Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2006-10-24-Speech-2-031"

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". - Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d’un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd’hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d’un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n’oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l’excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d’être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l’Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l’honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l’origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d’éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s’agirait d’un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d’augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L’industrie médicale n’est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d’étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d’assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C’est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@fr8
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"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@cs1
"Fru formand, hr. kommissær, mine damer og herrer! Vi er nu igen samlet i plenum for at drøfte et problem, der vedrører både folkesundheden og livet for kvinderne og familierne i vores valgkredse, nemlig brystkræft. Allerede i 2003 stillede Udvalget om Kvinders Rettigheder og Ligestilling Kommissionen et spørgsmål om dette emne. Hr. kommissær, dengang var det Deres forgænger, fru Diamantopoulou, der tog de første skridt til at efterkomme Parlamentets anmodninger. I dag beder vi Dem gøre rede for de gjorte fremskridt. Udvalget om Kvinders Rettigheder og Ligestilling vil have sænket dødeligheden hos kvinder med brystkræft, forbedre deres livskvalitet, oplyse kvinder og foreninger, men også deres nærmeste om risikoen for og behandlingen af brystkræft. Under denne debat bør vi endvidere tage mændenes rolle i betragtning. Ægtefæller, familiefædre og deres børn berøres ligeledes af disse specifikke kvindesygdomme. Og jeg tænker også på de mange forældre, hvis piger er ramt af denne sygdom, og som støtter dem. I Udvalget om Kvinders Rettigheder og Ligestilling arbejder vi med sygdommens forskellige aspekter med henblik på en dag at se et Europa uden brystkræft. Jeg glæder mig over den store interesse, dette spørgsmål vækker i Udvalget om Kvinders Rettigheder og Ligestilling, og jeg vil gerne takke mine kolleger for vores fremragende samarbejde - det fortjener virkelig at blive fremhævet. Brystkræft er et folkesundhedsanliggende, som har betydning for alle kvinder i EU. Hvert andet minut stilles der en brystkræftdiagnose. Hvert sjette minut dør en kvinde af brystkræft. Denne sygdom er hverken race-, religions- eller kulturbestemt. Vi skal være ærlige og uden undtagelse anerkende alle årsager til brystkræft. Det ville være hensigtsmæssigt at sammenligne tallene for sygdommens vækst i medlemsstaterne for at nå frem til en afgørende strategi. Alle kvinder skal have uhindret adgang til diagnosticering og behandling af høj kvalitet på et tidligt stadium, uafhængigt af deres oprindelse, sociale status og uddannelsesniveau. Det ville redde flere tusinde liv. Der er tale om et eksempel på reelt positiv forskelsbehandling. Det er blevet vigtigt at gøre den enkelte kvinde bevidst om sygdomsrisikoen og øge de ressourcer, der afsættes til forebyggelse af og screening for brystkræft i medlemsstaterne. De ved ligesom jeg af erfaring, at det medicinske udstyr er for dyrt for de regionale hospitaler i de nye medlemsstater. Medicinalindustrien er ikke klar til at gøre en indsats på det finansielle plan. Den har for travlt med at skaffe sig indtægter. Jeg beder Dem alligevel undersøge muligheden for at finansiere forebyggelsen af brystkræft via strukturfondene seriøst. Politikernes, lægernes og videnskabsmændenes anstrengelser for at udvikle et synerginetværk i samtlige medlemsstater kunne være med til at sikre lige adgang til screening og sundhedspleje. Det er udelukkende dette tætte samarbejde, der kan gøre det muligt at bekæmpe brystkræft på tværs af ideologiske kløfter og personlige stridigheder."@da2
"Frau Präsidentin, Herr Kommissar, werte Kolleginnen und Kollegen! Wieder einmal sind wir zu einer Plenartagung zusammengekommen, um über ein Problem zu beraten, das sowohl die öffentliche Gesundheitspolitik als auch das Leben der Frauen und der Familien in unseren Wahlkreisen betrifft: das Thema Brustkrebs. Bereits im Jahr 2003 hatte der Ausschuss für die Rechte der Frau und die Gleichstellung der Geschlechter eine Anfrage zu diesem Thema an die Europäische Kommission gerichtet. Ihre Vorgängerin, Herr Kommissar, Frau Diamantopoulou, leitete die ersten Schritte ein, um den Forderungen des Europäischen Parlaments nachzukommen. Heute bitten wir Sie, uns über die erzielten Fortschritte zu berichten. Die Reduzierung der Sterblichkeitsrate der an Brustkrebs erkrankten Frauen, die Verbesserung ihrer Lebensqualität, die Information der Frauen und ihrer Verbände, aber auch ihrer Angehörigen über das Risiko und die Behandlung von Brustkrebs – das sind die Anliegen des Ausschusses für die Rechte der Frau und die Gleichstellung der Geschlechter. In dieser Debatte sollten wir auch auf die Rolle der Männer eingehen. Die Ehemänner, die Familienväter und ihre Kinder sind ebenfalls von diesen Krankheiten betroffen, die speziell Frauenkrankheiten sind. Ich vergesse auch nicht die zahlreichen Eltern, deren Töchter an der Krankheit leiden und die ihnen Unterstützung gewähren. Im Ausschuss für die Rechte der Frau und die Gleichstellung der Geschlechter befassen wir uns mit den verschiedenen Aspekten der Krankheit, um eines Tages ein brustkrebsfreies Europa zu erleben. Ich freue mich darüber, auf welch großes Interesse diese Frage innerhalb des Ausschusses stößt, und beglückwünsche meine Kolleginnen und Kollegen zu der ausgezeichneten Zusammenarbeit, die wirklich Würdigung verdient. Der Brustkrebs ist ein Problem der öffentlichen Gesundheit, das alle Frauen in der Europäischen Union angeht. Alle zwei Minuten wird ein Brustkrebs diagnostiziert. Alle sechs Minuten stirbt eine Frau daran. Diese Krankheit kennt keinen Unterschied nach Rasse, Religion oder Kultur. Wir müssen ausnahmslos alle Gründe offen anerkennen, die zu Brustkrebs führen. Es wäre nützlich, die Zuwachsraten in den Mitgliedstaaten zu verfolgen, um zu einer schlüssigen Strategie zu gelangen. Alle Frauen müssen problemlos Zugang zu Diagnosemöglichkeiten und Behandlungen von hoher Qualität in einem frühen Stadium haben, unabhängig von ihrer Herkunft, ihrem Sozialstatus oder ihrem Bildungsniveau. Auf diese Weise könnten Tausende von Leben gerettet werden. Dies wäre ein Beispiel für wirklich positive Diskriminierung. Es kommt jetzt darauf an, alle Frauen für dieses Krankheitsrisiko zu sensibilisieren und die Mittel für Prävention und Früherkennung von Brustkrebs in den Mitgliedstaaten zu erhöhen. Meine Herren Kommissare, Sie wissen wie ich aus Erfahrung, dass die medizinischen Ausrüstungen für die Regionalkrankenhäuser in den neuen Mitgliedstaaten zu teuer sind. Die medizintechnische Industrie ist nicht bereit, finanzielle Zugeständnisse zu machen, sie ist zu sehr auf Profit bedacht. Ich bitte Sie trotzdem, ernsthaft die Möglichkeit einer Finanzierung der Brustkrebsprävention aus den Strukturfonds zu prüfen. Die Anstrengungen der Politiker, Ärzte und Wissenschaftler für die Entwicklung des Kooperationsnetzes in allen Mitgliedstaaten könnten es ermöglichen, einen gleichberechtigten Zugang zu Früherkennung und zu Behandlung zu gewährleisten. Nur dank einer solchen engen Zusammenarbeit wird es gelingen, den Brustkrebs über alle ideologischen Unterschiede und persönlichen Rivalitäten hinweg zu bekämpfen."@de9
". Κυρία Πρόεδρε, κύριε Επίτροπε, κυρίες και κύριοι, ακόμη μια φορά έχουμε συγκεντρωθεί στην Ολομέλεια για να συζητήσουμε ένα θέμα το οποίο αφορά τόσο τη δημόσια υγεία όσο και τη ζωή γυναικών και οικογενειών στις εκλογικές μας περιφέρειες: τον καρκίνο του μαστού. Το 2003, η Επιτροπή Δικαιωμάτων των Γυναικών και Ισότητας των Φύλων είχε καταθέσει ερώτηση για το θέμα αυτό στην Ευρωπαϊκή Επιτροπή. Τότε, κύριε Επίτροπε, η κ. Διαμαντοπούλου, η προκάτοχός σας, έκανε τα πρώτα βήματα για να ανταποκριθεί στα αιτήματα του Κοινοβουλίου. Σήμερα, σας ζητούμε να αναγνωρίσετε την πρόοδο που έχει σημειωθεί. Την Επιτροπή Δικαιωμάτων των Γυναικών και Ισότητας των Φύλων απασχολούν θέματα όπως η μείωση των ποσοστών θνησιμότητας μεταξύ των γυναικών που προσβάλλονται από καρκίνο του μαστού, η βελτίωση της ποιότητας ζωής τους, και η παροχή στις γυναίκες και στους συλλόγους τους, αλλά επίσης και στο στενό οικογενειακό περιβάλλον τους, ενημέρωσης για τους κινδύνους και τη θεραπεία του καρκίνου του μαστού. Σε αυτή τη συζήτηση, πρέπει επίσης να λάβουμε υπόψη τον ρόλο των ανδρών. Οι σύζυγοι, οι πατέρες και τα παιδιά τους επηρεάζονται επίσης από αυτές τις ειδικά γυναικείες νόσους. Αναφέρομαι επίσης στους πολλούς γονείς οι κόρες των οποίων προσβάλλονται από τον καρκίνο του μαστού και οι οποίοι τις στηρίζουν. Στους κόλπους της Επιτροπής Δικαιωμάτων των Γυναικών και Ισότητας των Φύλων, εργαζόμαστε σχετικά με τις διάφορες πτυχές της νόσου με σκοπό να μπορέσουμε κάποτε να δούμε μια Ευρώπη απαλλαγμένη από τον καρκίνο του μαστού. Ενθαρρύνομαι από το μεγάλο ενδιαφέρον που έχει επιδείξει η επιτροπή για το θέμα. Θέλω να ευχαριστήσω τους συναδέλφους μου για την εξαιρετική συνεργασία τους, η οποία πραγματικά αξίζει να αναγνωριστεί. Ο καρκίνος του μαστού είναι θέμα δημόσιας υγείας το οποίο είναι σημαντικό για όλες τις γυναίκες της Ευρωπαϊκής Ένωσης. Κάθε δύο λεπτά, κάποια γυναίκα διαγιγνώσκεται ότι πάσχει από καρκίνο του μαστού. Κάθε έξι λεπτά, μια γυναίκα πεθαίνει από τη νόσο αυτή. Η νόσος αυτή δεν κάνει διακρίσεις όσον αφορά τη φυλή, τη θρησκεία ή τον πολιτισμό. Οφείλουμε να έχουμε την εντιμότητα να αναγνωρίζουμε όλες τις αιτίες του καρκίνου του μαστού, χωρίς εξαίρεση. Θα ήταν χρήσιμο να συγκρίνουμε τα επίπεδα αύξησης σε όλα τα κράτη μέλη, με σκοπό να καταλήξουμε σε μια οριστική στρατηγική. Όλες οι γυναίκες πρέπει να έχουν ευχέρεια πρόσβασης στα διαγνωστικά μέσα και σε θεραπεία ποιότητας στα πρώιμα στάδια, ανεξάρτητα από την καταγωγή, την κοινωνική θέση ή το μορφωτικό επίπεδό τους. Έτσι, θα μπορέσουν να σωθούν χιλιάδες ζωές. Αυτό θα ήταν ένα παράδειγμα αληθινά θετικής διακριτικής μεταχείρισης. Αυτό που έχει τώρα κρίσιμη σημασία είναι να ευαισθητοποιήσουμε κάθε γυναίκα για τον κίνδυνο της ασθένειας, και να αυξήσουμε τους πόρους που διατίθενται για την πρόληψη του καρκίνου του μαστού και για τη διενέργεια προληπτικού ελέγχου στα κράτη μέλη. Κύριοι Επίτροποι, όπως και εγώ, γνωρίζετε εκ πείρας ότι ο ιατρικός εξοπλισμός είναι πάρα πολύ ακριβός για τα περιφερειακά νοσοκομεία στα νέα κράτη μέλη. Η ιατρική βιομηχανία δεν είναι διατεθειμένη να καταβάλει προσπάθειες στον οικονομικό τομέα· αυτό που κυρίως την ενδιαφέρει είναι το κέρδος. Ωστόσο, θα σας ζητήσω να εξετάσετε σοβαρά τη δυνατότητα χρηματοδότησης της πρόληψης του καρκίνου του μαστού μέσω των διαρθρωτικών ταμείων. Οι προσπάθειες των πολιτικών, των ιατρών και των επιστημόνων για την ανάπτυξη δικτύου συνεργασίας σε όλα τα κράτη μέλη θα μπορούσαν να μας δώσουν τη δυνατότητα να διασφαλίσουμε ίση πρόσβαση στα μέσα προληπτικού ελέγχου και ιατροφαρμακευτικής περίθαλψης. Μόνο μέσω αυτής της στενής συνεργασίας μπορεί η καταπολέμηση του καρκίνου του μαστού να υπερβεί τους ιδεολογικούς διχασμούς και τις προσωπικές αντιπαλότητες."@el10
". Madam President, Commissioner, ladies and gentlemen, we are once again gathered in plenary to debate an issue which affects both public health and the lives of women and families in our constituencies: breast cancer. Already in 2003, the Committee on Women’s Rights and Gender Equality had asked a question on this subject to the European Commission. Commissioner, at the time it was your predecessor, Mrs Diamantopoulou, who took the first steps to respond to Parliament’s requests. Today, we ask you to recognise the progress that has been made. The Committee on Women’s Rights and Gender Equality is concerned with reducing mortality rates among women affected by breast cancer, improving their quality of life, and providing women and their associations, but also their close families, with information on the risks and treatment of breast cancer. In this debate, we should also take account of the role of men. Husbands, fathers and their children are also affected by these specifically women’s diseases. I also remember the many parents whose daughters are affected by the disease and who provide them with support. Within the Committee on Women’s Rights and Gender Equality, we are working on the various aspects of the disease in order that one day we might see a Europe free from breast cancer. I am encouraged by the great interest that the committee has shown in this issue. I would like to thank my colleagues for their excellent collaboration, which really deserves to be acknowledged. Breast cancer is a public health issue that is important for all women in the European Union. Every two minutes, someone is diagnosed with breast cancer. Every six minutes, a woman dies from it. This disease makes no distinction on grounds of race, religion or culture. We must have the honesty to recognise all the causes of breast cancer, without exception. It would be useful to compare the levels of increase across the Member States, in order to come to a conclusive strategy. All women ought to have easy access to the means of diagnosis and to quality treatment in the early stages, independently of their origin, social status or level of education. In this way, thousands of lives could be saved. This would be an example of truly positive discrimination. It is now crucial to make every woman aware of the risk of the disease, and to increase the resources allocated to breast cancer prevention and screening in the Member States. Commissioners, like me, you know from experience that the medical equipment is too expensive for regional hospitals in the new Member States. The medical industry is not prepared to make an effort in terms of finances; it is too concerned with making profits. All the same, I ask you to examine seriously the possibility of funding breast cancer prevention through the Structural Funds. The efforts of politicians, doctors and scientists in developing the network of cooperation in all the Member States could enable us to ensure equal access to the means of screening and health care. Only through this close collaboration can the fight against breast cancer transcend ideological divides and personal rivalries."@en4
". Señora Presidenta, señor Comisario, Señorías, henos aquí de nuevo reunidos en sesión plenaria para debatir un problema que afecta tanto a la salud pública como a la vida de las mujeres y las familias de nuestras circunscripciones: el cáncer de mama. La Comisión de Derechos de la Mujer e Igualdad de Género ya había formulado una pregunta sobre este mismo tema a la Comisión Europea en 2003. Señor Comisario, fue su predecesora, la señora Diamantopoulou, quien emprendió entonces las primeras gestiones para responder a las peticiones del Parlamento Europeo. Hoy le pedimos que reconozca los progresos realizados. La Comisión de Derechos de la Mujer e Igualdad de Género pretende reducir la tasa de mortalidad de las mujeres afectadas por cáncer de mama, mejorar su calidad de vida, facilitar a las mujeres y sus asociaciones, pero también a sus familiares cercanos, información sobre el riesgo y el tratamiento del cáncer de mama. En este debate deberíamos tener en cuenta también el papel de los hombres. Los maridos, los padres de familia y los hijos también se ven afectados por las enfermedades específicamente femeninas. No hay que olvidar tampoco los muchos padres cuyas hijas sufren la enfermedad y que les aportan su apoyo. En la Comisión de Derechos de la Mujer e Igualdad de Genero trabajamos sobre los distintos aspectos de la enfermedad, para ver un día una Europa libre de cáncer de mama. Me alegra el gran interés que se presta a esta cuestión en la comisión parlamentaria. Quiero dar las gracias a mis colegas por su excelente colaboración, que realmente hay que reconocer. El cáncer de mama es un problema de salud pública importante para todas las mujeres en la Unión Europea. Cada dos minutos se diagnostica un cáncer de mama a alguien. Cada seis minutos muere una mujer por su causa. Esta enfermedad no hace distinciones de raza, religión o cultura. Debemos tener la honestidad de reconocer todas las razones, sin excepción, que originan el cáncer de mama. Sería útil comparar las tasas de crecimiento en los Estados miembros a fin de llegar a una estrategia concluyente. Todas las mujeres deben poder acceder sin dificultad a los medios de diagnóstico y a tratamientos de calidad en una fase temprana, independientemente de su origen, estatuto social o nivel de educación. Podrían salvarse miles de vidas. Sería un ejemplo de discriminación realmente positiva: es esencial sensibilizar a todas las mujeres sobre el riesgo de la enfermedad y aumentar los recursos concedidos a la prevención y la detección del cáncer en los Estados miembros. Señores Comisarios, saben, como yo, por experiencia que los instrumentos médicos son demasiado caros para los hospitales regionales de los nuevos Estados miembros. El sector médico no está dispuesto a hacer esfuerzos financieros, está demasiado preocupado por hacer beneficios. Les ruego, de todos modos, que estudien seriamente la posibilidad de financiar la prevención del cáncer de mama a través de los Fondos Estructurales. El esfuerzo de los políticos, los médicos y los científicos por desarrollar la red de sinergias en todos los Estados miembros podría garantizar un acceso igual a los medios de detección y a la asistencia sanitaria. Solo esa estrecha colaboración permitirá combatir el cáncer de mama más allá de las diferencias ideológicas y las rivalidades personales."@es20
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@et5
". Arvoisa puhemies, arvoisa komission jäsen, hyvät kollegat, olemme jälleen kerran kokoontuneet täysistuntoon keskustelemaan rintasyövästä. Tämä kysymys koskee sekä kansanterveyttä että äänestäjäkuntaamme kuuluvien naisten ja heidän perheidensä elämää. Jo vuonna 2003 naisten oikeuksien ja sukupuolten tasa-arvon valiokunta esitti tästä aiheesta kysymyksen Euroopan komissiolle. Arvoisa komission jäsen, tuolloin edeltäjänne, komission jäsen Diamantopoulou, toteutti ensimmäiset parlamentin kehotuksiin perustuvat toimet. Tänään kehotamme teitä tunnustamaan saavutetut tulokset. Naisten oikeuksien ja sukupuolten tasa-arvon valiokunnan tavoitteena on vähentää rintasyöpään sairastuneiden naisten kuolleisuutta, parantaa heidän elämänlaatuaan ja tiedottaa naisille ja naisjärjestöille sekä lähiomaisille rintasyövän riskeistä ja hoidosta. Keskustelussa on käsiteltävä myös miesten asemaa. Tämä erityisesti naisia vaivaava sairaus koskettaa myös aviomiehiä, isiä ja lapsia. Muistan myös niitä monia vanhempia, jotka tukevat sairastuneita tyttäriään. Naisten oikeuksien ja sukupuolten tasa-arvon valiokunta käsittelee lukuisia rintasyöpään liittyviä näkökohtia, jotta tämä sairaus saataisiin jonain päivänä kitkettyä kokonaan Euroopasta. Valiokunnan voimakas mielenkiinto tätä asiaa kohtaan on rohkaissut minua. Kiitän kollegoitani erinomaisesta yhteistyöstä, joka todella ansaitsee tunnustusta. Rintasyöpä on kansanterveyskysymys, jolla on merkitystä kaikille naisille Euroopan unionissa. Kahden minuutin välein todetaan uusi rintasyöpätapaus. Joka kuudes minuutti nainen kuolee rintasyöpään. Tämä sairaus ei erottele ihmisiä rodun, uskonnon tai kulttuurin perusteella. Meidän on tunnustettava rohkeasti ja poikkeuksetta kaikki rintasyövän syyt. Lopullisen strategian laatimista varten olisi hyödyllistä verrata sairauden lisääntymistä jäsenvaltioissa. Kaikilla naisilla olisi asuinpaikastaan, sosiaalisesta asemastaan ja koulutustasostaan riippumatta oltava mahdollisuus diagnosointiin ja laadukkaaseen hoitoon varhaisessa vaiheessa. Tällä tavoin säästettäisiin tuhansia ihmishenkiä. Tämä olisi esimerkki todella myönteisestä erityiskohtelusta. Nyt on oleellista saada kaikki naiset tiedostamaan sairastumisriski ja lisätä rintasyövän ehkäisyyn ja mammografiaseulontaan suunnattuja voimavaroja jäsenvaltioissa. Arvoisat komission jäsenet, tiedämme kokemuksesta, että lääkinnälliset laitteet ovat liian kalliita uusien jäsenvaltioiden aluesairaaloille. Lääketeollisuus ei ole valmis panostamaan rahoitukseen, sillä se keskittyy liiaksi voittojen saamiseen. Kaikesta huolimatta kehotan teitä pohtimaan vakavasti mahdollisuutta rahoittaa rintasyövän ehkäisyä rakennerahastovaroista. Poliitikkojen, lääkäreiden ja tutkijoiden toimet kaikkiin jäsenvaltioihin ulottuvan yhteistyöverkon kehittämiseksi voisivat auttaa meitä varmistamaan seulonta- ja terveydenhuoltotoimien yhtäläisen saavutettavuuden. Vain tämän tiiviin yhteistyön avulla voidaan rintasyövän torjunnassa ylittää ideologiset erimielisyydet ja henkilökohtainen voitontavoittelu."@fi7
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@hu11
". Signora Presidente, signor Commissario, onorevoli colleghi, eccoci di nuovo riuniti in plenaria per discutere di un problema che riguarda allo stesso tempo la sanità pubblica e la vita delle donne e delle famiglie nei nostri collegi elettorali: il tumore al seno. Già nel 2003, la commissione per i diritti della donna e l’uguaglianza di genere aveva presentato un’interrogazione su questo tema alla Commissione europea. Signor Commissario, all’epoca era stato il suo predecessore, signora Diamantopoulou, ad avviare le prime azioni in risposta alle richieste del Parlamento europeo. Oggi, la invitiamo a prendere atto dei progressi compiuti. La commissione per i diritti della donna e l’uguaglianza di genere vuole ridurre il tasso di mortalità delle donne colpite da cancro al seno, migliorare la loro qualità di vita, informare le donne e le loro associazioni ma anche i loro cari sul rischio e sul trattamento del tumore alla mammella. Nell’ambito di questo dibattito, dovremmo anche tenere conto del ruolo degli uomini. Anche i mariti, i padri e i figli soffrono a causa di queste malattie tipicamente femminili. Ricordo anche i tanti genitori che sostengono le figlie colpite da questa malattia. In seno alla commissione per i diritti della donna e l’uguaglianza di genere, lavoriamo sui vari aspetti della malattia, affinché un giorno sia possibile vivere in un’Europa finalmente libera dalla piaga del cancro al seno. Mi incoraggia il profondo interesse che ha suscitato questo tema in seno alla commissione. Vorrei ringraziare i colleghi per la loro straordinaria collaborazione, che merita davvero di essere ricordata. Il tumore al seno è un problema di sanità pubblica che ha una rilevanza per tutte le donne dell’Unione europea. Ogni due minuti, viene diagnosticato un cancro al seno. Ogni sei minuti, una donna muore di cancro al seno. E’ una malattia che non fa distinzioni di razza, religione o cultura. Dobbiamo avere l’onestà di riconoscere tutte le cause del cancro alla mammella, senza eccezioni. Sarebbe utile confrontare i tassi di diffusione negli Stati membri al fine di elaborare una strategia reale. Tutte le donne dovrebbero potere accedere senza difficoltà a mezzi diagnostici e a trattamenti di qualità già in una fase precoce, indipendentemente dalla loro origine, dal loro sociale o dal loro livello di istruzione. Potrebbero essere così salvate migliaia di vite. Si tratterebbe di un esempio di vera discriminazione positiva. E’ ora fondamentale sensibilizzare ogni donna al rischio della malattia e incrementare le risorse stanziate per la prevenzione e per lo del tumore alla mammella negli Stati membri. Signori Commissari, come me, anche voi sapete per esperienza che le apparecchiature mediche sono troppo costose per gli ospedali regionali nei nuovi Stati membri. L’industria medica non è disposta a fare sforzi a livello finanziario, è troppo concentrata sull’ottenimento di utili. Vi prego comunque di valutare seriamente la possibilità di finanziare la prevenzione del tumore al seno attraverso i Fondi strutturali. L’impegno messo in atto da politici, medici e scienziati per sviluppare la rete di cooperazione in tutti gli Stati membri potrebbe permettere di garantire parità di accesso agli strumenti di e alle cure sanitarie. Solo attraverso questa stretta cooperazione, la lotta contro il tumore al seno potrà trascendere le differenze ideologiche e le rivalità personali."@it12
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@lt14
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@lv13
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@mt15
". Mevrouw de Voorzitter, commissaris, dames en heren, we zijn hier wederom bijeen in een plenaire vergadering om te debatteren over een onderwerp dat zowel de volksgezondheid als het leven van vrouwen en gezinnen in onze kieskringen raakt: borstkanker. Reeds in 2003 heeft de Commissie rechten van de vrouw en gendergelijkheid een vraag over dit onderwerp gesteld aan de Europese Commissie. Commissaris, toen heeft uw voorgangster, mevrouw Diamantopoulou, de eerste stappen genomen om tegemoet te komen aan de verzoeken van het Parlement. Nu verzoeken wij u te erkennen dat wij vooruitgang hebben geboekt. De Commissie rechten van de vrouw en gendergelijkheid houdt zich bezig met het terugbrengen van het sterftecijfer van vrouwen met borstkanker, met het verbeteren van hun kwaliteit van leven en met het verstrekken van informatie aan vrouwen en hun belangenorganisaties, maar ook aan hun naasten, over de risico’s en de behandeling van borstkanker. We moeten in dit debat ook aandacht besteden aan de rol van de mannen. Echtgenoten, vaders en hun kinderen worden ook getroffen door deze vrouwenziekten. Ik wil ook niet de talrijke ouders vergeten wier dochters getroffen worden door deze ziekte en die hen steunen. Binnen de Commissie rechten van de vrouw en gendergelijkheid houden wij ons bezig met de verschillende aspecten van deze ziekte, opdat Europa op een dag verlost is van borstkanker. Ik ben verheugd over de grote belangstelling voor dit onderwerp binnen de commissie. Ik wil mijn collega’s bedanken voor hun uitstekende samenwerking, die echt erkend dient te worden. Borstkanker is een voor alle vrouwen binnen de Europese Unie belangrijk onderwerp op het gebied van de volksgezondheid. Om de twee minuten wordt bij een vrouw borstkanker gediagnosticeerd. Om de zes minuten overlijdt een vrouw eraan. Deze ziekte maakt geen onderscheid op grond van ras, godsdienst of cultuur. De eerlijkheid gebiedt ons om zonder uitzondering alle oorzaken van borstkanker te erkennen. Het zou nuttig zijn om de stijgingspercentages te vergelijken tussen de lidstaten om tot een effectieve strategie te komen. Alle vrouwen moeten zonder problemen toegang kunnen krijgen tot de diagnosemiddelen en tot goede behandelingen in een vroegtijdig stadium, ongeacht hun herkomst, sociale status of opleidingsniveau. Op deze wijze zouden we duizenden levens kunnen redden. Dit zou een voorbeeld zijn van echte positieve discriminatie. Het is belangrijk om elke vrouw bewust te maken van het gevaar van deze ziekte en de middelen te verhogen die worden uitgetrokken voor de preventie van en het onderzoek naar borstkanker in de lidstaten. Commissarissen, net als ik weet u uit ervaring dat de medische apparatuur te duur is voor de regionale ziekenhuizen in de nieuwe lidstaten. De medische industrie is niet bereid iets te ondernemen op het financiële vlak, zij is er te zeer op uit om winst te maken. Desondanks wil ik u vragen serieus de mogelijkheid te onderzoeken om borstkankerpreventie te financieren via de structuurfondsen. Dankzij de inspanningen van politici, medici en wetenschappers om in alle lidstaten een samenwerkingsverband op touw te zetten, zouden wij kunnen zorgen voor gelijke toegang tot de onderzoeksmiddelen en de gezondheidszorg. Enkel en alleen door deze nauwe samenwerking kan de bestrijding van borstkanker ideologische scheidslijnen en persoonlijke tegenstellingen overbruggen."@nl3
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@pl16
". Senhora Presidente, Senhor Comissário, Senhoras e Senhores Deputados, eis-nos mais uma vez reunidos em sessão plenária para debater um problema que afecta tanto a saúde pública como a vida das mulheres e das famílias nas nossas circunscrições: o cancro da mama. Já em 2003, a Comissão dos Direitos da Mulher e da Igualdade dos Géneros tinha apresentado uma pergunta sobre este mesmo tema à Comissão Europeia. Senhor Comissário, na altura foi a sua antecessora, Anna Diamantopoulou, que deu os primeiros passos no sentido de responder às solicitações do Parlamento Europeu. Hoje, pedimos que dê conta dos progressos realizados. Reduzir a taxa de mortalidade entre as mulheres afectadas pelo cancro da mama, melhorar a sua qualidade de vida e informar as mulheres e as suas associações, mas também os seus familiares mais próximos, sobre o risco e o tratamento do cancro da mama – tais são as preocupações da Comissão dos Direitos da Mulher e da Igualdade dos Géneros. Neste debate, devemos ter também em conta o papel dos homens. Os cônjuges, os pais de família e os seus filhos são igualmente afectados por estas doenças especificamente femininas. Não esqueço também os inúmeros pais cujas filhas são atingidas pela doença e a quem dão apoio. Na Comissão dos Direitos da Mulher e da Igualdade dos Géneros, estamos a trabalhar nos vários aspectos da doença, a fim de podermos ver, um dia, uma Europa livre do cancro da mama. Sinto-me encorajada pelo grande interesse que a comissão demonstrou por esta questão. Quero agradecer aos meus colegas a sua excelente colaboração, que merece realmente ser sublinhada. O cancro da mama é um problema de saúde pública que se reveste de grande importância para todas as mulheres da União Europeia. De dois em dois minutos, é diagnosticado um cancro da mama. De seis em seis minutos, uma mulher morre devido a um cancro da mama. Esta doença não faz qualquer distinção de raça, religião ou cultura. Devemos ter a honestidade de reconhecer todas as causas do cancro da mama, sem excepção. Seria útil comparar as taxas de crescimento em todos os Estados-Membros, a fim de chegar a uma estratégia concludente. Todas as mulheres deveriam ter fácil acesso aos meios de diagnóstico e a tratamentos de qualidade numa fase precoce, independentemente da sua origem, do seu estatuto social ou do seu nível de ensino. Deste modo, milhares de vidas poderiam ser salvas. Seria um exemplo de discriminação realmente positiva. É agora crucial sensibilizar todas as mulheres para o risco da doença e aumentar os recursos atribuídos à prevenção e ao rastreio do cancro da mama nos Estados-Membros. Senhores Comissários, tal como eu, V. Exas. sabem por experiência que os equipamentos médicos são demasiado caros para os hospitais regionais nos novos Estados-Membros. A indústria médica não está disposta a fazer esforços no plano financeiro; está demasiado preocupada em fazer lucros. Não obstante, peço a V. Exas. que examinem seriamente a possibilidade de financiar a prevenção do cancro da mama através dos Fundos Estruturais. Os esforços de políticos, médicos e cientistas para desenvolver a rede de cooperação em todos os Estados-Membros poderiam permitir-nos assegurar uma igualdade de acesso aos meios de rastreio e aos cuidados de saúde. Somente esta estreita colaboração permitirá combater o cancro da mama para lá das clivagens ideológicas e das rivalidades pessoais."@pt17
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@sk18
"Madame la Présidente, Monsieur le Commissaire, chers collègues, nous voici à nouveau rassemblés en séance plénière pour discuter d'un problème qui touche à la fois la santé publique et la vie des femmes et des familles dans nos circonscriptions: le cancer du sein. En 2003, la commission des droits de la femme avait déjà posé une question sur ce même sujet à la Commission européenne. Monsieur le Commissaire, ce fut alors votre prédécesseur, Mme Diamantopoulou, qui engagea les premières démarches pour répondre aux demandes du Parlement européen. Aujourd'hui, nous vous sollicitons pour rendre compte des progrès accomplis. Réduire le taux de mortalité des femmes atteintes d'un cancer du sein, améliorer leur qualité de vie, informer les femmes et leurs associations mais aussi leurs proches sur le risque et le traitement du cancer du sein, telles sont les préoccupations de la commission des droits de la femme. Dans ce débat, nous devrions également prendre en compte le rôle des hommes. Les époux, les pères de famille et leurs enfants sont également concernés par ces maladies spécifiquement féminines. Je n'oublie pas non plus les nombreux parents dont les filles sont touchées par la maladie et qui leur apportent du soutien. Au sein de la commission de la femme, nous travaillons sur les différents aspects de la maladie afin de voir un jour une Europe sans cancer du sein. Je suis heureuse du grand intérêt que revêt cette question au sein de la commission des droits de la femme. Je félicite mes collègues pour l'excellente collaboration qui est la nôtre, elle mérite vraiment d'être soulignée. Le cancer du sein est un problème de santé publique qui revêt une importance pour toutes les femmes de l'Union européenne. Toutes les deux minutes, un cancer est diagnostiqué. Toutes les six minutes, une femme en meurt. Cette maladie ne fait aucune distinction de race, de religion ou de culture. Nous devons avoir l'honnêteté de reconnaître toutes les raisons, sans exception, qui sont à l'origine du cancer du sein. Il serait utile de comparer les taux de croissance à travers les États membres afin de parvenir à une stratégie concluante. Toutes les femmes doivent pouvoir accéder sans difficulté aux moyens de diagnostic et à des traitements de qualité à un stade précoce, indépendamment de leur origine, de leur statut social ou de leur niveau d'éducation. Des milliers de vie pourraient ainsi être sauvées. Il s'agirait d'un exemple de discrimination réellement positif: il devient essentiel de sensibiliser chaque femme au risque de la maladie et d'augmenter les ressources allouées à la prévention et au dépistage du cancer du sein dans les États membres. Messieurs les Commissaires, comme moi, vous savez par expérience que les instruments médicaux sont trop chers pour les hôpitaux régionaux dans les nouveaux États membres. L'industrie médicale n'est pas prête à faire des efforts sur le plan financier, elle est trop soucieuse de faire des profits. Je vous prie tout de même d'étudier sérieusement la possibilité de financer la prévention du cancer du sein par les Fonds structurels. Les efforts des politiques, des médecins et des scientifiques pour développer le réseau de synergies dans tous les États membres pourraient permettre d'assurer un accès égal aux moyens de dépistage et aux soins de santé. C'est uniquement cette étroite collaboration qui permettra de combattre le cancer du sein au-delà des clivages idéologiques et des rivalités personnelles."@sl19
". Fru talman, herr kommissionsledamot, mina damer och herrar! Vi har ännu en gång samlats i kammaren för att debattera en fråga som påverkar både folkhälsan och livet för kvinnor och familjer i våra valkretsar: bröstcancer. Redan 2003 ställde utskottet för kvinnors rättigheter och jämställdhet mellan kvinnor och män en fråga i detta ämne till Europeiska kommissionen. Herr kommissionsledamot! På den tiden var det er företrädare, Anna Diamantopoulou, som vidtog den första åtgärden för att svara på parlamentets frågor. I dag ber jag er att erkänna de framsteg som har gjorts. Utskottet för kvinnors rättigheter och jämställdhet mellan kvinnor och män arbetar för att minska dödligheten bland kvinnor som drabbas av bröstcancer, förbättra deras livskvalitet och ge kvinnor och deras föreningar, men också deras familjer, information om riskerna för och behandling av bröstcancer. I denna debatt borde vi också ta hänsyn till männens roll. Makar, fäder och deras barn drabbas också av dessa typiska kvinnosjukdomar. Jag påminner också om de många föräldrar vars döttrar drabbas av sjukdomen och som stöder dem. I utskottet för kvinnors rättigheter och jämställdhet mellan kvinnor och män arbetar vi med olika aspekter av sjukdomen för att vi en dag ska kunna få ett EU som är fritt från bröstcancer. Jag blir uppmuntrad av det stora intresse som utskottet har visat denna fråga. Jag skulle vilja tacka mina kolleger för deras utmärkta samarbete, som verkligen förtjänar ett erkännande. Bröstcancer är en folkhälsofråga som är viktig för alla kvinnor inom Europeiska unionen. Varannan minut får någon diagnosen bröstcancer. Var sjätte minut dör en kvinna av det. Denna sjukdom gör ingen skillnad på grundval av ras, religion eller kultur. Vi måste våga vara ärliga och erkänna bröstcancerns alla orsaker, utan undantag. Det skulle vara användbart att jämföra ökningstakten mellan medlemsstaterna för att komma fram till en slutgiltig strategi. Alla kvinnor borde ha enkel tillgång till resurser för diagnos och kvalitetsbehandling på ett tidigt stadium, oberoende av ursprung, social ställning eller utbildningsnivå. På detta sätt skulle tusentals liv kunna räddas. Detta skulle vara ett exempel på verklig positiv diskriminering. Det är nu av största vikt att göra alla kvinnor medvetna om risken för sjukdomen, och att öka de resurser som anslås till att förhindra bröstcancer och till screening i medlemsstaterna. Mina herrar kommissionsledamöter! Ni vet av erfarenhet att den medicinska utrustningen är alltför dyr för regionala sjukhus i de nya medlemsstaterna. Läkemedelsindustrin är inte beredd att göra en ekonomisk ansträngning; den är alltför upptagen med att tjäna pengar. Jag ber er trots detta att på allvar undersöka möjligheten att finansiera förebyggande av bröstcancer genom strukturfonderna. Politikernas, läkarnas och forskarnas ansträngningar för att utveckla nätverket för samarbete mellan alla medlemsstater gör det möjligt för oss att säkerställa lika tillgång till screeningmöjligheter och sjukvård. Det är bara genom detta nära samarbete som kampen mot bröstcancer kan övervinna ideologiska klyftor och personliga rivaliteter."@sv21
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"(Applaudissements)"5,19,15,1,18,14,16,11,13,8
"Anna Záborská (PPE-DE ),"5,5,19,15,1,18,14,16,11,13,8
"auteur"5,19,15,1,18,14,16,11,13,8

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