouvre effectivement le marché intérieur des services et oblige les États à supprimer les obstacles à la libre prestation de services. C'est une perspective majeure de croissance et d'emploi pour tous. En même temps, elle préserve les législations communautaires existantes, ne permet aucune atteinte aux droits sociaux, exclut la libéralisation des services publics et prend en compte l'intérêt public. Ce compromis, j'en témoigne, puisque j'ai vécu son élaboration depuis l'été 2004, trouve son origine dans les propositions de mon groupe politique et dans l'accord qui s'est conclu en son sein entre des positions nationales et idéologiques, au départ divergentes. La déclaration que vient de faire József Szájer en témoigne. Cette directive est née du dialogue, qui est la substance même de notre vie parlementaire. C'est pourquoi, je voudrais remercier d'abord notre animateur en chef, Malcolm Harbour, mais aussi Marianne Thyssen avec qui j'ai travaillé main dans la main, Othmar Karas, Jozsef Szájer et Malgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, qui a maîtrisé l'affaire de bout en bout et a eu l'amabilité de prendre en considération le jeune parlementaire que je suis ainsi que Arlène Mac Carthy et Philippe Whiterhead, que je ne voudrais surtout pas oublier. En dehors de ce Parlement, mes remerciements s'adressent au Commissaire Mac Creevy, qui a depuis le début tenu ses engagements envers le Parlement, et aussi à M. Bartenstein qui a joué un rôle décisif. J'ai en revanche entendu tout à l'heure des propos incroyables. Mes chers collègues, le mieux est l'ennemi du bien. La position commune représente 95% de notre texte. Monsieur le Président, est-ce que nous exercerions vraiment notre pouvoir en engageant une conciliation, dont nous savons qu'elle aboutira à une absence de directive? Le rôle du Parlement, notre droit, c'est au contraire de prendre nos responsabilités. C'est pourquoi, les Français de l'UMP vont voter en faveur de la position commune, en choisissant l'essentiel."@sl19
"Herr talman, mina damer och herrar! Mitt anförande kommer nu att ägnas åt en kort utvärdering och några hyllningar. Europaparlamentet har gått samman för att utarbeta direktivet om den inre marknaden för tjänster. Det bär dess kännetecken. Detta är en seger för Europaparlamentet, en seger över europeiskt grubblande, en seger över fixa idéer och en seger för den europeiska modellen, som helt och hållet handlar om balans – balansen mellan nödvändiga reformer och bevarandet av det regelverk som för oss samman. Direktivet öppnar faktiskt den inre marknaden för tjänster och gör det obligatoriskt för medlemsstaterna att undanröja alla hinder för det fria tillhandahållandet av tjänster. Detta är en betydelsefull förutsättning för tillväxt och sysselsättning för alla. Samtidigt innebär direktivet att man bevarar befintlig gemenskapslagstiftning, inte tillåter brott mot sociala rättigheter, utesluter liberalisering av offentliga tjänster och tar hänsyn till allmänintresset. Eftersom jag har följt utvecklingen av denna kompromiss sedan sommaren 2004, kan jag intyga att den härstammar från de förslag som gjordes av min politiska grupp och från de överenskommelser som nåddes inom gruppen mellan vad som ursprungligen var åtskilda nationella och ideologiska positioner. Detta intygades genom det uttalande som József Szájer precis gjorde. Detta direktiv har sitt ursprung i den dialog som är själva kärnan i vårt parlamentariska liv. Detta är anledningen till att jag vill inleda med att tacka inte bara vår främste uppsyningsman, Malcolm Harbour, utan också Marianne Thyssen, som jag hade ett nära samarbete med. Jag vill också tacka Othmar Karas, József Szájer, Małgorzata Handzlik, Evelyne Gebhardt, som har bemästrat frågan från början till slut och som har varit så vänlig att ta mig i beaktande, fastän jag är relativt oerfaren som parlamentsledamot, och Arlene McCarthy och Phillip Whitehead, som jag verkligen inte skulle vilja glömma. Utanför parlamentet vill jag tacka Charlie McCreevy, som har uppfyllt sina löften till parlamentet från första början, och även Martin Bartenstein, som har spelat en avgörande roll. Icke desto mindre hörde jag precis några otroliga kommentarer. Mina damer och herrar, man ska inte väcka den björn som sover. Den gemensamma ståndpunkten representerar 95 procent av vår text. Skulle vi verkligen utöva vårt inflytande om vi gick in i ett medlingsförfarande som vi vet skulle leda till att vi inte får något direktiv alls? Parlamentets roll, vår rättighet, är tvärtom att axla vårt ansvar. Därför kommer de franska ledamöterna i UMP att rösta för den gemensamma ståndpunkten, genom att välja det som verkligen är viktigt."@sv21
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"Jacques Toubon (PPE-DE ). –"5,19,15,1,18,14,16,11,13

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