Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2006-10-24-Speech-2-085"

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". - Monsieur le Président, permettez-moi tout d’abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu’il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l’accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j’ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d’abord, concernant l’aspect transversal du programme, force est de constater que l’accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s’opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l’action culturelle de l’Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d’un côté et les moyens proposés de l’autre. J’en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d’ailleurs été signalée à l’instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l’Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n’est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu’il contribue à l’essor d’une culture et d’une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l’Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l’Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d’une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d’ailleurs Aristide Briand, à défaut d’avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s’agit donc maintenant d’agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu’une décision soit prise."@fr8
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"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@cs1
"Hr. formand! Jeg vil allerførst gerne have lov til at takke ordføreren, hr. Graça Moura, for hans arbejde med et så vigtigt emne som programmet Kultur 2007 og især for den aftale, han er nået frem til på vegne af Europa-Parlamentet. Jeg vil gerne kort vende tilbage til de tre punkter, jeg har forsvaret for De Europæiske Socialdemokraters Gruppe i Kultur- og Uddannelsesudvalget. For det første kan man med hensyn til programmets tværgående aspekt konstatere, at den indgåede aftale går i den rigtige retning. Ingen må gå imod styrkelsen af programmets kohærens, som vil gøre det muligt at sætte en stopper for den opdeling, der så længe har været kendetegnende for EU's kulturelle aktioner. Der er imidlertid de gode intentioner på den ene side og de foreslåede midler på den anden side. Det bringer mig frem til mit andet punkt, budgetspørgsmålet, som ordføreren og også kommissæren i øvrigt nævnte for et øjeblik siden. Jeg kan blive ved med at gentage mig selv, så længe det er nødvendigt. Det nytter ikke noget, at EU sætter sig ambitiøse mål som f.eks. fremme af den kulturelle mangfoldighed og det kulturelle samarbejde, hvis ikke det til rådighed stillede budget stemmer overens hermed og er højere end 15 eurocent pr. borger om året. Vi havde anmodet om en væsentlig stigning i budgettet til dette program, så det kunne være med til at sætte gang i en europæisk kultur og identitet, som ville gøre det muligt at komme ud af den nationale egoisme og dermed den krise, Unionen nu har befundet sig i det sidste halvandet år. Vi må konstatere, at de finansielle overslag 2007-2013, som lægger Fællesskabets udgifter fast på 1 % af EU's BNP, hverken giver os mulighed for at nå de opstillede mål via dette program eller at give kulturen den rolle, vi ønsker at tildele den i opbygningen af et stærkere og mere solidarisk Europa. Følgelig kan vi ikke tillade os endnu en gang at straffe dette program ved at forsinke dets ikrafttræden. Som Aristide Briand i øvrigt sagde, skal vi have politikken til vores midler, hvis ikke vi har midlerne til vores politik. Det gælder således om at handle hurtigt nu for at få indført programmet hurtigst muligt, så vi ikke straffer de lokale kulturelle organisationer, som lever af denne støtte, og som i flere måneder har ventet på, at der skulle blive truffet en afgørelse."@da2
"Herr Präsident! Gestatten Sie mir zunächst, den Berichterstatter, Herrn Graça Moura, zu seiner Arbeit an einem so wichtigen Thema wie dem Programm Kultur 2007 und vor allem zu der Einigung, die er im Namen des Europäischen Parlaments erzielt hat, zu beglückwünschen. Ich möchte kurz noch einmal auf die drei Punkte zurückkommen, für die ich mich im Namen der PSE-Fraktion im Kulturausschuss eingesetzt habe. Was erstens den bereichsübergreifenden Aspekt des Programms betrifft, so ist festzustellen, dass die erzielte Einigung in die richtige Richtung geht: Niemand kann etwas gegen die Stärkung der Kohärenz des Programms haben, das es ermöglichen wird, der Zersplitterung ein Ende zu setzen, die so lange für die kulturelle Tätigkeit der Europäischen Union typisch war. Allerdings sind die Absichten eine Sache und die vorgeschlagenen Mittel eine andere. Damit komme ich zu meinem zweiten Punkt, der Frage des Budgets, die übrigens gerade vom Berichterstatter und auch von dem Herrn Kommissar angesprochen wurde. Ich sage dies und werde es so lange wie notwendig wiederholen: Es nützt der Europäischen Union nichts, ambitionierte Ziele festzulegen, wie die Förderung der kulturellen Vielfalt und Zusammenarbeit, wenn die verfügbaren Haushaltsmittel dem nicht entsprechen und nicht mehr als 15 Cent pro Bürger im Jahr betragen. Wir hatten eine substanzielle Anhebung des Budgets für dieses Programm gefordert, damit es zum Aufschwung einer europäischen Kultur und Identität beitragen kann, der es ermöglicht, den nationalen Egoismus und damit die Krise, die die Union seit nunmehr anderthalb Jahren durchläuft, zu überwinden. Es ist festzustellen, dass die Finanzielle Vorausschau 2007-2013, die die Gemeinschaftsausgaben auf 1 % des BIP der Europäischen Union festschreibt, es uns nicht ermöglichen wird, die Ziele, die wir uns in diesem Programm gesteckt haben, oder die Rolle, die wir der Kultur bei der Errichtung eines stärkeren und solidarischeren Europas zuweisen wollen, zu erreichen. Wir können es uns daher nicht erlauben, dieses Programm ein zweites Mal hintanzustellen, indem wir seine Umsetzung hinauszögern. Wie Aristide Briand sagte, müssen wir, wenn wir nicht die Mittel für unsere Politik besitzen, die Politik nach unseren Mitteln ausrichten! Es gilt jetzt, rasch zu handeln, damit dieses Programm zügig umgesetzt werden kann, um nicht die kulturellen Organisationen vor Ort in Schwierigkeiten zu bringen, die auf diese Finanzmittel angewiesen sind und seit mehreren Monaten auf eine Entscheidung warten."@de9
". Κύριε Πρόεδρε, επιτρέψτε μου καταρχάς να ευχαριστήσω τον εισηγητή, κ. Graça Moura, για το έργο που επιτέλεσε σχετικά με το θεμελιώδες θέμα του προγράμματος Πολιτισμός 2007 και, κυρίως, για τη συμφωνία που πέτυχε εξ ονόματος του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου. Θα επανέλθω στις τρεις θέσεις που υποστήριξα στην Επιτροπή Πολιτισμού και Παιδείας εξ ονόματος της Σοσιαλιστικής Ομάδας στο Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο. Πρώτον, όσον αφορά την εγκάρσια πτυχή του προγράμματος, πρέπει να σημειωθεί ότι η επιτευχθείσα συμφωνία κινείται προς τη σωστή κατεύθυνση: ουδείς μπορεί να έχει αντιρρήσεις για την αύξηση της συνοχής του προγράμματος, η οποία θα προσφέρει τη δυνατότητα να τεθεί τέρμα στον κατακερματισμό ο οποίος χαρακτηρίζει επί μακρόν τις πολιτιστικές δραστηριότητες της Ευρωπαϊκής Ένωσης. Ωστόσο, άλλο πράγμα οι προθέσεις και εντελώς διαφορετικό οι προτεινόμενοι πόροι. Έρχομαι τώρα στο δεύτερο σημείο, στο θέμα του προϋπολογισμού, το οποίο αναφέρθηκε μόλις τώρα από τον εισηγητή καθώς και από τον Επίτροπο. Το λέγω, και θα το επαναλαμβάνω όσο συχνά χρειάζεται: δεν έχει νόημα να θέτουμε φιλόδοξους στόχους στην Ευρωπαϊκή Ένωση, όπως η προαγωγή της πολιτιστικής πολυμορφίας και της συνεργασίας, αν ο προϋπολογισμός δεν ανταποκρίνεται στους στόχους αυτούς, καθώς δεν υπερβαίνει τα 15 λεπτά ανά πολίτη ετησίως. Ζητήσαμε τη σημαντική αύξηση του προϋπολογισμού που διατίθεται στο πρόγραμμα, έτσι ώστε να μπορεί να διαδραματίσει ρόλο στην ανάδειξη ενός ευρωπαϊκού πολιτισμού και ταυτότητας, η οποία να μας οδηγήσει πέρα από την εθνική ιδιοτέλεια, και κατά συνέπεια να υπερβούμε την κρίση την οποία διέρχεται η Ένωση επί ενάμισι έτος. Πρέπει να ειπωθεί ότι οι δημοσιονομικές προοπτικές για την περίοδο 2007-2013, που σταθεροποιούν τις δαπάνες της Κοινότητας στο 1% του ΑΕγχΠ της Ευρωπαϊκής Ένωσης, δεν θα μας επιτρέψουν να πετύχουμε τους στόχους που έχουμε θέσει στο πρόγραμμα αυτό ή να δώσουμε στον πολιτισμό τον ρόλο που προτιθέμεθα να του δώσουμε στην οικοδόμηση μιας ισχυρότερης Ευρώπης με μεγαλύτερη αλληλεγγύη. Κατά συνέπεια, δεν μπορούμε να επιτρέψουμε να τιμωρηθεί αυτό το πρόγραμμα για δεύτερη φορά καθυστερώντας την εφαρμογή του. Όπως έλεγε και ο Aristide Briand, αν δεν μπορούμε να έχουμε τα μέσα για την άσκηση της πολιτικής μας, πρέπει να ασκούμε την πολιτική που αντιστοιχεί στα μέσα μας. Επιβάλλεται, συνεπώς, να δράσουμε γρήγορα για να εφαρμόσουμε σύντομα το πρόγραμμα αυτό, έτσι ώστε να μην θέσουμε σε μειονεκτική θέση τους δραστηριοποιούμενους πολιτιστικούς οργανισμούς, οι οποίοι υπολογίζουν σε αυτή τη χρηματοδότηση και περιμένουν επί μήνες τη λήψη απόφασης."@el10
". Mr President, allow me to start by congratulating the rapporteur, Mr Graça Moura, on the work he has done on the fundamental topic of the Culture 2007 programme and, in particular, on the agreement he has reached on behalf of the European Parliament. I would like briefly to go over the three points that I championed for the Socialist Group in the European Parliament within the Committee on Culture and Education. Firstly, with regard to the transversal aspect of the programme, it must be noted that the agreement reached goes in the right direction: nobody can object to increasing the coherence of the programme, which will make it possible to put a stop to the fragmentation that for a long time has characterised the European Union's cultural activities. However, intentions are one thing, and the resources proposed are quite another. I now come to my second point, the issue of the budget, which was also mentioned just now by the rapporteur and by the Commissioner, too. I would say this, and I will keep saying it for as long as necessary: there is no point in the European Union setting ambitious objectives such as promoting cultural diversity and cooperation if the available budget is not up to it, being no more than 15 cents per citizen per year. We have called for a substantial increase in the budget allocated to the programme, so that it can play a part in the rise of a European culture and identity, which will enable us to move beyond national self-interest, and hence to escape from the crisis from which the Union has been suffering for a year and a half now. It has to be said that the 2007-2013 financial perspective, stabilising Community expenditure at 1% of the European Union's GDP, will not allow us to achieve the objectives we have set ourselves in this programme or to give culture the role we intend for it in the building of a stronger Europe with greater solidarity. Therefore, we cannot allow ourselves to punish this programme for a second time by delaying its implementation. As Aristide Briand said, if we cannot have the means for our policy, we must have the policy for our means. We therefore need to act quickly to implement this programme soon, so that we do not disadvantage the cultural organisations on the ground, which rely on this funding and which have been waiting for months for a decision to be taken."@en4
". Señor Presidente, permítame en primer lugar felicitar al ponente, el señor Graça Moura, por el trabajo que ha realizado sobre un tema tan fundamental como el programa Cultura 2007 y, sobre todo, por el acuerdo al que ha llegado en nombre del Parlamento Europeo. Quisiera abordar rápidamente los tres puntos que defendí en nombre del Grupo Socialista en el Parlamento Europeo en la Comisión de Cultura y Educación. En primer lugar, por lo que respecta al aspecto transversal del programa, por fuerza hemos de constatar que el acuerdo alcanzado apunta en la dirección correcta. En efecto, nadie debe oponerse a la mejora de la coherencia del programa, que permitirá poner fin a la fragmentación que durante tanto tiempo ha caracterizado la acción cultural de la Unión Europea. No obstante, una cosa son las intenciones y otra los recursos propuestos. Paso ahora al segundo punto, la cuestión del presupuesto, que por lo demás ha señalado hace un momento el ponente y también el Comisario. Lo digo y lo repetiré tantas veces como sean necesarias: de nada sirve a la Unión Europea fijar unos objetivos ambiciosos, como la promoción de la diversidad y de la cooperación cultural, si el presupuesto disponible no es suficiente y no supera los quince céntimos por ciudadano y año. Habíamos pedido un aumento sustancial del presupuesto concedido a este programa para que contribuyera al desarrollo de una cultura y una identidad europeas, que nos permitieran salir de los egoísmos nacionales y de la crisis que atraviesa la Unión desde hace ahora un año y medio. Hay que decir que las perspectivas financieras 2007-2013, que fijan los gastos comunitarios en el 1 % del PIB de la Unión Europea, no nos permitirán alcanzar los objetivos que nos fijamos con este programa, ni siquiera el papel que queremos dar a la cultura en la construcción de una Europa más fuerte y más solidaria. Por tanto, no podemos permitirnos castigar este programa por segunda vez retrasando su aplicación. Como decía Aristide Briand, si no tenemos los medios de nuestra política, debemos tener la política de nuestros medios. Se trata, pues, de actuar rápidamente para que este programa se aplique pronto, a fin de no penalizar a las organizaciones culturales sobre el terreno, que viven de estas financiaciones y esperan desde hace varios meses que se tome una decisión."@es20
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@et5
". Arvoisa puhemies, saanen aloittaa kiittämällä esittelijä Graça Mouraa työstä, jota hän on tehnyt Kulttuuri 2007 -ohjelman kaltaisen perustavan aiheen parissa, ja erityisesti sopimuksesta, jonka hän on neuvotellut Euroopan parlamentin puolesta. Haluaisin tarkastella lyhyesti niitä kolmea näkökohtaa, joita puolustin Euroopan parlamentin sosialidemokraattisen ryhmän puolesta kulttuuri- ja koulutusvaliokunnassa. Ensinnäkin ohjelman laaja-alaisuuden osalta on syytä huomata, että aikaansaatu sopimus on oikeansuuntainen. Kukaan ei näet voi vastustaa ohjelman yhtenäisyyden lisäämistä, minkä ansiosta on mahdollista panna piste hajanaisuudelle, joka on pitkään ollut tunnusomaista Euroopan unionin kulttuuritoimille. Aikomukset ovat kuitenkin kokonaan toinen asia kuin ehdotetut määrärahat. Tästä pääsenkin toiseen kysymykseen, nimittäin talousarvioon, jonka esittelijä ja komission jäsenkin äsken myös mainitsivat. Sanoisin yhden asian, jota toistan niin kauan kuin se on tarpeen. Euroopan unionissa on hyödytöntä asettaa kulttuurisen monimuotoisuuden ja kulttuuriyhteistyön edistämisen kaltaisia kunnianhimoisia tavoitteita, jos näitä tavoitteita ei ole mahdollista saavuttaa käytettävissä olevalla talousarviolla, joka vastaa vain 15:ttä senttiä kansalaista kohti vuosittain. Olemme vaatineet Kulttuuri-ohjelmalle osoitetun talousarvion huomattavaa korottamista, jotta ohjelmalla voidaan omalta osaltaan edistää eurooppalaisen kulttuurin ja identiteetin nousua, minkä ansiosta voimme kohota kansallisen itsekkyyden yläpuolelle ja siten selvitä kriisistä, josta EU on kärsinyt nyt jo puolitoista vuotta. On todettava, että vuosien 2007–2013 rahoitusnäkymät, joissa yhteisön menot vakautetaan 1 prosenttiin Euroopan unionin BKT:stä, eivät anna mahdollisuutta saavuttaa tavoitteita, jotka olemme asettaneet itsellemme tässä ohjelmassa. Rahoitusnäkymien takia myöskään kulttuurille ei voida antaa sitä roolia, jota kaavailemme sille vahvemman ja solidaarisemman Euroopan unionin rakentamisessa. Emme voi siten sallia, että tämän ohjelman asemaa heikennetään jo toisen kerran viivyttämällä sen täytäntöönpanoa. Kuten Aristide Briand sanoi, jos emme voi saada keinoja politiikkaamme varten, meidän on saatava politiikka keinojamme varten. Meidän on siten toimittava nopeasti pannaksemme tämän ohjelman pikaisesti täytäntöön, jotta emme saata epäedulliseen asemaan kentällä toimivia kulttuuriorganisaatioita, jotka ovat riippuvaisia kyseisestä rahoituksesta ja ovat odottaneet päätöksen tekemistä kuukausia."@fi7
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@hu11
". Signor Presidente, mi consenta innanzi tutto di congratularmi con il relatore, onorevole Graça Moura, per il lavoro che ha svolto su un tema fondamentale come quello del programma Cultura 2007 e soprattutto per l’accordo al quale è pervenuto a nome del Parlamento europeo. Vorrei tornare rapidamente sui tre punti che ho sostenuto per il gruppo socialista al Parlamento europeo in seno alla commissione per la cultura e l’istruzione. Innanzi tutto, per quanto riguarda l’aspetto trasversale del programma, occorre osservare che l’accordo concluso va nella giusta direzione. Nessuno può infatti opporsi al rafforzamento della coerenza del programma, che permetterà di porre fine alla frammentazione che ha caratterizzato così a lungo le attività culturali dell’Unione europea. Tuttavia, le intenzioni sono una cosa e le risorse proposte un’altra. Passo ora alla mia seconda osservazione, la questione del bilancio, che è stata anche segnalata poco fa sia dal relatore sia dal Commissario. Lo dico e lo ripeterò fino a che sarà necessario: non serve a nulla che l’Unione europea fissi obiettivi ambiziosi, quali la promozione della diversità e della cooperazione in ambito culturale, se il bilancio disponibile non è adeguato, visto che non supera l’importo di 15 centesimi per cittadino all’anno. Abbiamo chiesto un aumento sostanziale del bilancio stanziato per questo programma, affinché possa contribuire allo sviluppo di una cultura e di un’identità europee, che ci consentirebbero di superare gli egoismi nazionali e di uscire così dalla crisi che in cui versa l’Unione ormai da un anno e mezzo. Occorre ricordare che le prospettive finanziarie 2007-2013, che stabilizzano le spese comunitarie all’1 per cento del PIL dell’Unione europea, non ci consentiranno di realizzare gli obiettivi che ci siamo prefissati con questo programma, e nemmeno di attribuire alla cultura il ruolo che intendiamo darle nella costruzione di un’Europa più forte e più solidale. Pertanto, non ci possiamo permettere di punire questo programma una seconda volta, ritardandone l’applicazione. Come diceva Aristide Briand, se non possiamo avere i mezzi per la nostra politica, dobbiamo avere la politica per i nostri mezzi! Dobbiamo pertanto agire rapidamente perché questo programma sia attuato al più presto, per non penalizzare le organizzazioni culturali sul campo, che dipendono da questi finanziamenti ed attendevano ormai da mesi che fosse presa una decisione."@it12
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@lt14
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@lv13
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@mt15
". Mijnheer de Voorzitter, om te beginnen wil ik de rapporteur, de heer Graça Moura, gelukwensen met het werk dat hij heeft verzet ten aanzien van het zeer belangrijke programma Cultuur 2007, en vooral met de overeenstemming die hij heeft bereikt namens het Europees Parlement. Ik wil de drie punten die ik binnen de Commissie cultuur en onderwijs heb verdedigd voor de Sociaal-democratische Fractie in het Europees Parlement kort de revue laten passeren. Allereerst moeten we ten aanzien van het transversale aspect van het programma constateren dat de bereikte overeenstemming in de goede richting gaat: niemand kan bezwaar maken tegen de versterking van de coherentie van het programma, waardoor een einde komt aan de versnippering die lange tijd kenmerkend is geweest voor de culturele activiteiten van de Europese Unie. Intenties zijn echter één ding, de voorgestelde middelen zijn iets heel anders. Ik kom nu bij het tweede punt, het budget, dat zojuist ook is genoemd door de rapporteur en de commissaris. Ik zeg en ik blijf zo lang als nodig zeggen dat de Europese Unie er niet bij gebaat is om ambitieuze doelstellingen vast te stellen, bijvoorbeeld de bevordering van de culturele verscheidenheid en samenwerking, wanneer het beschikbare budget niet voldoende is omdat het niet meer dan vijftien eurocent per burger per jaar bedraagt. Wij hadden gevraagd om een substantiële verhoging van het budget voor dit programma opdat het een bijdrage kan leveren aan de bloei van een Europese cultuur en identiteit, waardoor we het nationale eigenbelang kunnen laten varen en uit de crisis kunnen geraken waarin de Unie zich sinds anderhalf jaar bevindt. Ik wil erop wijzen dat wij met de financiële vooruitzichten voor 2007-2013, die de communautaire uitgaven stabiel houden op 1 procent van het bbp van de Europese Unie, de doelstellingen die wij ons hebben gesteld in dit programma, niet kunnen bereiken of aan de cultuur niet die rol kunnen geven die wij voor haar in gedachten hebben bij de opbouw van een sterker Europa met meer solidariteit. Daarom kunnen wij het ons niet veroorloven dit programma een tweede keer af te keuren en de invoering ervan uit te stellen. Zoals Aristide Briand al zei, moeten wij bij gebrek aan middelen voor ons beleid een beleid voeren dat past bij onze middelen. We moeten derhalve snel handelen en dit programma op korte termijn ten uitvoer leggen, zodat we de culturele organisaties in het veld niet benadelen, die rekenen op deze middelen en die reeds maanden op een beslissing zitten te wachten."@nl3
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@pl16
"Senhor Presidente, permita-me que, antes de mais, felicite o relator, o senhor deputado Graça Moura, pelo trabalho que realizou sobre um assunto tão fundamental como é o programa Cultura 2007 e, sobretudo, pelo acordo a que chegou, em nome do Parlamento Europeu. Gostaria de abordar resumidamente três pontos que, em nome do Grupo PSE, defendi na Comissão para a Cultura e a Educação. Em primeiro lugar, relativamente ao aspecto transversal do programa, cumpre fazer notar que o acordo alcançado vai no bom sentido: ninguém pode objectar ao aumento da coerência do programa, aumento que irá permitir pôr fim à fragmentação que durante muito tempo caracterizou as actividades culturais da União Europeia. As intenções, porém, são uma coisa, e os recursos propostos são outra, muito diferente. Chego agora ao meu segundo ponto: a questão do orçamento que, aliás, ainda agora foi mencionada pelo relator, bem como pelo Senhor Comissário. Digo, e hei-de repetir tantas vezes quantas forem necessárias: não faz sentido a União Europeia estabelecer objectivos ambiciosos, como a promoção da diversidade e cooperação culturais, se o orçamento disponível não estiver à altura desses objectivos, não indo além de quinze cêntimos por cidadão e por ano. Exigimos um aumento substancial do orçamento atribuído a este programa, de molde a permitir-lhe desempenhar um papel no desenvolvimento de uma cultura e de uma identidade cultural europeias, que nos permitam ir além dos interesses nacionais de cada país e, desse modo, escapar à crise que a União Europeia atravessa há ano e meio. Cumpre dizer que as perspectivas financeiras para 2007-2013, que fixam as despesas comunitárias em 1% do PIB da União Europeia, não irão permitir-nos alcançar os objectivos que nos estabelecemos através deste programa, nem atribuir à cultura o papel que lhe destinamos na construção de uma Europa mais forte e mais solidária. Não podemos, portanto, permitir-nos punir este programa pela segunda vez, adiando a sua implementação. Como dizia Aristide Briand: se não podemos ter os recursos para a nossa política, temos de ter uma política para os nossos recursos! Logo, temos de agir com rapidez e de implementar brevemente este programa, de molde a não prejudicarmos as organizações culturais no terreno, que confiam neste financiamento e que há vários meses aguardam que se tome uma decisão."@pt17
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@sk18
"Monsieur le Président, permettez-moi tout d'abord de féliciter le rapporteur, M. Graça Moura, pour le travail qu'il a réalisé sur un sujet aussi fondamental que le programme Culture 2007 et surtout pour l'accord auquel il est parvenu, au nom du Parlement européen. Je voudrais revenir rapidement sur les trois points que j'ai défendus pour le groupe PSE au sein de la commission de la culture. Tout d'abord, concernant l'aspect transversal du programme, force est de constater que l'accord obtenu va dans la bonne direction. Personne, en effet, ne doit s'opposer au renforcement de la cohérence du programme, lequel permettra de mettre fin au morcellement qui a si longtemps caractérisé l'action culturelle de l'Union européenne. Toutefois, il y a les intentions d'un côté et les moyens proposés de l'autre. J'en viens donc à mon deuxième point, la question du budget, qui a d'ailleurs été signalée à l'instant même par le rapporteur et également par M. le commissaire. Je le dis et je le répéterai aussi longtemps que nécessaire: rien ne sert pour l'Union européenne de fixer des objectifs ambitieux, telle la promotion de la diversité et de la coopération culturelles, si le budget disponible n'est pas adapté et ne dépasse pas quinze centimes par citoyen et par an. Nous avions demandé une augmentation substantielle du budget alloué à ce programme pour qu'il contribue à l'essor d'une culture et d'une identité européennes, lesquelles permettraient de sortir des égoïsmes nationaux et ainsi de la crise que traverse l'Union depuis maintenant un an et demi. Force est de constater que les perspectives financières 2007-2013 qui stabilisent les dépenses communautaires à 1% du PIB de l'Union européenne ne nous permettront pas de parvenir aux objectifs que nous nous sommes fixés à travers ce programme, ni même au rôle que nous entendons donner à la culture dans la construction d'une Europe plus forte et plus solidaire. Dès lors, nous ne pouvons nous permettre de sanctionner ce programme une seconde fois en retardant son application. Comme le disait d'ailleurs Aristide Briand, à défaut d'avoir les moyens de notre politique, nous devons avoir la politique de nos moyens! Il s'agit donc maintenant d'agir vite pour que ce programme soit mis en œuvre rapidement, afin de ne pas pénaliser les organisations culturelles sur le terrain, qui vivent de ces financements et attendaient depuis plusieurs mois qu'une décision soit prise."@sl19
". Herr talman! Jag vill börja med att gratulera föredraganden Vasco Graça Moura till det arbete han har utfört när det gäller den grundläggande frågan i programmet Kultur 2007, och i synnerhet när det gäller den överenskommelse som han nått för Europaparlamentets räkning. Jag skulle kortfattat vilja gå igenom de tre punkter som jag kämpat för på socialdemokratiska gruppen i Europaparlamentets vägnar inom utskottet för kultur och utbildning. Först och främst måste man, med tanke på den övergripande aspekten av programmet, notera att den överenskommelse som nåtts går i rätt riktning: ingen kan motsätta sig en ökad samstämmighet i programmet, vilket kommer göra det möjligt att sätta stopp för den splittring som under lång tid har karakteriserat Europeiska unionens kulturella verksamhet. Men avsikterna är en sak, och de resurser som föreslagits är en helt annan. Jag kommer nu till min andra punkt, nämligen budgetfrågan, som också nämnts nyss av föredraganden och även av kommissionsledamoten. Jag vill säga följande, och jag kommer att fortsätta säga det så länge som det är nödvändigt: det är meningslöst att Europeiska unionen sätter upp ambitiösa mål, såsom att främja kulturell mångfald och kulturellt samarbete, om den tillgängliga budgeten inte matchar dessa mål, utan inte uppgår till mer än 15 cent per medborgare och år. Vi har krävt en avsevärd ökning av den budget som anslagits till programmet, så att det kan bidra till en uppkomst av en europeisk kultur och identitet som tillåter oss att gå bortom det nationella egenintresset och därmed ta oss ur den kris som unionen nu har lidit av under ett och ett halvt år. Det måste påpekas att budgetramen för 2007–2013, där gemenskapsutgifterna stabiliseras till 1 procent av Europeiska unionens BNP, inte kommer att göra det möjligt för oss att nå de mål som vi har satt upp i detta program, eller ge kulturen den roll vi tänkt i byggandet av ett starkare Europa med större solidaritet. Därför kan vi inte tillåta oss att straffa detta program en andra gång genom att dess genomförande försenas. Som Aristide Briand sa, om vi inte har resurser till vår politik måste vi ha en politik för våra resurser. Därför måste vi agera snabbt och genomföra detta program snart, så att vi inte försätter kulturorganisationerna på ort och ställe i ett ofördelaktigt läge, eftersom dessa är beroende av detta ekonomiska stöd och har väntat i månader på ett beslut."@sv21
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"Guy Bono,"5,19,15,1,18,14,16,11,13,8
"au nom du groupe PSE"5,19,15,1,18,14,16,11,13,8

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