Local view for "http://purl.org/linkedpolitics/eu/plenary/2005-12-13-Speech-2-261"

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"en.20051213.56.2-261"6
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". - Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd’hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l’homme. Je me réjouis particulièrement d’un nouveau chapitre qui porte sur l’analyse de l’efficacité des instruments et des initiatives de l’Union européenne. C’est précisément l’angle qu’a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu’à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l’information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n’en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l’homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l’homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l’homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s’y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j’ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l’homme entre l’Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l’ensemble des députés soient associés à l’ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l’initiative européenne pour la démocratie et les droits de l’homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j’émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l’examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l’homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu’à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@fr8
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"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@cs1,1
"Fru formand, ligesom mine kolleger glæder jeg mig over, at vi i dag afholder denne forhandling om årsberetningen om menneskerettigheder. Især glæder jeg mig over et nyt kapitel, som vedrører en analyse af EU's instrumenters og initiativers effektivitet. Det er netop den vinkel, Europa-Parlamentet har valgt med henblik på i fuldt samarbejde med de politiske grupper at udarbejde årsberetningen for i år, hvilket viser, at vi på sigt, i de kommende år, endelig sammen vil kunne udarbejde en egentlig fælles beretning fra Kommissionen, Rådet og Europa-Parlamentet. For at nå dertil er det vigtigt med en uafbrudt informationsstrøm mellem vores institutioner. Jeg vil gerne som eksempel fremhæve konklusionerne fra Rådets møde den 12. december, hvori det oplyses, at Rådet - hvilket vi ikke var i tvivl om - på menneskerettighedsforkæmpernes vegne havde lanceret aktive lobbykampagner under ledelse af missionscheferne i tredjelande. Det er imidlertid yderst hensigtsmæssigt, at parlamentsmedlemmerne ved, hvem, hvornår og hvordan Rådet og ambassadørerne i tredjelande yder støtte til i medfør af retningslinjerne for beskyttelse af menneskerettighedsforkæmperne. Et andet eksempel: Rådet udarbejder standardformularer, hvor menneskerettighedssituationen i de forskellige lande vurderes. Også her er det nødvendigt, at Rådet fremsender disse til Parlamentet, så de forskellige delegationer og udvalg kan henvise dertil i forbindelse med deres arbejde i dagligdagen. Et tredje eksempel: Jeg har læst i beretningen, at kinesiske parlamentsmedlemmer for første gang deltog i den strukturerede dialog om menneskerettighederne mellem Unionen og Kina. Under disse omstændigheder forstår jeg ikke, at Parlamentets medlemmer ikke selv blev inddraget i denne dialog, og medlemmerne kræver i øvrigt, at samtlige parlamentsmedlemmer inddrages i samtlige dialoger uanset struktur. Endelig, hvad angår Kommissionen, kender vi manglerne ved det europæiske initiativ for demokrati og menneskerettigheder, men jeg må sige, fru kommissær, at jeg fremsætter alle mulige forbehold og bekymringer i forbindelse med det dokument, der for øjeblikket er under behandling i Kommissionen, vedrørende gennemførelsen af det horisontale program for menneskerettighederne. Dette dokument lever på ingen måde op til Europa-Parlamentets eller for den sags skyld ngo'ernes forventninger, som De vil få at se ..."@da2
"Frau Präsidentin, wie meine Kolleginnen und Kollegen freue auch ich mich, dass wir heute diese Aussprache über den Jahresbericht über Menschenrechte führen. Besonders froh bin ich über ein neues Kapitel, in dem die Effizienz der Instrumente und Initiativen der Europäischen Union unter die Lupe genommen wird. Genau diesen Blickwinkel hat das Europäische Parlament gewählt, um in voller Eintracht zwischen allen Fraktionen seinen diesjährigen Bericht zu erarbeiten, was deutlich macht, dass wir – die Kommission, der Rat und das Europäische Parlament – in den nächsten Jahren endlich dazu kommen können, künftig einen wirklichen gemeinsamen Bericht zu erstellen. Eine wichtige Voraussetzung hierfür ist ein kontinuierlicher Informationsfluss zwischen unseren Institutionen. Lassen Sie mich beispielsweise auf die Schlussfolgerungen des Rates vom 12. Dezember verweisen, denen zu entnehmen ist, dass der Rat – daran bestand eigentlich kein Zweifel – unter der Federführung der Missionschefs in Drittländern aktive Lobby-Kampagnen im Namen der Verteidiger der Menschenrechte durchgeführt hat. Es ist in der Tat von Nutzen für die Parlamentarier, zu wissen, wem, wann oder wie der Rat und die Botschafter in Drittländern ihre Unterstützung gemäß den Leitlinien für den Schutz der Verteidiger der Menschenrechte gewähren. Ein weiteres Beispiel: Der Rat erarbeitet Bewertungsbögen für die Menschenrechtssituation in den verschiedenen Ländern. Auch hier wäre es erforderlich, dass der Rat diese dem Parlament übermittelt, damit die verschiedenen Delegationen und Ausschüsse sich im Rahmen ihrer täglichen Arbeit darauf beziehen können. Lassen Sie mich noch ein Beispiel nennen: Ich habe in diesem Bericht gelesen, dass erstmals chinesische Abgeordnete an dem strukturierten Dialog über Menschenrechte zwischen der EU und China teilgenommen haben. Unter diesen Umständen verstehe ich nicht, dass die Mitglieder des Parlaments selbst nicht in diesen Dialog eingebunden werden, und die Parlamentarier verlangen im Übrigen, dass sämtliche Volksvertreter in alle Dialoge unabhängig von ihrer Struktur einbezogen werden. Was schließlich die Kommission betrifft, so liegen die Mängel der europäischen Initiative für Demokratie und Menschenrechte auf der Hand. Ich muss Ihnen sagen, Frau Kommissarin, dass ich ernste Vorbehalte und Besorgnisse hinsichtlich des Dokuments zur Umsetzung des horizontalen Programms für Menschenrechte habe, das gegenwärtig der Europäischen Kommission zur Prüfung vorliegt. Dieses Dokument entspricht in keiner Weise den Erwartungen des Europäischen Parlaments oder auch der NRO, wie Sie noch sehen werden..."@de9
"Κυρία Πρόεδρε, όπως και οι συνάδελφοί μου, χαίρομαι που διεξάγουμε σήμερα αυτήν τη συζήτηση επί της ετήσιας έκθεσης για τα ανθρώπινα δικαιώματα. Χαίρω ιδίως για ένα νέο κεφάλαιο, που αφορά την ανάλυση της αποτελεσματικότητας των μέσων και των πρωτοβουλιών της Ευρωπαϊκής Ένωσης. Αυτήν ακριβώς την προοπτική επέλεξε το Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο για να εκπονήσει, σε απόλυτη συνεργασία με τις πολιτικές ομάδες, τη φετινή του έκθεση, πράγμα που δείχνει ότι μεσοπρόθεσμα, τα προσεχή έτη, εμείς –Επιτροπή, Συμβούλιο και Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο– θα είμαστε επιτέλους σε θέση να καταρτίσουμε μαζί μια πραγματική κοινή έκθεση. Για να καταλήξουμε σε αυτό, είναι σημαντικό να υπάρχει συνεχής ροή πληροφόρησης μεταξύ των θεσμικών μας οργάνων. Θέλω να επιμείνω, για παράδειγμα, στα συμπεράσματα του Συμβουλίου της 12ης Δεκεμβρίου, από τα οποία μάθαμε –αν και δεν αμφιβάλλαμε επ’ αυτού– ότι το Συμβούλιο είχε ξεκινήσει ενεργές εκστρατείες άσκησης οργανωμένης πίεσης υπό την αιγίδα των αρχηγών των αποστολών στις τρίτες χώρες, εκ μέρους των προασπιστών των ανθρωπίνων δικαιωμάτων. Ωστόσο, είναι πολύ χρήσιμο για τους βουλευτές να γνωρίζουν σε ποιον, πότε ή πώς το Συμβούλιο και οι πρεσβευτές στις τρίτες χώρες προσφέρουν τη στήριξή τους βάσει των κατευθυντήριων γραμμών για την προστασία των προασπιστών των ανθρωπίνων δικαιωμάτων. Άλλο παράδειγμα: το Συμβούλιο εκπονεί ενημερωτικά δελτία που αξιολογούν την κατάσταση των ανθρωπίνων δικαιωμάτων στις διάφορες χώρες. Και εδώ επίσης θα ήταν αναγκαίο το Συμβούλιο να τα διαβιβάζει στο Ευρωπαϊκό Κοινοβούλιο, προκειμένου οι διάφορες αντιπροσωπείες και επιτροπές να μπορούν να προστρέχουν σε αυτά στο πλαίσιο των καθημερινών τους εργασιών. Άλλο παράδειγμα: διάβασα σε αυτήν την έκθεση ότι για πρώτη φορά κινέζοι βουλευτές συμμετείχαν στον θεσμικό διάλογο για τα ανθρώπινα δικαιώματα μεταξύ Ευρωπαϊκής Ένωσης και Κίνας. Υπό τις συνθήκες αυτές, δεν καταλαβαίνω γιατί οι ίδιοι οι βουλευτές του ΕΚ δεν εμπλέκονται σε αυτόν τον διάλογο, και οι βουλευτές του ΕΚ ζητούν κατά τα λοιπά το σύνολο των μελών του Κοινοβουλίου να συμμετέχει στο σύνολο των διαλόγων ασχέτως της θεσμικής τους μορφής. Τέλος, σε ό,τι αφορά την Επιτροπή, γνωρίζουμε τα ελαττώματα της Ευρωπαϊκής Πρωτοβουλίας για τη Δημοκρατία και τα Δικαιώματα του Ανθρώπου, οφείλω όμως να σας πω, κυρία Πρόεδρε, ότι εκφράζω τις πλέον ζωηρές επιφυλάξεις και ανησυχίες μου σε σχέση με το έγγραφο που εξετάζει αυτήν την εποχή η Ευρωπαϊκή Επιτροπή για την υλοποίηση του οριζόντιου προγράμματος για τα ανθρώπινα δικαιώματα. Αυτό το έγγραφο ουδόλως ανταποκρίνεται στις προσδοκίες του Ευρωπαϊκού Κοινοβουλίου, όπως δεν ανταποκρίνεται και στις προσδοκίες των ΜΚΟ, όπως θα διαπιστώσετε..."@el10
". Madam President, I, like my fellow Members, am delighted that we should be holding this debate today on the annual report on human rights. I am especially delighted by a new chapter focused on analysing the effectiveness of the European Union’s instruments and initiatives. This is precisely the angle chosen by the European Parliament to draft, in full cooperation with the political groups, its report for this year. This outcome demonstrates that, in over the next few years, we – the Commission, the Council and the European Parliament – will, in the long run, finally be in a position to draft a genuine joint report together. To reach this stage, it is important that a continual flow of information circulate between our institutions. I should like to emphasise, for example, the Council conclusions of 12 December, which informed us that the Council – we had no doubts about this – had, on behalf of human rights defenders, launched active lobbying campaigns under the leadership of the Heads of Mission in third countries. Well, it is very useful for MEPs to know to whom, when and how the Council and the ambassadors in third countries provide their support under the guidelines for the protection of human rights defenders. Another example: the Council compiles fact sheets evaluating the human rights situations in the various countries. Here too, the Council should pass on these fact sheets to Parliament so that the various delegations and committees might refer to them in the context of their everyday work. Another example: I read in this report that, for the first time ever, Chinese representatives had participated in the structured dialogue on human rights between the Union and China. In these conditions, I do not understand why Members themselves were not involved in this dialogue, and Members are, moreover, requesting that all representatives be involved in all of the dialogues, irrespective of the structure of these dialogues. As regards the Commission, finally, we are aware of the shortcomings of the European initiative for democracy and human rights, but I must say to you, Commissioner, that I have the gravest reservations and concerns in the face of the document currently being examined by the European Commission on the implementation of the horizontal programme for human rights. This document in no way meets the European Parliament’s expectations, any more than it meets those of the NGOs, as you will see …"@en4
". Señora Presidenta, al igual que mis colegas, me alegro de que mantengamos hoy este debate acerca del informe anual sobre los derechos humanos. Me complace especialmente un nuevo capítulo en el que se analiza la eficacia de los instrumentos y las iniciativas de la Unión Europea. Es precisamente la perspectiva elegida por el Parlamento Europeo para elaborar, con la plena cooperación de todos los Grupos políticos, su informe de este año. Este resultado demuestra que, en los próximos años, nosotros –la Comisión, el Consejo y el Parlamento Europeo– podremos elaborar juntos, a la larga, un auténtico informe conjunto. Para conseguirlo, es importante que la información circule como un flujo continuo entre nuestras instituciones. Quisiera insistir, por ejemplo, en las conclusiones del Consejo de 12 de diciembre, que nos informan de que el Consejo –no teníamos dudas al respecto– lanzó, en nombre de defensores de los derechos humanos, campañas de presión activas bajo la batuta de los jefes de misión en terceros países. Ahora bien, es muy útil para los diputados saber a quién, cuándo o cómo el Consejo y los embajadores en terceros países aportan su apoyo en virtud de las directrices para la protección de los defensores de los derechos humanos. Otro ejemplo: el Consejo elabora fichas de datos en las que se evalúa la situación de los derechos humanos en los distintos países. También en este caso sería necesario que el Consejo remitiera al Parlamento estas fichas a fin de que las distintas delegaciones y comisiones pudiesen remitirse a ellas en el marco de su trabajo cotidiano. Otro ejemplo: he leído en este informe que, por primera vez, participaron representantes chinos en el diálogo estructurado sobre los derechos humanos entre la Unión y China. Siendo así, no entiendo por qué no participaron diputados al Parlamento en dicho diálogo, cuando los diputados piden que todos los representantes estén implicados en todos los diálogos, sea cual sea la estructura de los mismos. Por último, por lo que respecta a la Comisión, conocemos las deficiencias de la Iniciativa Europea para la Democracia y los Derechos Humanos, pero debo decirle, señora Comisaria, que el documento que examina actualmente la Comisión Europea para la aplicación del programa horizontal para los derechos humanos me inspira las más vivas reservas y preocupaciones. Dicho documento no responde en nada a las expectativas del Parlamento Europeo, como tampoco a las de las ONG, como verá..."@es20
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@et5
". Arvoisa puhemies, olen kollegojeni tavoin iloinen siitä, että käymme tänään tämän keskustelun vuosittaisesta ihmisoikeusraportista. Olen erityisen iloinen uudesta luvusta, jossa analysoidaan Euroopan unionin välineiden ja aloitteiden tehokkuutta. Euroopan parlamentti valitsi nimenomaan tämän näkökulman laatiessaan tämän vuoden mietintöään täydessä yhteistyössä poliittisten ryhmien kanssa. Tämä tulos osoittaa, että muutaman vuoden kuluttua me – komissio, neuvosto ja Euroopan parlamentti – voimme lopultakin laatia yhdessä todellisen yhteisen raportin. Jotta tämä voi onnistua, toimielintemme välisen tiedonkulun on oltava jatkuvaa. Haluan korostaa esimerkiksi 12. joulukuuta annettuja neuvoston päätelmiä, joissa meille ilmoitettiin, että neuvosto – sitä emme epäilleet – oli ihmisoikeuksien puolustajien puolesta käynnistänyt aktiivisia edunvalvontakampanjoita kolmansissa maissa sijaitsevien lähetystöjen päällikköjen johdolla. Euroopan parlamentin jäsenten on tietysti erittäin hyödyllistä tietää, ketä, milloin ja miten neuvosto ja kolmansissa maissa olevat suurlähettiläät tukevat ihmisoikeuksien puolustajien suojelemista koskevien suuntaviivojen mukaisesti. Toinen esimerkki: neuvosto kokoaa tietolehtisiä, joissa arvioidaan eri valtioiden ihmisoikeustilanteita. Neuvoston pitäisi toimittaa myös tällaiset asiakirjat parlamentille, jotta eri valtuuskunnat ja valiokunnat voivat hyödyntää niitä jokapäiväisessä työskentelyssään. Toinen esimerkki: luin nyt esillä olevasta raportista, että Kiinan edustajat olivat ensimmäistä kertaa osallistuneet Euroopan unionin ja Kiinan väliseen järjestelmälliseen ihmisoikeusvuoropuheluun. Tässä tilanteessa en ymmärrä, miksi Euroopan parlamentin jäseniä ei otettu mukaan tähän vuoropuheluun, kun he nimenomaan pyytävät, että kaikki edustajat otettaisiin mukaan kaikkiin vuoropuheluihin niiden rakenteesta riippumatta. Lopuksi totean komissiolle, että olemme tietoisia eurooppalaisen ihmisoikeus- ja demokratia-aloitteen puutteista, mutta arvoisa komission jäsen, minun on sanottava teille, että suhtaudun erittäin varauksellisesti parhaillaan Euroopan komission tarkasteltavana olevaan asiakirjaan, joka koskee horisontaalisen ihmisoikeusohjelman täytäntöönpanoa, ja että olen huolissani siitä. Kyseisellä asiakirjalla ei millään tavoin täytetä Euroopan parlamentin odotuksia eikä myöskään kansalaisjärjestöjen odotuksia, kuten näette…"@fi7
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@hu11
". Signora Presidente, come i miei colleghi, anch’io sono lieta che oggi si tenga questo dibattito in merito alla relazione annuale sui diritti umani. Sono particolarmente soddisfatta di un nuovo capitolo incentrato sull’analisi dell’efficacia degli strumenti e delle iniziative comunitarie. E’ proprio questa la prospettiva scelta dal Parlamento europeo per elaborare, in piena cooperazione con i gruppi politici, la sua relazione di quest’anno. Questo dimostra che, nell’arco dei prossimi anni, noi – la Commissione, il Consiglio e il Parlamento europeo – saremo finalmente in grado, nel lungo periodo, di redigere una vera e propria relazione congiunta. Per raggiungere questo obiettivo, è importante che tra le nostre Istituzioni circoli un flusso continuo di informazioni. Vorrei sottolineare, a titolo di esempio, le conclusioni del Consiglio del 12 dicembre, che ci hanno informato del fatto che il Consiglio – non avevamo dubbi in proposito – aveva lanciato campagne attive di pressione a nome dei difensori dei diritti umani sotto la guida dei capi missione nei paesi terzi. Ebbene, per gli eurodeputati è molto utile sapere a chi, quando e come il Consiglio e gli ambasciatori nei paesi terzi forniscono il proprio sostegno, in base agli orientamenti per la tutela dei difensori dei diritti umani. Un altro esempio: il Consiglio compila schede informative in cui valuta la situazione dei diritti umani in vari paesi. Anche in questo caso il Consiglio dovrebbe trasmettere tali schede informative al Parlamento di modo che le varie delegazioni e commissioni possano farvi riferimento nel contesto delle loro attività giornaliere. Un altro esempio: ho letto nella relazione che i rappresentanti della Cina hanno partecipato per la prima volta al dialogo strutturato sui diritti umani tra Unione e Cina. In tali condizioni, non capisco perchè gli stessi europarlamentari non siano stati coinvolti nel dialogo in questione, quando sono proprio loro a chiedere che tutti i rappresentanti partecipino a tutti i dialoghi, indipendentemente dalla struttura degli stessi. Infine, per quanto riguarda la Commissione, siamo consapevoli delle lacune dell’Iniziativa europea per la democrazia e i diritti dell’uomo, ma devo comunicarle, signora Commissario, che nutro gravi riserve e preoccupazioni nei confronti del documento attualmente all’esame della Commissione europea sull’attuazione del programma orizzontale per i diritti umani. Tale documento non soddisfa in alcun modo le aspettative del Parlamento europeo, né tanto meno quelle delle ONG, come potrà constatare…"@it12
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@lt14
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@lv13
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@mt15
"Mevrouw de Voorzitter, net als mijn collega’s ben ook ik heel verheugd dat we vandaag een debat kunnen voeren over het jaarverslag over de mensenrechten. Wat ik vooral heel positief vind, is dat er in het verslag nu een hoofdstuk is opgenomen waarin wordt onderzocht hoe doeltreffend de instrumenten en initiatieven van de Europese Unie zijn. Dat is precies de benadering die het Parlement – met instemming van alle politieke fracties – dit jaar heeft gekozen voor het opstellen van zijn verslag. Uit het resultaat blijkt dat de Commissie, de Raad en het Parlement de komende jaren dus eindelijk werkelijk een gezamenlijk verslag kunnen opstellen. Om dat te kunnen doen, is het van belang dat we tussen de instellingen een continue informatiestroom op gang houden. Ik verwijs bijvoorbeeld naar de conclusies van de Raad van 12 december. Uit die conclusies blijkt dat de Raad – en we twijfelden daar hoe dan ook niet aan – in derde landen ten behoeve van de verdedigers van de mensenrechten lobbycampagnes heeft opgezet. De hoofden van missie in deze landen zijn belast met de tenuitvoerlegging van deze campagnes. Nu is het voor de afgevaardigden heel nuttig om te weten aan wie de Raad en de ambassadeurs overeenkomstig de richtsnoeren voor de bescherming van de verdedigers van de mensenrechten steun verlenen, wanneer ze dat doen en hoe ze dat doen. Ik geef een tweede voorbeeld: de Raad stelt op, waarin een beoordeling wordt gegeven van de mensenrechtensituatie in elk land. Ook in dit geval dient de Raad de informatie aan het Parlement door te geven, opdat de verschillende delegaties en commissies er in het kader van hun dagelijkse werkzaamheden naar kunnen verwijzen. Weer een ander voorbeeld: ik heb in het verslag gelezen dat er nu voor het eerst Chinese vertegenwoordigers hebben deelgenomen aan een gestructureerde dialoog tussen de Europese Unie en China over de mensenrechten. Ik begrijp niet waarom de leden van het Parlement niet aan deze dialoog hebben kunnen deelnemen. De parlementsleden dringen er daarom op aan dat ze allemaal aan deze gesprekken kunnen deelnemen, wat ook de structuur van die gesprekken moge zijn. Wat de Commissie betreft: we wisten reeds dat het Europees Initiatief voor de democratie en de mensenrechten tekortkomingen heeft, maar ik moet u vertellen, mevrouw de commissaris, dat ik ernstige twijfels en bedenkingen heb bij het document dat de Commissie nu bestudeert en dat betrekking heeft op de tenuitvoerlegging van een horizontaal programma voor de mensenrechten. Dat document voldoet op geen enkele wijze aan de verwachtingen van het Europees Parlement of die van de NGO’s, zoals u zelf zult kunnen zien …"@nl3
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@pl16
"Senhora Presidente, tal como os meus colegas, saúdo particularmente o facto de realizarmos hoje este debate sobre o relatório anual relativo aos direitos humanos e congratulo-me, em especial, com um novo capítulo dedicado à análise da eficácia dos instrumentos e das iniciativas da União Europeia. Foi precisamente esse o ângulo escolhido pelo Parlamento Europeu para elaborar, em plena cooperação com os grupos políticos, o seu relatório deste ano. Isso demonstra que, a prazo, nos próximos anos, nós – a Comissão, o Conselho e Parlamento Europeu – iremos estar finalmente em condições de elaborar um verdadeiro relatório conjunto. Para tanto, importa que um fluxo contínuo de informação circule entre as nossas Instituições. Gostaria de salientar, por exemplo, as conclusões do Conselho de 12 de Dezembro, que nos indicam que, em nome dos defensores dos direitos humanos, o Conselho – e não tínhamos dúvidas a esse respeito – tinha lançado campanhas de activas lideradas pelos Chefes de Missão nos países terceiros. Pois bem, é de facto muito útil para os parlamentares saberem a quem, quando e como o Conselho e os embaixadores nos países terceiros dão o seu apoio de acordo com as orientações em matéria de protecção dos defensores dos direitos humanos. Outro exemplo: o Conselho elabora fichas de avaliação sobre a situação dos direitos humanos nos diferentes países. Também neste caso seria bom que o Conselho as transmitisse ao Parlamento para que as diferentes delegações e comissões possam tê-las como referência no seu trabalho quotidiano. Outro exemplo: li neste relatório que, pela primeira vez, deputados chineses tinham participado no diálogo estruturado sobre os direitos humanos entre a União e a China. Assim, não compreendo por que razão é que os próprios membros deste Parlamento não foram envolvidos nesse diálogo, sendo que os deputados pedem que todos os representantes sejam envolvidos em todos os diálogos, independentemente da sua estrutura. Por último, no que se refere à Comissão, estamos cientes das insuficiências da iniciativa europeia para a democracia e os direitos humanos, mas devo dizer-lhe, Senhora Comissária, que tenho as maiores reservas e preocupações a respeito do documento sobre a implementação do programa horizontal para os direitos humanos que está neste momento a ser examinado pela Comissão Europeia. Este documento não corresponde de modo algum às expectativas do Parlamento Europeu, nem tão-pouco às da ONG, como V. Exa. verá..."@pt17
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@sk18
"Madame la Présidente, comme mes collègues, je me réjouis que nous tenions aujourd'hui ce débat sur le rapport annuel sur les droits de l'homme. Je me réjouis particulièrement d'un nouveau chapitre qui porte sur l'analyse de l'efficacité des instruments et des initiatives de l'Union européenne. C'est précisément l'angle qu'a choisi le Parlement européen pour élaborer, en toute complicité des groupes politiques, son rapport de cette année, ce qui montre qu'à terme, les années prochaines, nous pourrons enfin élaborer ensemble un vrai rapport conjoint entre la Commission, le Conseil et le Parlement européen. Pour y parvenir, il est important que l'information circule en flux continu entre nos institutions. Je voudrais insister, par exemple, sur les conclusions du Conseil du 12 décembre, qui nous apprennent que le Conseil - nous n'en doutions pas - avait lancé des campagnes actives de lobbying sous la houlette des chefs de mission dans les pays tiers, au nom des défenseurs des droits de l'homme. Or, il est très utile pour les parlementaires de savoir à qui, quand ou comment le Conseil et les ambassadeurs dans les pays tiers apportent leur soutien au titre des lignes directrices pour la protection des défenseurs des droits de l'homme. Autre exemple, le Conseil élabore des (des fiches types) qui évaluent la situation des droits de l'homme dans les différents pays. Là aussi, il serait nécessaire que le Conseil les communique au Parlement afin que les différentes délégations et commissions puissent s'y référer dans le cadre de leurs travaux quotidiens. Autre exemple, j'ai lu dans ce rapport que, pour la première fois, des députés chinois avaient participé au dialogue structuré sur les droits de l'homme entre l'Union et la Chine. Dans ces conditions, je ne comprends pas que les membres du Parlement eux-mêmes ne soient pas associés à ce dialogue, et les parlementaires demandent du reste que l'ensemble des députés soient associés à l'ensemble des dialogues, quelles que soient leurs structures. Enfin, concernant la Commission, on connaît les défauts de l'initiative européenne pour la démocratie et les droits de l'homme, mais je dois vous dire, Madame la Commissaire, que j'émets les plus vives réserves et inquiétudes face au document qui est actuellement à l'examen par la Commission européenne pour la mise en œuvre du programme horizontal pour les droits de l'homme. Ce document ne répond en rien aux attentes du Parlement européen, pas plus qu'à celles des ONG, comme vous allez le voir..."@sl19,19
". Fru talman! Jag och mina kolleger är glada över att vi i dag diskuterar årsrapporten om de mänskliga rättigheterna. Jag är särskilt glad över det nya avsnittet där man analyserar hur effektiva EU:s instrument och initiativ är. Detta är just den vinkel som Europaparlamentet i fullt samarbete med de politiska grupperna valt för sitt betänkande i år. Resultatet visar att vi – kommissionen, rådet och Europaparlamentet – de närmaste åren och på lång sikt slutligen kan få en plattform för att utarbeta en verkligt gemensam rapport. För att nå detta stadium är det viktigt att informationen fortlöpande kan flöda mellan våra institutioner. Jag skulle till exempel vilja betona rådets slutsatser av den 12 december där vi fick vetskap om att rådet – vilket vi aldrig betvivlat – för människorättsförvarares del hade inlett aktiva lobbykampanjer under ledning av beskickningscheferna i tredjeland. Det är mycket viktigt för ledamöterna att känna till till vem, när och hur rådet och ambassadörerna i tredjeland ger hjälp enligt riktlinjerna för skydd av människorättsförsvarare. Ett annat exempel: Rådet sammanställer faktablad med bedömningar av människorättssituationen i olika länder. Även i detta fall borde rådet översända faktabladen till parlamentet så att de olika delegationerna och utskotten kan hänvisa till dem i sitt dagliga arbete. Ett annat exempel: Jag läser i rapporten att kinesiska företrädare för första gången har medverkat i den organiserade dialogen om mänskliga rättigheter mellan unionen och Kina. Under dessa förutsättningar förstår jag inte varför ledamöterna inte medverkade i dialogen. Ledamöterna begär dessutom att samtliga företrädare ska medverka i dialogerna, oavsett hur de är strukturerade. Vad gäller kommissionen är vi slutligen medvetna om bristerna i EU:s initiativ för demokrati och mänskliga rättigheter, men jag måste säga till er, herr kommissionsledamot, att jag är mycket förbehållsam inför det dokument som för närvarande behandlas av kommissionen om genomförandet av det övergripande programmet för de mänskliga rättigheterna. Detta dokument uppfyller långt ifrån Europaparlamentets eller frivilligorganisationernas förväntningar, vilket ni också kommer att …"@sv21
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"Hélène Flautre,"5,19,15,1,18,14,11,16,13,8
"au nom du groupe Verts/ALE"5,19,15,1,18,14,16,11,13
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